Ma Rencontre Avec Marion, Autrice Sur Hds (3)

Bonjour à tou.te.s,
Pardonnez-moi pour cette coquille dans le premier chapitre, mais il s'agit bien de Coquine3618 et non 1836 comme je l'avais indiqué.
Je vous conseille de lire ses histoires qui sont croustillantes. Elle fait monter le suspense et le désir avec un talent indéniable.

Reprenons:
Je laisse Marion reprendre ses esprits. Elle se relève, rajuste sa jupe, et se met à genoux devant moi. Avec des mouvements précipités, elle tente de défaire la boucle de ma ceinture, et fait glisser ma braguette vers le bas. Je me lève et me poste face à elle. Ses lèvres baisent mon ventre et mes hanches tandis que ses mains font glisser mon jean jusqu’à mes chevilles. Elle salive à la vue du chapiteau que fait mon caleçon et lève vers moi un regard implorant.
— Je peux ?
— Fais-toi plaisir.
Ses mains glissent le long de mes cuisses et me procurent des frissons exquis. Je suis aux anges. Des décharges électriques parcourent mon corps sous les caresses de cette coquine et mon sexe vibre à l’idée de la récompense qu’il va avoir. J’ai suffisamment lu les histoires de Marion pour savoir qu’elle vénère la fellation, et qu’elle n’a aucune retenue sur ce sujet. Ses mains font glisser mon caleçon et mon chibre en sort en se redressant violement, manquant de frapper mon élève au visage. Elle sourit et l’estime du regard.
Large, dix-sept centimètres de long, il est tendu à l’horizontal et le gland est légèrement courbé vers le bas, retenu par le frein. D’un œil expert, elle estime cela en quelques millisecondes. Le capuchon de mon prépuce laisse entrevoir le bout rosé de mon gland turgescent. De l’index, Marion dessine les veines épaisses et gonflées de sang qui parcourent ma hampe.
Avant notre cours, j’ai pris soin de raser le moindre poil, sachant son appétence pour les bites glabres. Mon élève se met au travail. Elle saisit mon sexe à la base et l’empoigne ce qui le fait gonfler davantage.

Du bout de sa langue, elle passe sur mon gland et sous mon prépuce, tout en tournant autour. C’est un véritable délice. Sa main gauche, libre, caresse ma cuisse et vient malaxer mes couilles lisses et pendantes. Je jubile. Les descriptions de ses récits sont loin de refléter l’experte de la fellation qu’est devenue Marion. Elle prend mon sexe en bouche et l’enfonce un peu plus loin dans sa gorge. Il n’entre pas totalement mais sa main droite le branle avec force, tandis que sa langue joue toujours avec mon frein et mon gland. Elle fait des mouvements de va et viens, remonte, redescend, lèche ma hampe jusqu’à mes couilles qu’elle aspire, suce, lèche et mordille. Ce faisant, ses yeux bleus sont fixés sur les miens, et je perçois dans son regard toute l’animalité de cette femme qui prend du plaisir à en donner. Mon sexe dans sa bouche, elle me domine tout entier et fait étalage de cette domination en me lançant des regards faussement soumis. Elle a le dessus et un contrôle total sur ma volonté, si bien qu’au bout de quelques minutes, n’en pouvant plus, je la préviens que je vais jouir.
Elle se recule de quelques centimètres, ouvre la bouche en grand et me lance un dernier regard suppliant qui me fait céder. Je me déverse en longs jets blanchâtres sur son visage et dans sa bouche. Je pousse un râle de bonheur en exultant, et mon élève, consciencieuse, m’aspire le gland jusqu’à la dernière goutte avant d’entreprendre de me nettoyer. Je l’aide à se relever, si belle et si pure, et l’embrasse à pleine bouche, goutant sur ses lèvres le fruit de mon orgasme. Le visage de Marion éclaboussé me ma semence restera à jamais gravé dans mon esprit.