Leslie, Transexuelle Chapitre 10
CHAPITRE 10 Souvenirs de quelques petites aventures.
Sur le bord de la route.
Je rentre à la maison par les petites routes de la campagne varoise, je viens de passer un super après-midi de bronzette dans une crique retirée, nue allongée jaurais pus me faire tirer au moins dix fois mais aucun mec ne ma véritablement branchée et je rentre ce soir un peu déprimée de ne pas mettre faite enculer, au moins une fois, en cette belle fin daprès-midi. Le soleil est couché et la nuit sest installée, il me reste encore dix kilomètres à parcourir et je me jetterais au cou de Chris pour une grosse partie de jambes en lair et je lui demanderais de me sodomiser avec son gode ceinture, cela me procure un petit sourire, je suis décidément devenue une petite salope, obsédée de sexe, mais jai encore ces dix kilomètres à me cogner avant, j'ai hâte de me blottir dans les bras de Chris pour qu'elle me raconte sa journée et me câliner.
Aux détours dun virage une vive lumière m'arrache à mes pensées lubriques. Au milieu de la route deux hommes me font signe de marrêter.
Le premier se rapproche de la voiture, je descends la vitre pour lentendre dire :
- Bonsoir madame, nous sommes en panne avec notre camionnette, si vous aviez un téléphone mobile nous pourrions appeler une dépanneuse et nous faire dépanner.
- A cette heure il serait étonnant de trouver un garage ouvert et de faire venir une dépanneuse, dis-je, mais si vous voulez je peux vous emmener à Cassis.
- Bien, ok dis le deuxième mais si cela ne vous fait rien nous allons récupérer nos affaires dans la camionnette, cela vous dérangerait de nous donner un coup de main ?
Ils ont lair sympas mais deux inconnus et pas mal foutus en plus, sans hésiter jéteins le moteur, jouvre la portière en souriant gentiment aux deux compères et je les suis vers la camionnette, la fraîcheur de la nuit dans cette campagne me saisit et ravive mes sens, une petite bise caresse mes cuisse dénudées par ma jupe trop courte qui laisse apparaître mon sexe, je nai pas remis mon string et mon intimité est dévoilé entièrement.
- Gilles, dis Rémy, regarde elle à un sexe dhomme, cest une transsexuelle.
- Rémy, dis Gilles, il faut lappeler madame ou monsieur.
- Appelez-moi madame sil vous plait, dis-je.
Je suis paralysée par le ridicule de la situation, je nai pas fait attention et me voila piégée au beau milieu de la campagne, Gilles s'approche de moi et me dit à l'oreille :
- Je sens, quon va prendre un peu de bon temps avec toi ma belle dans cette jolie campagne.
Il me sent pas farouche, et me pousse contre la camionnette et posant ses mains sur mes cuisses il mécarte les jambes, exposant mon intimité grandissante à son regard, il glisse une main entre mes cuisses et caresse mon sexe, le contact mélectrise et je suis assaillie par un torrent de désirs, je bande comme une folle sous les caresses de Gilles.
Il accentue sa caresse entre mes cuisses, je me soumets docilement, Rémy défait sa ceinture et son pantalon tombe sur ses chevilles, il prend place devant moi et me présente une verge de dimensions correctes.
- Alors ma belle, tu me suces ?, dit-il.
- Attends un peu, dis Gilles, et allons sur le bas côté.
Gilles de ses mains agiles menlève mon corsage, comme chaque jour je ne porte pas de soutien gorge. Il sexclame :
- Des seins de fillette, mais tu restes une belle salope de transsexuelle.
Les deux hommes mentraînent le long dun muret, Gilles me fait mettre à quatre pattes dans lherbe, cambrée le cul en lair pour bien mâter mon intimité avant de la violer. Il fait glisser ma petite jupe, et siffle entre ses dents :
- Cette grande salope a vraiment un beau petit cul et ça doit être tout serré.
Rémy entreprend de me baiser la bouche, debout devant moi il donne de grands coups de reins entre mes lèvres, Gilles pendant ce temps pose son pouce sur mon anus et dune pression il vient perforer mon petit trou, je l'entends se défaire et laisser son pantalon tomber sur ses chaussures et ses mains agrippent mes fesses et il me force le trou d'un coup.
Il me lime sans retenu mon petit anneau est dilaté, lentement le plaisir monte dans mon ventre, Gilles vient épouser la cambrure de mes reins à chaque va et vient, je suis ramonée comme une salope par ce couple de complices.
Rémy me possède à son tour et jhurle sous ses coups de boutoirs alors quil est dans mes reins, il me prend par les cheveux, me cambre en arrière pour mieux me perforer, je me soumets, trop contente de ne pas rentrée bredouille à la maison et Gilles baise ma bouche comme un forcené tandis que Rémy de son côté s'abandonne à grands jets de sperme au fond de mes reins. Ils changent de position et cest au tour de Gilles de me remplir les reins de sa son sperme.
Comme promis je les emmène en ville, et je les dépose devant un garage, jespère quils garderont un bon souvenir de cette aventure.
Une autre fois au sauna.
Il ma draguée dans ce sauna où je me suis rendue pour me détendre, sans arrière pensée, juste avoir un instant de plaisir en prenant soin de mon corps, après un sauna et un massage relaxant entre les mains dun expert, je me sens en pleine forme et décide de prendre une bonne douche et aller faire quelques achats en ville.
Cest dans le vestiaire que tout bascula, je suis entrain de sécher, nue, lorsquil apparut nu sortant lui aussi de la douche, un beau mâle, racé et avec un membre circoncis, mais quel membre, mon cur se mit à battre la chamade en le voyant. Il saperçut de mon trouble et de mon physique de transsexuelle.
- Tu es très belle, me dit-il.
- Merci, lui dis-je dune voix troublée.
Il me regarde en me détaillant, et son sexe commence à se redresser, prenant des proportions imposantes.
- Taimerais y goûter, me dit-il en montrant son sexe du doigt.
- Il me parait trop gros pour mon petit cul étroit.
- Ne tinquiètes pas jai lhabitude et je suis très doux.
Jai la gorge serrée, mais je sens le désir envahir mon ventre.
- Je sens que tu en as envie, alors suces moi et puis tu décideras après, rajoute til.
Il sapproche et sans men rendre compte je maccroupis devant lui, me retrouvant avec son membre devant moi, jouvre la bouche et prend son gland aux bords des lèvres, puis le rentre doucement dans ma bouche, il durcit vite et jai du mal à le prendre entièrement dans ma bouche.
Pendant que je le suce, il me fait relever, je suis pencher sur son bas ventre son sexe toujours en bouche, il passe une main par dessus mon dos et me caresse directement lanus, dans lequel il rentre aussitôt son dos pour me doigter énergiquement, je commence à gémir.
- Tu vas voir, me dit-il, nous allons devenir de vrais amis.
- Ah oui, lui dis-je en me redressant.
- Oui, je mappelle Karl, mais je nencule pas une fille qui ne sest pas présentée, comment tappelles tu.
- Leslie.
Son doigt na pas quitté mon trou et Karl mexcite un maximum, me retrouver dans un tel état d'excitation avec un inconnu qui au bout de cinq minutes après notre rencontre me doigte le cul, me fait penser que je suis une vraie salope, comment puis-je moffrir aussi vite et sans réserve à un inconnu sous prétexte quil à un engin hors du commun et me conduire comme une femelle en chaleur, prête à tout pour se faire monter par un mâle super membrée, qui de plus risquait de me déchirer lanus.
Mais Karl savait y faire et ses caresses avaient provoquées en moi leffet espéré, javais envie de Karl.
- Oh, Karl, encule-moi tout de suite, lui dis-je dans un râle.
Karl n'était pas un homme à se poser des questions, et mon cul lintéressait et son sexe monstrueux et dressé ne montrait pas le contraire.
Il m'invita à lui tourner le dos et d'une pression sur les épaules me fit m'incliner devant, mobligeant à prendre appui de mes mains sur le banc devant moi.
Cambrée et les jambes écartées, les pieds solidement posés sur le carrelage, je ne pouvais mieux lui présenter mon cul.
Le cul enduit de gel, Karl présente son gland a l'entrée de mon illet, par la taille de son engin il va me déchirer en deux et la peur me fait frémir, il sen rend compte et massure quil va me posséder le plus délicatement possible.
Dès la première tentative, il ne peut rentrer son gland tant jétais contractée par la peur, lanus serré et sans le vouloir je me refuse à la pénétration, il prend alors mon sexe en main et tout en laissant son gland sur mon anus il me branle, sa ma min autour de mon sexe ma détend un peu, la caresse me procure du plaisir et Karl le sait, je sens son membre frémissant à lorée de mon intimité, Karl me tient par la queue et pousse sa verge en moi, je sens mon sphincter s'ouvrir sous la pression de son membre et mon cul se dilate pour absorber son membre au fur et à mesure de sa poussée.
Inexorablement, Karl entre en moi, je me sens complètement distendue du cul, son sexe me remplit entièrement, et son pubis entre en contact de mes fesses, il est au fond de moi.
Le souffle coupé, je n'en reviens pas de pouvoir accueillir en moi un pareil engin, j'ai l'impression d'être entièrement défoncée par ce sexe immense hors du commun, mon petit cul si serré lenserre comme un fourreau de soie,
Karl solidement planté en moi, me branle le sexe et me dit :
- Leslie, tu as un petit cul serré et fait pour être sodomisé.
- Ohhh, Karl jen prends plein le cul.
- Tu vas voir tu vas adorer, me réponds til.
Il donne un furieux coup de rein et s'enfonce en moi encore plus profondément, ses mains solidement accrochées à mes hanches, Karl entreprit alors de menculer comme jamais je ne lavais été auparavant, même dans les parties de cul torrides auxquelles il mà été donnée de participer.
Je sentais à chaque introduction son membre me remplir, Karl me pilonne sans état dâme, et à chacun de ses retraits il me laisse le cul avide d'être remplit à nouveau. Il trouve son rythme qui me fait gémir de plaisir sous les coups de son membre et un râle rauque sort de ma gorge à chaque fois que je sens son membre à nouveau s'enfoncer jusqu'à la garde, je suis dans un état second remplie du plaisir qui investit mon ventre, je m'abandonne à mon amant et il se répandant en moi, le faisant jouir de mon corps offert, il me remplit de sa jouissance tandis que mon cul se contracte pour lui enserrer le membre. Je jouis à mon tour, répandant ma jouissance sur le carrelage, alors que Karl est encore dur en moi.
Il attend que je reprenne mes esprits et que je me redresse pour se retirer de mon cul.
Rapidement il passe son survêtement et après mavoir déposé un baiser sur les lèvres, il me dit :
- Jespère te revoir, Leslie, tu es un sacré coup, avec un petit cul denfer.
Le sac de sport sur lépaule, il quitte les vestiaires, me laissant le cul grand ouvert et en feu, remplit de sa jouissance.
Je me dis que je reviendrais, et pourvu que ce soit un habitué.
Jacques, un soir à la sauvette.
Il fait nuit et voilà un moment que je suis couchée, mais je suis réveillée par le bruit de la porte de ma chambre qui se referme sur Jacques.
Il me trouva allongée nue sur le ventre, seulement vêtue d'un string comme à laccoutumé. Jacques, est nu et je remarque quil est en érection, il sapproche du lit et se penche vers moi, il en profite pour envoyer sa main caresser mes fesses.
Je ne dis rien, cambrant mes reins pour lui faire comprendre que je suis daccord. Il se place sur moi en mettant ses genoux de part et dautre de mes hanches, puis je sens son sexe appuyer dans la raie de mon cul.
Il me dit à loreille quil allait me sodomiser, mais je men doutais un peu.
Jacques s'empare du tube de lubrifiant qui est sur ma table de nuit, il presse le tube sur mon anus, ce qui me fit tressaillir en sentant la fraîcheur du gel sur mes parois intimes. Jacques me demande d'écarter mes fesses et présente son gland à lentrée de mon orifice graissé.
IL pousse avec une infinie douceur, et je serre les dents pour ne pas hurler, même si je suis habituée au sexe de Jacques, qui ne manque aucune occasion pour menculer, ce soir je le trouve gros, mais force mon anneau et entre en moi, je me sens perforée et pénétrée en profondeur.
Mais Jacques me connaît bien, il s'enfonce jusqu'aux couilles en moi et attend, immobile que je mhabitue à sa pénétration, puis il sent que je me détends peu à peu, mon rectum s'habituant à la présence de son pieu de chair, alors il commence à aller et venir en moi.
Cette sodomie inattendue me procure un plaisir divin, une certaine sensation de bien être... Il allait et venait de plus en plus facilement entre mes reins, me faisant hululer de plaisir, ne pouvant résister plus longtemps au divin ramonage, je fus envahie de spasmes, je jouis du cul, tandis que ma bouche s'ouvre en un cri muet.
Ma jouissance précipite celle de Jacques qui se répand en moi, minondant me entrailles de son foutre chaud.
Je ressentis un vide quand il se retira de mes fesses, puis m'embrassa tendrement en me disant à loreille :
- Tu sais, Leslie jai des amis qui désirent te rencontrer
..
Puis il se retira pour aller dans sa chambre.
A suivre
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