Fin De Vacances Mouvementées Pour Marion.
Les vieilles ont une mauvaise habitude, elles ne ferment jamais les portes.
C'est ainsi que Marion pénètre dans la salle de bains, et surprend Marcelle et sa grand-mère dans une position sans équivoque.
Margot est appuyée contre le mur, jambes écartées.
Marcelle est accroupie devant elle, et lui suce la chatte.
-Passe bien ta langue sur mon bouton, supplie Margot. Je suis toute mouillée salope.
Met moi un doigt dans le cul, vas-y chéri, encule moi. Comme çà, hou, c'est bon, hou
Ha..ha.. Oui, je joui, t'arrête pas.
Marcelle se relève, la bouche pleine de mouille, et embrasse Margot, puis se met à quatre pattes.
-A moi maintenant, ordonne Marcelle, chatte moi.
Margot se place derrière elle, rentre deux doigts dans sa chatte, et commence à la branler.
-Si tu te voyais, dit Margot, la coupe que tu as. Les fesses bien écartées, ton minou tout mouillé en train de se faire doigter, ce salaud. Et ton clitoris, fait voir que je le calme.
-Oh Margot, claque moi les fesses, s'il te plait. Donne moi une fessée. Je nai pas été sage, mon petit bouton surtout, sort le.
Margot joue avec Marcelle entièrement soumise.
-Tu aimes te faire prendre comme çà, te faire décalotter le clitoris. Tiens, prend çà petit cochon. Ta maîtresse veux que tu sortes.
-Obéit, petit salaud, crie Marcelle, c'est grâce à toi si je joui. Oh putain, je crache Hou..ha..ouiiii.
Demi-heure plus tard, les deux vieilles arrivent au salon pour prendre le petit déjeuner.
-Bonjour, mamie, bonjour Marcelle, dit Marion. Bien dormi.
-Très bien, et toi ma chérie, il y a pas eu trop de bruit cette nuit ? Demande Marcelle.
-Non, çà allé. Au fait, mamie, David m'a invitée pour à une croisière ce week-end, çà te dérange pas si j'y vais ?
-Pas du tout, répond Margot, vous êtes nombreux ?
-Que nous deux, reprend Marion.
-Quoi, fait Margot. Il nen est pas question. Malheur.
Margot regagne sa chambre pour se préparer. C'est elle, aujourd'hui, qui doit faire les courses.
Marion, en colère, se retourne vers Marcelle.
- Si tu ne m'aides pas, menace Marion, je balance tout.
-Tu veux balancer quoi, et à qui ? demande Marcelle. Non seulement tu vas rien balancer, ma petite, mais tu vas faire ce que je te dis. Ta croisière en dépend. Je peux t'aider.
Marion, méfiante, hésite à répondre.
-Que dois-je faire? demande-t-elle.
-Viens devant moi, ordonne Marcelle. Quitte ta chemise..
Marion fixe Marcelle. Elle veut quoi au juste? Marion fait passer sa chemise de nuit par dessus sa tête. Elle est toute nue.
Un sifflet admiratif sort des lèvres de Marcelle.
-Quel corps, oh la la. Connaissant David, il doit se régaler.
-Mais, riposte Marion, il n'y a rien entre nous.
-Chut, répond Marcelle. Je te comprend, un beau mec comme çà, et qui plus est, très riche.
Marcelle avance une main entre les cuisses de Marion, et avec deux doigts, lui parcours les lèvres.
-Tu es toute épilée, remarque Marcelle, que c'est beau, et ton clitoris, fais moi voir ton clitoris. Il doit être tout jeune encore..
Comme une automate, Marion écarte sa chatte, et, avec deux doigts, montre son clitoris à Marcelle.
Marcelle mouille un doigt, et frictionne le petit organe en faisant des mouvements circulaires
Marion ferme les yeux et se surprend à soupirer. Marcelle s'en aperçoit.
-Viens sur mes genoux, dit-elle. Ecarte bien tes jambes. Tu vas voir comme une vieille peut te faire du bien aussi.
Marion est assise, légèrement sur le côté. Marcelle a pris un sein d'une main, et fait rouler le bout entre ses doigts.
Les seins et les bouts, très durs, trahissent Marion. Elle n'est pas insensible aux caresses.
De l'autre main, Marcelle s'occupe de la chatte de Marion.
Elle écarte les lèvres toutes mouillées, et la pénètre avec deux doigts.
Le corps de Marion ondule sur les genoux de Marcelle. Sa respiration s'accélère.
-Oh, ma petite chatte, gémit-elle, et mon petit bouton. Qu'est ce que vous fait mon dieu?
On va vous faire pleurer. Et en plus vous vous régalez de me voir bouger le cul comme çà.
Mais c'est vôtre faute, salauds. Hou..ha..ha..ha oui Marcelle, c'est bon, je joui, vas-y, oui je me vide.
Marion prend la bouche de Marcelle, et lui enfonce sa langue, pour un long baiser.
-Tu as vu comme je t'ai doigtée, dit Marcelle, comme ta jeune chatte a joui. Une vraie pute.
Tu l'as mérité ta croisière. Je m'occupe de ta grand-mère.
Le vendredi après midi, Marion et David embarquent. David passe les consignes.
-Ont est que tout les deux, dit-il. On va vivre tout nu pendant tout le week-end. Sauf sur le pont. On peut nous voir du ciel.
-Super, répond Marion, comme çà, je pourrai me tenir à ta queue si j'ai le mal de mer.
-Mais, ma chérie, si la mer est démontée, je pourrai m'encrer en toi.
Marion se jette sur lui, et le fait tomber sur le lit.
-Tu me fais mouiller salaud, dit-elle. Explique moi comme tu vas faire pour t'encrer en moi.
La queue de David est en érection. Il ne peut résister à l'assaut de la bouche de Marion.
Le gland, entièrement décalotté, est aspiré, mordu, branlé.
-Oh putain, çà commence bien, viens sur moi Marion.
-Non, répond-elle, je suis à jeun ce matin, j'ai besoin de quelque chose de chaud dans le ventre, tu comprends?
-Mais tu vas me faire jouir, râle David. Tu vois mes couilles qui remontent. Caressent les, pressent les. Haaaaaa , vas-y, je crache, je joui dans ta bouche, que c'est bon. Viens ici mon amour. Pourquoi tu nas pas voulu te mettre sur moi ?
-Les hommes aiment se faire sucer. J'ai voulu te faire plaisir. On est juste au début de la croisière. A la fin, tes couilles seront tellement plates, que te tu me supplieras d'arrêter.
-T'avances pas trop, répond David. Aller, viens sur moi que je te donne.
Marion monte sur David, et s'empale sur sa queue toujours en érection.
-Regarde comme ma chatte avale ton rat, dit Marion. Le pauvre, tu vas voir comme il va pleurer.
Marion serre la bite de David comme dans un étau.
-Chérie, mais qu'est ce que tu me fais, où as-tu appris à faire tout çà ? Ha.ha.hou, oui, oui.
-Je fais tout çà pour toi, mon amour, dit-elle. Ah, mais c'est quoi que je sens ? Mais, il pleure.
-Ouiiii, il pleure, hurle David, tu m'as eu, vas-y, serre le.
-Ma chatte aussi pleure, cri Marion, cette pute. Elle voulait faire la belle. Ben voilà, elle est punie elle aussi. Ha...ha..ha, oui, comme je me le fais mettre.
Les deux amants s'affalent sur le lit. Un peu de repos s'impose.
Le samedi, la journée est assez calme. Un petit câlin le matin quand même.
Pour le reste, baignade, sieste, et dvd. C'est au repas du soir que les choses s'enveniment.
-Tu veux un dessert ma chérie ? Demande David.
Un regard et un sourire malicieux traversent le visage de Marion. Elle se glisse sous la table et saisit les attributs de son amant.
-Je peux me servir ? dit-elle.
Sans attendre de réponse, elle joue avec la queue de David, jusqu'à ce qu'elle atteigne une taille intéressante, et l'avale.
-C'est pas vrai, soupire David, mais tu vas me .
-Je t'avais averti, arrive-t-elle à répondre.
Au bout de cinq minutes, les jets de sperme giclent dans la gorge de Marion.
Nous sommes le dimanche matin. David est toujours opérationnel. En se réveillant, il sent une agréable sensation au bas ventre.
Marion lui a décalotté le gland et, de ses lèvres, joue avec, écartant le méat, essayant d'y rentrer le bout de sa langue.
-Oh mon dieu, que vais-je faire sans toi, murmure David.
-Et moi, répond Marion. De penser qu'il va falloir se quitter.
-Comme tu me suces, gémit David, vas-y chérie, amuse toi.
-Je t'ai encore eu, ironise Marion, çà touche à sa fin, tu vas abandonner, ou quoi. Quel tempérament.
-On a encore le temps avant de rentrer, dit David.
Les deux amants prennent une douche, et retourne au lit.
-Chéri, dit Marion, viens que je t'achève. Prend moi en levrette cette fois, j'aime.
Une fois en place, David avance son membre toujours tendu, vers la rosette de Marion.
-Et là, çà te dis ? demande David.
-Oh oui, répond Marion, vas-y, si çà te fait plaisir.
-Si tu as mal, tu me le dis.
David commence sa pénétration, jusqu'à ce que sa queue toute entière soit rentrée.
Ses couilles tapent contre les fesses de sa maîtresse.
-Mon amour, comme tu m'encules, salaud, mais tu es increvable. Gratte moi la chatte, mon bouton, mes seins, tout, tout. Tout est à toi.
David change de trou. Il fait coulisser sa queue dans la chatte de Marion, et accélère ses va et viens.
Marion n'en peut plus. Ses bras fléchissent. Elle tombe, la tête en avant sur le lit, sa chatte toujours offerte aux coups de queues de David. Il savoure sa victoire.
-Alors, dit-il triomphant, on suit plus.On voulait me mettre à genoux. Qui est le maître ?
-C'est toi salaud, répond Marion au bord de l'épuisement.
-Tu sens comme je me vide en toi, tu sens ma semence envahir ton corps, hein ?
-Oui, je la sens mon amour, fait toi plaisir mon chéri, vide tes couilles. Tu m'as régalée en trois jours. Tu m'a doigtée, sucée, baisée, enculée. Quel amant merveilleux tu es.
J'espère qu'on se reverra. Passe devant que je te nettoie la queue. Elle doit être sale.
Marion, les larmes aux yeux, s'est assoupie contre David.
Les deux amants se reposent avant de regagner le port.
Ils promettent de se revoir.
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