Corinne Au Secours D'Hervé.

Une fois sur le pas de la porte, Corinne lève les yeux aux ciel. Le temps est à l'orage, très menaçant. Elle décide de ne pas prendre de risques, et rentre chez elle.
A peine dedans, c'est le déluge. Elle quitte son short culotte et se prépare à mettre un string, quand on sonne à la porte.
"Qui cela peut-il être, pense-t-elle"
Elle ouvre. Son neveu Hervé est figé sur le pas de la porte, trempé comme une soupe.
-Mon dieu, dit Corinne, mon pauvre chéri. Dans quel état tu es ? Rentre te sécher, vite.
-Merci, tante, répond Hervé, quelle galère. J'étais juste à côté, alors, je me suis permis de venir chez toi. Je ne te dérange pas ?
-Mais, pas du tout, reprend Corinne, tu as bien fait. Vas à la salle de bains, tu trouveras ce qu'il faut. J'espère que les habits de ton oncle vont être de ta taille. Au moins en attendant que les tiens sèchent.
Corinne emmène des vêtements secs à Hervé.
La salle de bains est entre ouverte. Elle passe sa tête.
"Putain, le neveu, comme il est monté !"
Même au repos, le sexe d'Hervé est assez impressionnant, avec une belle paire de couilles.
Hervé s'enroule dans une serviette.
Corinne passe sa langue sur ses lèvres.
-Je peux entrer, demande-t-elle.
-Oui, tante, entre.
-Tiens, essaie ça, dit-elle.
Sans attendre que Corinne sorte, Hervé fait glisser la serviette, et se retrouve entièrement nu. Il sent que sa tante le regarde.
-Tu as l'air surprise, remarque Hervé. L'oncle aussi en a une ?
-Pas si grosse, répond Corinne, tu dois combler les filles avec une queue pareille. Quelle chance elles ont.
-Tu peux la toucher si tu veux, on est que tout les deux, dit Hervé.
-Mais, Hervé, je suis ta tante, que penseras-tu de moi après.
-Je penserais que tu as bien fait d'en profiter. Répond-il.
Ni une ni deux, Corinne se déshabille. Elle saisit Hervé par la queue.
-Viens, lui dit-elle, tu as raison, pourquoi se gêner.

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Arrivé à la chambre, la queue d'Hervé est en érection, prête à l'emploie.
-Putain, quelle bite, s'extasie Corinne, tout çà pour moi. Et ces couilles, il faut les vider.
-Mais vas-y, tatie, tout çà c'est pour toi. Tu sais, toi aussi tu es baisable.Je vais te donner, tu vas voir.
-Moi aussi, je vais te régaler. Tu vas en redemander. Je vais te vider mon chéri.
Ils s'allongent sur le lit.

"Merde, s'écrie Laura, j'ai oublié le vanity d'Aurélie. Heureusement, je suis à deux pas, je vais le récupérer".
Laura sonne, aucune réponse. Elle tourne la poignée, la porte s'ouvre. Elle rentre. Elle se dirige vers la chambre d'Aurélie, quand des bruits, venant de la chambre de Corinne attirent son attention.
Elle pousse la porte. Et là, elle reste clouée sur place. Puis, un sourire éclaire son visage.
Le couple en est aux préliminaires.
Corinne a décalotté la queue d'Hervé, et la branle lentement.
Lui, caresse maladroitement le clitoris de Corinne.
On entend des gloussements de plaisirs.
-Est ce que je peux participer ? Demande Laura.
Le couple, surpris, bondit sur le lit.
Hervé a les yeux grands ouverts. Corinne, essaie tant bien que mal de cacher sa nudité.
-Je t'ai doigtée tout le matin et maintenant tu te caches, fait remarqué Laura.
-Non, mais c'est pas ce que tu crois, répond Corinne.
Hervé sent le bon coup. Par contre, il va falloir assurer.
-Je crois ce que je vois, reprend Laura. Je veux être de la partie, c'est tout.
-Tante, dit Hervé, qu'est ce qu'on risque? Çà n'a pas l'air mal à trois. C'est une expérience à tenter.
Corinne réfléchie et accepte.
-Viens ma chérie, au point ou j'en suis, répond Corinne.
Laura se met toute nue et se jette sur le lit.
-Tu vas voir ce qu'on va te mettre, dit-elle.
-J'y compte bien, répond Corinne.
Au passage, Laura happe la queue d'Hervé, et attaque le gland à coup de langue.
-J'ai rarement vu un outil pareil, dit Laura, j'espère que tu sais t'en servir.. A toi, Corinne commence.
Hervé est sur le dos. Corinne s'assied sur lui. C'est Laura qui guide la queue dans la chatte de Corinne.
-Oh, putain, crie Corinne, çà c'est du calibre.
-Elle a tout avalée la salope, dit Laura. Elle est tellement mouillée. Et tes seins, ils en veulent aussi. Regarde les bouts que tu as.
Laura mène les débats. Elle a une main sur les seins de Corinne, et de l'autre, elle palpe les couilles d'Hervé.
-Embrasse moi, ma chérie, implore Corinne. Gratte mon bouton, vas-y.
-Tu te régales, hein ? Demande Laura. Comme tu te le fais mettre, petite pute.
-C'est vous qui me rendez pute, gémit Corinne, mais c'est tellement bon.
-Ha..ha...oui., hurle Hervé, je crache, vas-y, remue ton cul salope, je viens,ha...ha.... oui.
Laura pousse Corinne sur le côté, prend le gland plein de sperme et de mouille, et l'enfonce dans sa bouche.
-Oh le con, soupire Hervé, que c'est bon.
Laura saisit Corinne par les cheveux.
-Pendant que je le suce, dit-elle, bouffe moi la chatte. Décalotte bien mon bouton, c'est un ordre. Après, on s'occupera de ton petit trou.
Corinne s'active sur le clito de Laura. Avec deux doigts, elle l'a branle. Laura hurle.
-Woua, ha..ha..,doigte mon amour, t'arrêtes pas, tu me fais jouir, oui...oui.
Même Hervé, pour la deuxième fois, vide sa semence. Avec sa langue, Laura lui nettoie le gland.
-Met toi en place Corinne, il va te sodomiser, ordonne Laura.
Corinne obéit, se met quatre pattes. Laura mouille la rosette de Corinne avec deux doigts.
-Vas-y, dit-elle a Hervé, fait lui voir de quoi tu es capable.
Hervé la pénètre d'un coup.
Corinne hurle de douleur.
Armel, son mari, est moins bien monté, puis la sodomie, ce n’est pas son truc.
-Putain, comme il m'encule, il est en train de m'ouvrir en deux, pleure Corinne. Et toi salope, tu le laisses faire. Caresse moi au moins, de partout, s'il te plait.
Dans un cri de bête, Hervé éjacule pour la troisième fois, dans le cul de sa tante..
Corinne, épuisée, les yeux cernés, s'écroule sur le lit.
-Moi aussi j'ai envie d'un coup de queue, supplie Laura. Prend moi Hervé.
C'est en levrette que Laura se fait niquer. Hervé a du coeur. Finalement, il s'en sera bien sorti. Tenir tête à deux femmes.
Par dessous, Laura lui a saisit les couilles, et les pressent pour faire monter le jus.
L'orgasme est terrible. Laura pleure, crie, elle aussi est matée, épuisée.
-Quel amant soupire Laura.
-Et quelles putes toutes les deux, ironise Hervé.
C'est épuisé lui aussi, que Hervé quitte la villa.
Laura prend Corinne dans ses bras et la serre contre elle. Elle essaie de la caresser.
-Non, supplie Corinne, assez, il faut que j'arrête ces conneries. Mon mari ne mérite pas çà.
-Tu as raison, reconnaît Laura, je te laisse te reposer.
Laura se dirige vers la porte, ouvre
Corinne bondit sur elle.
-Hé, dit Corinne, ne part pas comme çà.
Elle pousse la porte avec son pied et plaque Laura. Elle lui prend les lèvres et l'embrasse amoureusement.
- Avec une femme, ce n’est pas pareil, précise Corinne. Mon mari ne sera pas contre. Toi, je ne veux pas te perdre.
- Tu ne me perdras jamais, répond Laura. A partir de ce soir, j'ai deux amantes.La mère et la fille. Je vous aime toutes les deux.
Après un dernier baiser, Laura s'en va, en oubliant le vanity. Quelle tête !