La Boulangère (Suite 2)
En allant chercher mon pain Céline, qui était seule au magasin, me fit comprendre que son mari partait en stage pour 2 jours à partir du lundi et que ses s étaient en vacances. Je lui souriais pour lui dire toute ma satisfaction.
Le lendemain, je revenais avec un colis et mes instructions. Ce colis comprenait un beau string noir ouvert, une robe noire à bretelles en strass et une paire de Dim up noir. Je te demande de venir vêtue comme cela chez moi dimanche soir était mes instructions.
Au fur et à mesure que l'on avançait vers ce dimanche, elle me fit comprendre que j'avais bon goût et que ma belle brune me ferait plaisir. Cela promettait, de plus j'avais mis sa vendeuse Karine, une belle brune, très mignonne dans le coup pour piéger sa patronne.
Le dimanche soir vers 18h30, ma sonnette retentie. C'était ma boulangère vêtue comme demandée. Tu es ravissante ma chérie. On s'embrassait fougueusement. Cette robe te va à merveille lui je. Elle met tes seins et ton cul en évidence. On va se régaler tout à l'heure lui je en souriant. Je lui servais une coupe de champagne.
Regarde ma belle j'ai juste à descendre le haut et tes nichons sont à l'air. J'en profitais pour lui pincer les tétons et les sucer. Elle n'était pas en reste et prenait mes couille en pleine main tout en buvant sa coupe de champagne puis une deuxième...
Mon chéri tu es extra me dit elle pour la peine je vais de tailler une pipe. Elle s'exécuta. Elle savait manier ma bite ainsi que mes testicules. Je dois le reconnaître quel plaisir. Elle avalait tout. Cela t'a plu Thierry me lança t'elle. C'était super ma puce.
Allez Céline, je t'invite au restaurant. Elle conduisait pendant ce temps je caressais sa cuisse pour remonter vers sa chatte. Je m'aperçu qu'elle mouillait bien. Notre entracte t'a plu également je vois Céline. Tu me fais de l'effet mon chéri. Je vois. Nous arrivons au restaurant. Je remarque au loin Karine sa vendeuse seule au bar.
Arrête mon chéri pas ici et pourquoi pas lui dis je. Tu vois tes tétons sont tout droit et ta chatte est toute humide. Elle bave même. C'est que tu prends du plaisir. Le repas se passe bien. A la fin du repas pour ne pas prendre de risques avec lalcool, je fais signe à Karine pour quelle se propose de nous ramener. Sa vendeuse, vêtue dune jupe courte et dun chemisier, ne voit pas de problème pour nous ramener.
En chemin, notre conductrice dun soir remarque que sa patronne a un peu bu. Etant monté à larrière du véhicule, jen profite pour descendre le haut de la robe de Céline et malaxe ses seins. Ils sont à lair. Elle apprécie et on commence à entendre des râles de jouissance. Oh oui mon chéri continue. Karine lui remonte sa robe. Au feu, elle touche son clitoris, tout dur déjà et na aucun mal à lui mettre un puis deux doigt dans sa chatte. Monsieur me dit elle, elle jouit vraiment la salope. Pour la mettre en confiance, je lui autorise de mappeler par mon prénom et lui rappelle que la salope est sa patronne. Elle me dit quelle ne perd rien pour attendre.
Elle reprend son chemin et je passe mes mains dans le chemisier de Karine. Arrêtez Thierry !!!! Je lui souris. En effectuant cette « manipulation », je lui arrache un bouton, ce qui a pour but davoir une meilleure emprise sur ses beaux nichons en forme de pomme.
Ce soir je vais vous faites votre fête mes chéries !!!!! Et toi Karine, je te livre Céline pour la soirée comme cadeau. Elle me sourit et me remercie. Nous arrivons chez moi. Joffre à mes deux partenaires une coupe de champagne. Pendant ce temps Karine tire sur la robe de ma maitresse et cette dernière se retrouve juste en string. Céline roule une pelle à sa vendeuse tout en lui ouvrant sa mini jupe et moi jimmobilise ses bras afin de lui ouvrir complètement son chemisier. Elle proteste pour la forme. Pour en finir je lui libère ses beaux globes que Céline sempresse de sucer en y versant un peu de champagne.
Regarde comme tu te comportes pour « une patronne ».
Je linstallais à genoux sur un tabouret avec cette barre et je lui fixai ses mains sur la barre de mon pied lit. Joubliais je lui mettais avec mon aide de camp Karine des poids lestés sur ces tétons. On va te « fortifier » ta poitrine de salope et si tu bouges cela va tirer
.sur tes seins patronne lui dit Karine et en plus ils sont dans le vide je réencherissais
Regarde Céline je vais menvoyer ta vendeuse chérie devant tes yeux
Je bousculais Karine afin quelle tombe sur le lit et pour quil remue un peu pour Céline. Cela faisait déjà de leffet. Elle commençait par protester « Aie » » ca tire »
Calme toi sinon je tinstalle un bâillon. Jembrassais goulûment ma partenaire qui me le rendait bien. Je jouais avec ses seins, ses tétons lui lécher. Cela lui fit de leffet. Sa chatte devenait bien humide. Nous nous mimes en position de 69. Je lui léchais le con tout en lui introduisant quelques doigts alternativement dans sa chatte et son anus. Elle gémissait. Karine me le rendait bien en sacharnant bien sur ma queue et mes testicules. Que cela était bon.
En attendant je mallongeait et Karine venait sempalait sur ma queue. Elle sactivait beaucoup. Ce qui avait pour effet que sa patronne subissait les choses et que ses seins bougeaient beaucoup. Je sentais le moment proche. Je me dégageais et Karine se mit à genoux sur mon lit afin de me sucer. Mon sperme partit par saccade dans sa bouche et sur ses beaux seins. Elle en avala une partie. Karine était aux anges. Je nai jamais joui ainsi Thierry. Je la remerciais. Tu va me remettre vite en forme ma chérie car maintenant je vais moccuper de ta patronne. Les choses ne tardaient pas car sous laction de sa langue et de ses mains ma bite reprit toute sa vigueur.
Ecoute Céline je vais te détacher et enlever les pinces mais tu as intérêt de nettoyer avec ta langue ta vendeuse. Les filles sembrassaient. Céline lui nettoya les seins puis son bas du ventre avec application ce qui provoqua des orgasmes à Karine. Il fallait voir comment celle ci la chatter !!!!
Moi jen profitais pour lui sucer son clitoris et son cul. Le tout était très humide. Je me mis derrière elle et dun coup je lenculais. Après un cri de douleur elle ondulait son cul tout en écartant un maximum pour bien me loffrir. Karine, toute propre, lui pelotait ses nichons. Tes une vrai salope patronne et en plus tu aimes que lon te traite ainsi. Oui reconnaissait elle « jaime le cul et la bite ». Je lui claquais le cul pour quelle ondule plus vite et Karine lui écartait encore plus les jambes.
Je mendormis de fatigue au milieu delle après avoir pris une bonne douche en commun. Le réveil ne fut pas triste
..
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!