Une Initiation Préparée
Javais un collègue de bureau (je lappellerai ici Maurice) qui partait en retraite. Il me faisait régulièrement de fines allusions sexuelles au travail, que jignorais volontairement. Je ne me sentais pas homosexuel, javais très envie des femmes et lorsque je pensais à un homme, cela ne me plaisait pas. Avec lui cétait différent. Il nétait pas particulièrement beau, grassouillet, mais chic et propre sur lui. Cela a duré plusieurs années et lorsque la vie de couple nest pas allée fort, jai commencé à fantasmer sur lui puis d'autres hommes. De plus en plus, jusquà ce quil parte en retraite. À la fin de son pot de départ, il me glissa quand même un dernier mot à double sens.
Nous nous échangions des mails sur tout et rien puis, profitant de labsence de ma femme, je lui proposai de venir passer un week-end. Le mail envoyé, je me suis senti fou, le cur cogna fort dans ma poitrine. Maurice me répondit quil devait passer voir un ami à lui puis quil viendrait le samedi soir.
Lattente fut terrible et à plusieurs reprises je fus sur le point dannuler mais je laissais passer le temps. Je me demandais comment aborder le sujet. Jécrivis alors des textes homosexuels assez chauds que je voulais laisser à la fois cachés mais en vue. Il me fallut une heure avant de trouver le bon endroit dans le salon et de trouver les mots à surligner afin quil ne les rate pas. Avant sa venue, je partis courir afin de revenir transpirant et passer, lorsquil serait là, à la douche, lui laissant le temps de lire.
Lorsquil sonna je fus terrorisé. Quallais-je faire ? Mais il était trop tard et je lui ouvris. Nous commençâmes à parler du travail et de la vie de retraite puis je lui servis un apéritif et lui proposai daller sasseoir à la table regarder des vidéos sur le portable, pendant que je prenais ma douche. Je jetais un dernier coup d'oeil aux feuilles, complètement paniqué.
Je pris une longue douche sans savoir ce quil se passait, en me demandant si je navais pas été trop loin.
Il était en tain de regarder les vidéos de pubs marrantes sur le PC et, du coin de lil, je pus voir que les feuilles avaient légèrement bougé. Il les avait lues ! Je manquai de partir en courant mais je sentis un désir monter qui était délicieux et finalement plus fort que ma peur.
Il me demanda dapprocher et vit que jétais avec la serviette. Son regard sattarda quelques instants puis il me dit quil avait lui aussi tout un tas de vidéos quil venait de mettre sur mon disque. Il se leva de table et je pris alors sa place, lui resta debout derrière moi.
Il avait classé ses images/vidéos par thèmes. Volontairement, je choisis les plus anodines (blagues/pubs) puis nous arrivâmes à un répertoire plus équivoque : cul. Il insista pour me montrer des supers nanas et prit une chaise et sassit à côté de moi.
Durant 10 minutes nous regardâmes des images pornos hétéros et mon corps se trouva à un degré dexcitation assez élevé. Lui, se tortillait sur sa chaise, le pantalon trop étroit. Ma respiration était forte. Il se leva et passa à nouveau dernière moi et je vis du coin de lil quil se « réajustait ». Je profitai de loccasion pour récupérer la souris et me positionner une fesse sur chaque chaise, la serviette légèrement relevée. Mon cur allait sortir de ma poitrine, je me sentais un peu exhibé.
Il y eut un moment de flottement mais quelques secondes plus tard, toujours derrière moi, il s'appuya sur moi et utilisa la souris vers un sous répertoire : anal. Nous vîmes plusieurs vidéo assez hard mais il passa une vidéo gay. Il dit alors un petit "Oh là !" et il essaya de fermer la fenêtre mais j'arrêta sa main en disant : "attends, tu as vu il a un très beau cul quand même". Ma main était sur la sienne et le temps sembla s'arrêter.
De mes mains tremblantes, je soulevai alors un peu plus la serviette, laissant apparaître une partie de mes fesses, et écartai un peu plus les chaises de façon à navoir plus que mes cuisses dessus.
Il sagenouilla et se colla à moi, ses mains passant sur mon torse, puis nous nous embrassâmes par-dessus mon épaule. Il poussa ma serviette et me toucha le sexe dune main et les fesses de lautre. Jétais nu et offert, alors mes dernières inhibitions tombèrent et je commençais à gémir et me tortiller. Je restais quand même passif et le laissais faire, passer partout sur mon corps avide de contacts.
Puis, je guidai enfin ses mains sur mes testicules, sur ma raie, sur mes tétons. Je sentis alors quelque chose taper contre moi et mes mains filèrent vers son sexe et l'étudier. Il gémit lorsque je commençai par toucher le dessous de ses bourses, puis satisfait je remontai le long de sa hampe. Je touchai au bout un liquide épais que je ramenai à ma bouche, sur ma langue sortie (jen ai encore honte). Il me regarda alors comme sidéré.
Je veux être sûr me dit-il en se relevant et tendant son sexe vers ma bouche.
Japprochai alors ma tête de son sexe, complètement excité. J'ouvris ma bouche et resta à quelques millimètres de sa verge. Elle palpitait au rythme , gonflée. Puis ma langue sortie pour aller lécher le gland qui frissonna. Après quelques secondes, jembrassai pleinement son gland et ses mains vinrent attr ma tête mais je résista et je leva la tête. Je ne me reconnaissais pas, je lui souris son gland sur ma langue. J'étais fou (lui aussi d'ailleurs). Trop excité tout à coup, j'eu envie de plus, je laissa son sexe et me retourna vers l'ordinateur. Je remontai encore la serviette.
Il me demanda alors de ne pas bouger, quil allait revenir, ce quil fit rapidement avec du gel et des préservatifs en main.
Je lentendais haleter et il me susurra que le spectacle était magnifique, il en avait envie depuis longtemps. Maurice voulait en profiter, je lui demandai alors de commencer sans toucher une seule autre partie de mon corps, il passa du gel sur mon anus et une partie de mes fesses. Je regardais fixement lécran du PC, concentré sur toutes ces sensations. Puis, je sentis un doigt pousser et passer ma barrière puis sa main vint se plaquer ensuite lorsquil fut entièrement en moi.
Je bougeais alors frénétiquement contre cette main et sur ce doigt qui fut vite rejoint par un autre avec encore et encore du gel. Je nosais presque pas me masturber tant mon éjaculation était proche. Là encore, je lui demandai de sarrêter et je fis des mouvements avec ses deux doigts, venant buter sur sa main. Les miennes étaient là sur la table, écartées.
Maurice me dit alors que jétais quand même une petite cochonne et quil allait éteindre le feu qui me brûlait. Alors, je sentis quelque chose de plus gros et dur se frotter contre ma raie. Il fit aller et venir son sexe pendant longtemps, venant buter parfois sur mon anus. Et moi je tendais mes fesses vers lui à chaque fois. Je fis voler ma serviette, m'ouvris autant que je le pouvais pour qu'il vienne. Le désir était fort. Il jouait avec moi et moi je nen pouvais plus. Je le suppliais de venir en moi mais il me dit que je ne demandais pas comme il le fallait.
Il fallu que je lui dise que jétais chaude et que je voulais quil me défonce, que mon cul voulait lavaler (oui jai dis ça, lexcitation fait faire nimporte quoi).
Puis, il vint se plaquer à nouveau contre moi, une main sur mon torse, le contact des corps retrouvé.
Il grogna puis prit mes hanches et mit en place son rythme, je navais quà moffrir, lui dire que jétais sa petite pute, et me caresser. Son bassin venait cogner mes fesses sa hampe glissait en moi. En moins d'une minute à peine, il éjacula à grands bruits dans mes reins et je pus alors faire de même, sentant mon anus se contracter par saccades.
Il me glissa à l'oreille qu'il allait me faire découvrir plein de choses.
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