J'Étais Un Voyeur Malgre Moi
J'ETAIS UN VOYEUR MALGRE MOI
Par Thomas Hugh
Dans ma jeunesse, à la sortie de l'université, je fus nommé professeur dans une école d'enseignement pour adultes âgés de 18 à 32 ans."Noblesse oblige", naturellement je devais me conduire très comme il faut en écartant toutes sortes d'obscénités dans le langage comme dans la vie courante pour donner un bon exemple à mes étudiants ! En effet, les thèmes érotiques n'occupent qu'une place très restreinte dans notre culture ou littérature orientale. C'est quelque chose de "tabou" surtout en milieu scolaire et le voyeurisme par exemple est considère comme très perverti, obscène, contraire à la morale. Les voyeurs une fois pris en flagrant délit sont insultés farouchement, de façon honteuse. On leur donne des coups sans discernement ou les traduit en conseil de discipline. De plus, ils récoltent le mépris de leurs camarades de classe, leurs collègues ou leurs voisins du quartier.
Chose curieuse, un incident du voyeurisme m'est arrivé un jour au cours d'un examen médical ; heureusement je l'ai échappé belle, sain et sauf ! Je me souviens de ce jour là quand mes deux collègues et moi nous sommes allés à l'hôpital de province pour nous faire photographier. J'y vois un groupe de jeunes filles qui attendent dans le couloir.Une infirmière me dit que ces demoiselles viennent d'un collège spécialement réservé aux écoliers de minorités ethniques : Tay, Nung, Dao, H'mong, etc. Devinant ma surprise au sujet d'age scolaire, elle me donne des explications plus précises : comme un privilège, ces jeunes montagnardes sont dispensées de la limite d'age dans leur collège, c'est pourquoi la plupart d'entre elles sont majeures, âgées de 18 à 20 ans, malgré leur petite taille. De surcroît, elles jouissent des soins médicaux gratuits offerts par l'hôpital de province. Un moment après notre arrivée la porte du cabinet médical s'ouvre et le groupe des "écolières" y est entré.
A mon entrée, je ne vois rien dans la chambre noire mais peu à peu les choses deviennent plus visibles et je remarque qu'il n'y a point de cloisons ni de rideaux séparateurs ici. La lumière est mal cachée et l'obscurité est encore moins complète à cause d'une lampe rouge. Et...mon Dieu ! J'ai un sursaut en découvrant par une vision encore floue que les écolières sont aux seins nus ! Une réponse au hasard me vient à l'esprit : peut-être ce radiologue d'age moyen a l'air respectable à donné l'ordre à ces jeunes montagnardes d'ôter toutes leurs épaisseurs de vêtement pendant qu'elles font la queue sous prétexte de gagner du temps dans l'examen de radio. Mais il est également bien possible que cette décision patriarcale, déspotique, un défi au respect de la dignité humaine, soit motivée par son désir lascif de voir des poitrines de jeunes filles en plein développement.Tout compte fait, bon gré mal gré la vue de ces nichons m'offre une scène vraiment ravissante et hautement érotique. Les jeunes filles, bien qu'elles n'aient pas le teint clair, toutes respirent la santé ; elles sont pleines de vie et primitivement mignonnes avec leurs seins vierges, assez rondelets et fermes. Il va sans dire que je ne peux plus rester impassible, étant au contraire terriblement excité. En attendant mon tour avec mes deux amis à une table plus loin, près de la porte, je fais semblant d'être tranquille et indifférent tout en dirigeant furtivement mon regard vers ces poitrines nues qui m'attirent avec la force irrésistible d'un aimant. Les yeux largement ouverts, je m'efforce de percer la lumière obscurcie du cabinet pour discerner les rondeurs, les lignes de beauté plastique qui forment le contour de ces nénés. La raison c'est que ce show des seins est unique en son genre à cette époque parce qu'il est réel, vivant et infiniment supérieur aux images pornos dans les magazines Playboy circulant illégalement ou sur les écrans.
_ Allons, mon ami, c'est notre tour !
Une tape de mon collègue sur mon épaule me rappelait à la réalité tandis que mon esprit vagabondait encore dans le royaume des images érotiques. Les jours suivants, elles revenaient sans cesse dans ma mémoire quand j'étais au travail. L'obsession me poussait à un comportement peu désirable : dans mon contact avec les étudiantes de mon école, quand l'occasion se présentait, je jetais des regards fugitifs sur leurs poitrines en m'efforçant de deviner secrètement ce qui était caché sous le tissu de leurs soutifs : des petits seins, des seins aplatis, déformés, gonflés de lait, des lolos, des totoches ou des seins pendants ? Parfois, quand j'étais au bureau préparant le plan de la leçon, le souvenir du voyeurisme réapparaissait et mon vit se redressait d'une manière ennuyeuse. Pour le calmer, j'ai du recourir à la masturbation. La nuit, pendant le sommeil, quelquefois je revoyais les jeunes écolières de la haute région dans une danse de pin-up extrêmement lascive.
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