Ma Belle Soeur En Manque : Fin.
Ma belle sur en manque fin.
Le dimanche suivant, nous sommes de nouveau allés manger chez mes beaux-parents. Nous avons passé une très bonne soirée mais sommes rentrés très tôt car le lendemain une dure semaine nous attendait. Sur le chemin de retour, j'interrogeais de nouveau ma femme sur sa sur, que je trouvais malheureuse en ce moment. Elle me regarda et me dit : " Oui, tu as raison et je ne sais pas comment faire pour l'aider. Me voyant en attente de la suite, elle commença à me raconter la rencontre de la semaine dernière, puis continua sur celle du jour que je n'avais pas entendu. " Tu sais, elle est heureuse avec lui sauf quand il est question de sexe, elle se demande si elle ne vas pas arrêter encore une fois cette relation, elle a peur de se retrouver toute seule de nouveau ou pire même, elle se demande si elle ne prendrait pas un amant juste pour le sexe. " Je lui expliquais que ce devait être une mauvaise passe, qu'il fallait qu'ils se donnent un peu de temps. Puis elle changea de conversation. Une fois arrivés à la maison, nous fîmes l'amour, elle a été extrêmement attentionnée envers moi. Et après nous étions collés tous les deux sur le côté, je me mettais tout contre son dos, et j'avais calé ses fesses, passer un bras sous sa tête, je tenais avec mes mains ses deux seins, quand elle me dit : " Tu la trouves comment ma sur ? " Surpris par la question, je réfléchis à la réponse la mieux adaptée : la vérité brute, ou un mensonge ? Je décidais finalement de faire un mixte entre les deux.
- C'est une très belle femme, elle ne restera pas longtemps seule.
- Tu pourrais coucher avec elle ? Tu as envie d'elle quand tu l'as regarde ?
- C'est une très belle femme mais c'est aussi ta sur ! Et je n'ai d'yeux que pour toi. C'est toi que j'aime.
- Je ne te parle pas d'amour mais de sexe. Je pense que si elle doit tromper son mari et que ce soit toi, il y aura moins de complications.
J'en restais bouche bée. Elle me proposait carrément de coucher avec sa sur. Je me voyais déjà entrain de découvrir son intimité. Que répondre à ça ?
- Je suis un homme donc coucher avec une belle femme oui. Le problème c'est que je ne pourrai plus te regarder en face si je te trompe. Je t'aime trop pour ça.
- Je sens que notre petite discussion t'excite. Tu as repris une forme respectable. Je ne suis pas sur que si ma sur te saute dessus tu dises non même si je n'étais pas d'accord.
Sur ses paroles, sa main rejoint ma bite qui bandait fermement et l'utilisa pour caresser sa chatte. Elle aussi avait été excitée par la discussion, elle mouillait beaucoup. Alors doucement, tout en lui caressant les seins et en lui embrassant le cou, je me suis enfoncé de nouveau en elle. Après quelques vas et viens, dans un râle de plaisir, elle me murmura : " Sodomises moi, j'en ai trop envie. " Je ne me suis pas fait prier, je me suis retiré, je l'ai basculé sur le ventre puis après avoir humidifié mon doigt avec ses sécrétions, doucement je lui ai titillé l'anus. Mon doigt rentra facilement. Tout en la préparant, je continuai à la caresser et à l'embrasser. Puis je lui demandais : " Je vois que tu es bien excitée toi aussi, serai ce le fait d'imaginer ma grosse bite qui ramonerait ta sur et le plaisir que je pourrai lui donner ? " Entre deux respirations, elle me répondit : " Oh, oui, j'aimerai voir le visage de ma sur quand elle découvre ton énorme queue, les grimaces de plaisir pendant que tu lui dilateras sa chatte, et ses cris de plaisir quand tu lui défonceras le cul. " Je me suis mis à mon tour sur le dos et lui dit :" Viens t'embrocher sur ma mentule. " Elle se leva, m'enjamba, positionna avec sa main ma bite et doucement descendit. Elle haletait, criait de plaisir, son visage était déformé par sa jouissance, ses yeux retournés, Elle montait et descendait sur les 15 premiers centimètres de mon chibre. Je voyais ses seins sauter dans tout les sens.
***
Lundi soir, j'étais tout impatient de connaître la suite des évènements. Comment Cécile avait elle réagit ? Voudra t elle baiser avec moi ? Quand ? Dans quelles conditions ? Arrivé chez moi, je trouvais ma femme dans la cuisine. Je l'embrassais dans le cou puis je lui demandais ce qu'elle me préparait de bon pour ce soir. Et tout naturellement, elle me répondit : " J'ai vu ma sur à midi, je lui ai parlé et sans trop avoir besoin d'avancer d'arguments, elle est d'accord avec l'idée. Étant seule pour le repas de ce soir, je lui ai proposé de manger avec nous. Dès la sortie de son boulot, elle vient chez nous. " Je suis resté un peu scotché, je ne pensais pas que ce serait si rapide et simple. Nous avons donc préparé l'apéro, le repas et nous nous sommes lavés. Un peu avant 20h, ma belle sur a sonné à la porte et tout naturellement je suis allé lui ouvrir. Elle portait un tailleur assez strict mais avec une jupe qui s'arrêtait en haut des genoux et un haut qui moulait de très près ses seins.
Cécile s'effondra sur moi, et pendant qu'elle reprenait ses esprits ma femme s'était relevée et l'embrassait sur tout son corps. Petit à petit, elle se rapprocha du cul de sa sur et de ma bite toujours dure et enfoncé dans sa chatte. Elle commença à caresser la partie de ma queue qui ne rentrait pas dans sa sur ainsi que mes couilles. La sensation de la langue sur l'anus de Cécile la fit sursauter :
- " Mais que fais tu ? "
- " Je te prépare pour la suite car Thomas n'a pas encore joui lui. " lui répondit ma femme.
- " Oh, oui je sens qu'il est encore bien dur mais je n'en peux plus moi, il m'a vidée comme jamais. Je n'ai pas l'habitude à tant de plaisir et si longtemps. "
- " Ne t'inquiètes pas, je vais moi, l'amener au bord de l'orgasme avant que tu ne l'achèves. "
Sur cette proposition, doucement, je suis sortie de Cécile et je suis venu me placer derrière ma femme. Nous formions une brochette avec en premier Cécile, à quatre pattes sur le sofa, les jambes suffisamment écartées pour laisser à ma femme, qui elle aussi était à quatre pattes, la place pour lui titiller l'anus avec sa langue, lui caresser sa chatte avec une main et ses seins avec l'autre. Et puis moi, à genoux, prêt à pénétrer au plus profond de ma femme à avec ma grosse bite bien dure recouverte des sécrétions de sa sur. Je me présentai à l'entrée de sa chatte, fit rentrer tout doucement mon gros gland et d'un bon coup le reste. Ce mouvement provoqua un cri de ma femme mais aussi de sa sur car ma progression entraina en avant ma femme qui se colla plus à sa sur et enfonça un peu plus sa langue et ses deux doigts dans les trous de Cécile. Dans cette position, je m'agrippai au hanche de ma femme et entrepris tel un métronome des vas et viens réguliers mais rapides sur toute la longueur de mon sexe. Au bout de 10 petites minutes, ma femme toujours occupée avec sa sur gémissait de plus en plus fort, j'en profitais pour à mon tour, récupérer de la mouille et enfoncer mon pouce dans son fondement. Quelles sensations de posséder en même temps la chatte et l'anus d'une femme. En accélérant mes mouvements, cela me permit durant les 10 minutes suivantes de faire pénétrer deux doigts dans son cul. Sentant, son orgasme arriver, je suis sorti de sa chatte et d'un coup, je suis rentré dans son cul bien dilaté. Ma femme s'arrêta de s'occuper de Cécile et se mis à crier : " Encore, oh oui, plus vite, Oh mon dieu comme c'est bon. " et elle eue un énorme orgasme. " Oh putain comme c'est bon une grosse bite dans le cul, à toi Cécile, je pense que tu es bien préparée et lui aussi. " Prêt, oh oui je l'étais, j'avais presque éjaculé durant cet orgasme, et il m'avait fallu toute ma concentration pour me retenir. J'avais la bite en feu, prête à exploser et d'une grosseur à en faire pâlir un cheval.
Ma femme se décala sur le sofa pour se reposer. Pendant que je me rapprochais à quatre pattes de ma future proie. Cécile tourna sa tête et avec ses yeux de biches me dit : " Vas y doucement avec ton braquemart, c'est la première fois pour moi. " Avec toutes les précautions, je plaçai mon gland sur son illet brun, une main sur sa hanche et l'autre sur sa chatte. Puis tout en là regardant droit dans les yeux, je fis rentrer mon gland sans grande difficulté dans son anus et centimètres par centimètres je la pénétrais. Le travail de ma femme avait porté ses fruits car malgré la grosseur de ma queue et le fait que ce soit une première pour elle, je rentrais sans trop de difficulté et je pouvais lire sur son visage non pas de la douleur mais bien déjà du plaisir après une interminable progression, j'avais enfin mes 28 centimètres dans le fondement de ma belle sur. Les derniers centimètres avaient été plus durs. Je m'arrêtais donc un instant sans bouger mais en lui caressant son clitoris. Puis d'elle même, elle commença des vas et vient. Au plus elle accélérait l'allure, au plus je pouvais voir son plaisir. Au bout d'une vingtaine de minutes et sur un rythme endiablé, elle se retourna d'un coup vers sa sur et lui cria presque : " Connasse, s'est trop bon, pourquoi je n'y ai pas le droit tous les jours moi. " Et dans un dernier mouvement s'empala compétemment sur ma queue, se redressa et la tête en arrière, jouie comme une folle. Etant moi aussi au bord de la jouissance, je me suis presque relevé pour lui enfoncer les derniers centimètres de ma queue et me déversa à grands flots dans sons cul.
Une fois ce tsunami passé, nous nous sommes tous les trois installés dans le sofa. Les uns contre les autres, tout en nous caressant. Cécile rompit le silence :
- C'était merveilleux. Je ne pourrai plus m'en passer.
- J'ai beaucoup aimé moi aussi, quel plaisir de lire et surtout d'entendre la jouissance de ma grande sur. Si Thomas le veut, je te le prêterai quand tu auras besoins de te faire du bien.
Les deux surs me regardaient pour connaître ma réponse. Je fis semblant de réfléchir mais comment dire non à deux superbes créatures qui vous promettent mille et un plaisirs.
28par7
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Un grand merci à Georges G. qui a effectué un très gros travail de correction.
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