Virée Nocturne Pour Corinne
Armel, quarante ans est représentant en produits d'entretiens industriel. Cette semaine ses déplacements lobligent à loger trois nuits à l'hôtel.
Son épouse, Corinne, trente huit ans, est une jolie brune, très sérieuse, qui profite des absences de sont mari pour aller dîner chez des amis ou des parents.
Ce soir, c'est chez son frère Daniel qu'elle doit passer la soirée.
C'est sa fille Aurélie, dix huit ans, qui doit l'emmener.
Elles ont rendez-vous à la salle de judo, où Aurélie participe à une séance d'entraînement, avec son amie Laura, une jeune métis de dix neuf ans.
Il est dix huit heures trente quand Corinne arrive à la porte de la salle de judo.
Elle s'arrête net devant le hublot
Le spectacle auquel elle assiste est hallucinant.
Sa fille Aurélie est plaquée au sol par Laura.
Le bas de son kimono est jeté à deux mètres, le haut, complètement ouvert, laisse apparaître sa poitrine, pas énorme, mais très bien proportionnée.
Laura lui suce les seins. Les bouts ont doublés de longueur. Elle avance aussi une main entre les jambes écartées d'Aurélie. Laura mouille son majeur, et le fait tourner sur le clitoris.
Aurélie commence à gémir.
-C'est bon ma chérie ? Tu aimes ? Mais qui t'a fait un si joli bouton ? demande Laura.
-Ha..ha.., mais c'est ma maman, répond Aurélie. Si elle savait comme j'aime me le faire gratter.
Aurélie se déhanche de plus en plus. Ses pieds glissent sur le tapis. Sa chatte est toute mouillée.
-Oh maman, si tu voyais ce qu'on fait à ma petite chatte. Vas-y chérie, fait moi jouir dit Laura.
-Tu te régales, hein ? Sourit Laura. Tu aimes te faire doigter par ta copine ? Crache mon coeur. Laisse toi aller.
-Oh oui, oui ha..ha, Laura, je joui, tes doigts mon dieu, branle moi oui,oui, oui, embrasse moi, avec la langue.
-C'était bon, ma chérie, ajoute Laura, çà m'a fait plaisir de te faire l'amour. On remettra çà un de ces jours, n'est-ce pas ?
-Quand tu veux, répond Aurélie.
Demi-heure plus tard, Aurélie retrouve sa mère sur le trottoir, devant la salle de sport.
-Bonsoir man, dit Aurélie. Je te dépose vite fait. J'ai rendez-vous avec des amis chez mon copain ce soir.
-Tu as l'air en forme, ma chérie. Tu es radieuse, que tu es belle, vante Corinne. Allez conduit moi.
Aurélie dépose sa mère chez son oncle, et va à sa soirée.
Corinne est accueillie par Alice, sa belle soeur. Son neveu Hervé, âgé de vingt ans s'avance pour l'embrasser.
-Bonsoir tante, dit-il, Aurélie n'est pas avec toi ?
-Non, répond Corinne, elle a rendez-vous avec son copain.
La fin de la soirée approche. Il est minuit.
-Je vais vous laisser, dit Hervé, je dois retrouver des copains en boite.
-Tu peux me déposer ? demande Corinne, çà évitera à ton père de se déranger.
-Pas de problème, tatie, répond Hervé. Le temps de me préparer.
Voilà Hervé qui ramène sa tante.
Arrivé devant chez elle, Corinne lui propose de rentrer prendre un verre.
-Non, refuse Hervé, la nuit risque d'être chaude. Je veux être en possession de tous mes moyens. Mais toi, viens boire un coup avec mes amis.
-Enfin, Hervé, à mon âge, fait remarquer Corinne. J'aurai l'air de quoi. Ce nest pas ma place.
-Quoi ? S'étonne Hervé. Mais belle comme tu es, tu n'as rien à envier à mes copines.
-Non, c'est gentil. Puis si ton oncle apprenait que sa femme est allée en boite.
-Mais il n'en saura rien, assure Hervé. Allez, viens, on te fera danser.
Corinne se laisse tenter.
-Bon, dit Corinne, juste un verre et tu me ramènes.
Hervé présente sa tante à ses copains, fier de lui.
Ils s'assied, et commande une bouteille. A tour de rôle, les copains d'Hervé font danser
Corinne. Les verres aidant, Corinne apprécie de plus en plus l'ambiance de la boite, surtout quand Cyril, un copain d'Hervé devient plus entreprenant, jusqu'à proposer à
Corinne de l'a raccompagner chez elle.
-Ma dernière sortie remonte à des lustres, dit Corinne.
-C'est dommage, répond Cyril, belle comme vous êtes.
-Petit dragueur, ironise-t-elle. Vos copines sont quand même plus jeunes.
Cyril la saisit par la taille, et essai de l'embrasser.
-Mais, fait-elle, que faites vous ? Je suis mariée. Puis je pourrai être vôtre mère.
La résistance que Corinne oppose et plus par principe que par refus.
Elle sait qu'en acceptant le baiser, tout va se précipiter. Elle craque.
C'est maintenant elle qui dévore la bouche de Cyril. Deux minutes plus tard, ils sont nus tout les deux au milieu du salon.
-Prend moi, demande Corinne, fait moi l'amour.
Cyril est surpris. Il n'a jamais eu l'occasion d'avoir une femme de cet âge dans ses bras.
Sera-t-il à la hauteur ? Voilà la question qu'il se pose.
Corinne l'entraîne à la chambre. C'est elle qui prend les initiatives.
Elle le fait allonger sur le dos, et s'assied sur lui en lui tournant le dos. Elle lui prend la queue, et la glisse dans sa chatte. Ensuite, elle penche son corps en arrière.
-Quelle belle bite, râle Corinne. Que c'est bon. Tans pis si je trompe mon mari.
Cyril caresse les seins de Corinne, s'attardant sur les bouts de plus en plus durs. Une main s'aventure entre les cuisses. Corinne prend un doigt, et le guide.
-Là, gémit-elle, à cet endroit. C'est là que les femmes aiment être caressées. Tu sens mon petit bouton, ce vilain? Salaud, vas-y, tu vas me faire jouir, oui, oui, ha...ha...baise moi.
Face à cette femme d'expérience, Cyril se sent perdu, déstabilisé. Elle se retourne, et lui saisit le sexe. Le gland est tout humide, les couilles bien pleines.
-J'ai un petit creux, dit-elle, je vais te sucer. Tu vas voir comme c'est bon. Je vais tout avaler.
La queue de Cyril, prisonnière dans la bouche de Corinne, ne résiste pas longtemps aux coups de langues expertes de la jeune femme.
Elle monte encore, jusqu'à ce que sa chatte soit sur la bouche de Cyril. Elle décalotte son clitoris avec deux doigts.
-Fais moi du bien, suce mon petit bout, tu sens comme tu me fais mouiller. Après, tu me prendras en levrette.
Corinne se met en position, et d'une main passée entre ses jambes, elle guide la queue toujours en érection contre sa chatte. C'est elle qui se recule en cambrant son corps.
-Oh putain, comme tu me régales, tu en profites, salaud, tu vas te vanter auprès de tes copains. Caresse moi les seins et la chatte, s'il te plait. Chéri, tu me niques, si mon mari voyait comme je me le fais mettre par un jeune qui pourrai être son fils. Ha...ha... oui, oui
Je joui, vas-y. Oh mais toi aussi tu te vides, je le sens.
-Je me vide tu dis, sale pute, tu es en manque en ce moment, pas possible. Tu vas voir, je vais te donner encore, salope.
Vers quatre heures du matin, les amants se séparent après un baiser langoureux.
-Merci, merci, dit Cyril. J'ai beaucoup appris cette nuit. Puis t'inquiète pas, je dirai rien à personne, çà restera entre nous.
-C'est gentil, répond Corinne, tu m'as bien baisée cette nuit. Qui sait, peur être qu'un jour on se reverra. Essaie de penser à moi quand tu baiseras une fille
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