Ma Petite Belle Soeur

Au début des années 70 jeunes mariés nous habitions avec mon épouse une petite ville où la sœur de ma femme poursuivait ses études, elle avait sa chambre dans l’appartement durant la semaine et le week-end elle rentrait chez ses parents. Travaillant souvent en déplacement, je la croisais que rarement. Après quelques mois mon épouse se retrouva enceinte, sa grossesse se passant assez mal, mes parents la reçurent chez eux pendant quelques temps. Un soir après une journée de travail plutôt salissant, je rentre à l’appartement pressé de pendre une douche. Rapidement je me déshabille dans la chambre et direction la salle de bain et là surprise ma belle sœur est sous la douche nue, je m’excuse et referme la porte. Avant cet instant je n’avais toujours vu en elle que la gamine qui sortait régulièrement avec nous durant les quatre années qui précédèrent notre mariage mais ce que je venais de voir n’était plus une gamine mais une jeune femme avec tout ce qu’il fallait là où il le fallait. Retour à la chambre je mets un slip et j’attends, elle sort de la salle de bain vêtue d’une chemise de nuit elle me regarde et rougie {je me lave et on en parle après, peux tu préparer quelque chose à manger ?}. Toilette faite toujours en slip, je la rejoins, elle est dans la cuisine le repas est prêt en mangeant on parle :
Excuse moi mais j’avais complètement oublié ta présence, j’espère que tu n’es pas trop gênée que je t’aie vu nue.
Si un peu mais moi aussi je t’ai vu nu et je n’avais encore jamais d’homme nu.
Et tu en penses quoi.
Je ne sais pas je n’ai pas eu le temps de tout voir.
Tu veux revoir ?
Pourquoi pas.
Je me lève et fais glisser mon slip elle regarde j’ai un début d’érection.
Tu sais moi aussi je ne suis pas vu grand-chose s’il te plaît quitte ta chemise de nuit.
Elle hésite pendant quelques instants se lève et d’un geste rapide retire sa chemise de nuit, elle reste debout face à moi rougissante les yeux fermés.

Ne sois pas gênée tu as un corps superbe.
Sa poitrine n’est pas très grosse des seins en poire avec des auréoles bien marquées, son ventre est plat terminé par un triangle de poils presque roux, elle est naturellement châtain clair. Elle rouvre les yeux souriante.
Merci on se rhabille maintenant.
Non on reste comme ça pour le restant de la soirée, il faut que tu t’habitues à la nudité tu veux bien ?
Oui mais pour toi ça va être dur.
En effet si mon érection n’est pas encore complète elle est déjà bien avancée mon gland est décalotté et une goutte de liquide perle sur le méat.
Nous finissons le repas, débarrassons la table ensuite la vaisselle, elle la fait je l’essuie.
Involontairement au début nos corps se frôlent mon excitation augmente, j’ai envie d’elle.
La vaisselle est terminée elle est toujours devant l’évier sans bouger je pose mes mains sur ses épaules elle se retourne son sourire est un accord nos lèvres se touchent et un baiser nous unis nos corps se serrent l’un contre l’autre en s’embrassant nous nous dirigeons vers la chambre le lit est là, nous basculons dessus. Ma main part à la découverte de son corps je caresses ses seins les bouts son durs je les pinces légèrement ensuite son ventre lentement j’approche de son sexe je sens sous mes les poils de son pubis j’accentue un peu ma caresse ses cuisses son serrées je ne pas atteindre son sexe, je descend le long de sa jambe passe ma main entre ses cuisses et je remonte vers son nid d’amour lentement elle s’ouvre ma main atteint enfin son sexe d’un doigt je commence à caresser les lèvres je sens quelle mouille elle écarte maintenant les jambes et je peux glisser mon doigt vers son clitoris je le touche par petits coups rapides elle gémit. De son coté elle n’est pas restée inactive j’ai sentie sa main se poser sur mon ventre et descendre doucement vers mon sexe ses doigts se sont resserrés sur ma tige bandante et maladroitement au début elle me branle. Notre premier baiser dure toujours nos bouches se séparent tout en continuant à lui exciter le clito je lui embrasses les seins, suces les bouts puis ma langue glisse sur son ventre je change de position et ma bouche remplace mon doigt sur son sexe, ma langue titille son clito je le suces, le mordilles elle bouge de plus en plus doucement je fais glisser mon doigt dans son vagin elle se cambre soudain ses mains viennent appuyer sur ma nuque ses hanches se soulèvent elle crie, elle vient d’avoir son premier orgasme. Elle reprend tranquillement ses esprits je n’ai pas bougé toujours entre ses cuisses je continu de lui caresser d’un doigt le clitoris. Elle me regarde souriante, je fais le parcours inverse le ventre les seins la bouche nos langues se retrouvent nos sexes sont l’un contre l’autre d’une main je prends ma queue et je le frotte entre les lèvres de son sexe plusieurs fois je pousse un peu faisant pénétrer mon gland dans son vagin puis je pousse un peu plus fort je rentre doucement dans son fourreau étroit, mouillé et chaud une résistance son hymen j’arrête la pénétration ainsi que notre baiser je relève la tête je la regarde et simplement sans un mot rien qu’en fermant les yeux elle me donne son accord nos bouches se réunissent, d’un petit coup de reins sec je la perfore le petit cri quel pousse et éteint dans la bouche de celui qui là provoqué. Je reste un moment planté en elle sans bouger puis lentement je vais et vient en elle nos bouches se sont désunies j’accélère le rythme nos corps claquent l’un contre l’autre je sens que la jouissance approche je me calme et c’est elle qui s’agite nous nous retournons elle est dessus assise les genoux repliés sous elle, ma queue plantée en elle je caresse son clito elle glisse sur ma hampe de plus en plus vite je vais jouir je ne veux pas décharger en elle je lui dis…
Arrête je vais jouir…
Moi aussi.
Trop tard je me vides en elle et elle elle jouie avec de petits cris puis elle s’effondre dessus moi cherchant sa respiration. Plusieurs fois cette nuit là nous avons refait l’amour et d’autre fois aussi.
Depuis la vie nous a éloigné mais lorsque l’on se rencontre nos regards me rajeunissent de presque 40 ans.