Mon Tour Du Monde 5

Une bande de voyous fait des misères à une jeune femme dans le jardin public, juste en face de chez moi lorsque je sors. Me voyant ils se dispersent et laissent la fille en pleur. Je vais la consoler, ne voyant pas d'autre moyen pour lui faire un peu oublier cette agression. Il faut dire que je n'aime pas du tout ces bandes de jeunes imbéciles jouant au plus fort alors que ce ne sont que des merdes. Enfin j'arrive plus ou moins à lui faire oublier cette affaire. Je l'invite donc au bistrot d'à côté pour lui offrir un café. Je lui raconte quelques petites historiettes pour lui remettre les idées en place. Elle me sourit enfin et me remercie. Elle a un drôle d'accent et curieux, je lui demande d'où vient-elle : De Vancouver au Canada. Son français est très bon mis à part le petit accent canadien français.
Je l'invite à déjeuner ensemble pour lui permettre de se retrouver complètement. Elle accepte gentiment. Elle vient d'arriver du Canada la veille et n'est pas tout à fait remise du décalage horaire. Malgré ce problème nous nous promenons un peu autour du quartier. Nous déjeunons donc au restaurant mais dès la fin du repas, elle veut retourner à son hôtel pour dormir. Il fait très beau temps et j'arrive à l'en dissuader. Je lui propose d'aller au cinéma et elle accepte. J'ai eu tord de lui proposer cette solution : une fois dans le noir, elle pose sa tête sur mon épaule et s'endort comme une masse. La fin du film arrive, je la réveille : elle se sent en pleine forme.
Je la félicite pour son visage ovale, ses cheveux blonds et ses magnifiques yeux bleu vert. Je n'ose pas la féliciter pour le reste car elle a un corps qui m'intéresse au plus haut point. Il n'est que 5 heures lorsque nous sortons du cinéma. Dons assez tôt pour envisager de passer un bon moment avec elle. Comme un gamin, je l'arrête pour l'embrasser à pleine bouche, à ma surprise elle me rend un baiser enflammé. Ce n'est pas une débutante : je lui passe la main autour de sa taille et je lui propose d'aller chez moi.

Elle vient sans rien dire, consciente sans doute de mes intentions : faire l'amour avec elle.
Mon chez moi n'est pas très grand : un simple studio, donc visible en rentrant : ma chambre. Je lui propose de se mettre à l'aise, c'est à dire d'ôter son chandail. Elle le fait de suite. Nous nous installons l'un près de l'autre, assis mes mains sur ses épaules en l'embrassant. Nous échangeons des baisers pendant au moins un quart d'heure. Enfin je part à la visite de son corps : ses seins sont durs, elle me laisse faire et commence elle aussi à me caresser le visage puis le cou. Je pose ma main sur une cuisse. Elle force pour les tenir fermées. Mais en insistant je peux lui mettre mes mains sous la jupe, mais sur les jambes. Elle m'excite de plus en plus. Je la couche sur le lit et là miracle : elle accepte mes privautés. Je peux lui ôter sa jupe, et son soutien gorge. Je les avais caressés à travers des vêtements mais là, la réalité faisait que ses seins étaient forts beaux aux tétons déjà durcis par les quelques caresses. Je les triture avec délicatesse et elle me dit que j'avais les mains douces et câlines. Je lui embrasse les tétons qui durcissent. Je peux enfin la mettre nue et lui prodiguer ce qu'elle attend : lui passer les mains partout sur le corps, comme un massage léger. Elle en devient très excitée, je me dévêts et enfin nu, je peux lui faire l'amour. Elle attend ça depuis un moment. Je la branle d'abord. Son sexe est très doux au toucher j'y mets ma main et trouve un sexe très humide qui me permet de décalotter son clitoris pour le sucer. En même temps je mets deux doigts dans son con qui s'ouvre. J'en profite pour lui mettre un doigt au cul, elle l'accepte. Je la fais jouir. N'y tenant plus je veux la baiser à l'instant. Elle ne veux pas de suite, elle préfère que je la suce encore, elle aime se genre de privautés. J'accepte et après un nouvel orgasme, je me mets sur elle et pénètre ma bitte dans ce con tentateur. Nous arrivons à la jouissance en même temps. Couché à coté d'elle je récupère. Mais elle pose ses mains sur mon corps, le faisant vibrer jusqu'à mon sexe qu'elle met dans sa bouche. Ses sucions ont raison de moi et je me remets à bander. Que veux tu que je te fasse maintenant ? Encule moi si tu veux, j'aime assez sentir dans mon cul un sexe masculin. Elle se met sur le ventre en écartant ses fesses pour me permettre d'y mettre ma bitte. Je vais doucement pour pénétrer son cul, mais d'un coup sec elle me fait rentrer. Je trouve des sensations inouïes en étant en elle. Nous jouissons ensemble.
Toutes les gammes ont étés faites.
Le lendemain matin elle me quitte et......... Nous ne sommes plus jamais revus.