On Peut Dire : Cathy Est Une Chaude !

Nous roulons tranquillement quand Patrick me fait savoir qu'il a envie d'une pipe bien baveuse et profonde. Tout en s'exprimant, il s'engage dans un chemin forestier. Vous me connaissez maintenant, je suis une chaude du cul, comme on dit. J'enlève ma jupe, mon chemisier ; il ne me reste que les bas et le porte-jarretelles que Patrick avait exigé que je porte, malgré le beau temps.
A genoux sur mon siège, je suis en train de lui sucer la queue, il a passé une main entre mes jambes et me caresse le minet, quand il voit qu'un homme qui a dû se tenir caché derrière le feuillage s'approche de la voiture… Le salaud ! Il veut mater notre petite fête. Patrick me dit :
- Il y a un type qui s'approche de nous en se cachant. Il veut jouer les voyeurs…
Il m'empêche de me relever pour voir qui s'approche en me maintenant d'une main ferme sur sa queue, j'arrive à lui répondre avant de reprendre en bouche son mandrin :
- Et alors! Moi ça ne me gêne pas Au contraire, ça m'excite !
Il me répond :
- C'est un bon gros paysan, on va le gâter !
Toujours à genoux sur mon siège et en bouche sa queue qui n'a pas débandé Je lui dit :
- Tripote-moi bien la chatte. Ça m'excite de savoir qu'une autre personne nous regarde. Que fait-il ?
- Il se rapproche toujours et ne se cache plus, il a vu ton cul et a compris que tu es d'accord pour qu'il regarde. Il est tout près, tu n'entends pas sa respiration saccadée ? Il a sorti sa bite de son pantalon. Il en a une grosse et il se branle…
- Fais lui signe qu'il peut me toucher aussi !
Il obtempère et le type vient à nous. Patrick est aussi excité. Ses doigts entrent de plus en plus facilement dans ma chatte qui coule. Le paysan a posé ses mains sur mes fesses et cherche à les ouvrir le plus possible, pour voir le petit trou. Je lâche la queue de Patrick me retourne vers le voyeur. Il se branle devant la vitre baissée, je me penche en passant la tête au dehors et je suce ce gros mandrin noueux.

Patrick se met à me lécher la pastille, je ronronne comme une chatte en chaleur. Mon voyeur se met à jouir sur mon visage. Ses jets s'écrasent sur mes joues et sur la portière. Insatisfaite, j'entreprends de le branler et de le sucer. La langue de Patrick sur ma rondelle me rend folle, je veux deux bonnes queues en moi.
Rapidement il se remet à bander. Je prends l'initiative, impatiente de me faire mettre.
- Maintenant vous allez me baiser tous les deux en même temps ! Toi, Patrick tu ouvres la portière, tu t'assieds à ma place, les jambes dehors Je vais me mettre sur toi, et toi, le paysan tu vas m'enculer, maintenant qu'il a bien préparé mon petit trou…
Patrick a mes seins devant les yeux. Il me les lèche, les triture. Je n'ai jamais eu autant de plaisir. Patrick a joui assez rapidement, le paysan a duré plus longtemps, quel pied. J'aimerai que lorsque vous lisiez mon récit, que vous pensiez : mais quelle salope, cette femme. C'est une chaude ! ! !