Mon Tour Du Monde 9 Et Fin
Le dimanche, j'aime bien faire la grasse matinée. Ce matin d'été devait normalement se dérouler comme les autres : rester au lit et flemmarder.. Décidément ça ne commençait pas très bien. Vers 8 heures, un grand bruit dans l'appartement voisin : une voix de femme et celle d'un homme. Celui-ci particulièrement remonté. J'enrageais et soudain un grand silence. Je me tourne en décidant de continuer si possible à dormir.
Mais les dieux sont contre moi : un coup de sonnette et me voilà obligé d'aller voir ce qui se passe. Au judas je vois une jeune femme de 25 ans environ presque en pleur. Surpris, j'ouvre et la jeune femme rentre chez moi sans autre forme de procès. Avec un accent prononcé dont je ne peux définir l'origine, elle m'explique qu'elle vient de rompre avec son ami, qui depuis plusieurs jours lui faisait des reproches sur tout ce qu'elle faisait. D'un seul geste il a fait ses valises et est partit rejoindre une autre ancienne amie qu'il vient de retrouver.
Je ne vois pas ce que je peux faire, ni comment la consoler. Elle ne me demande qu'un instant pour se remettre de sa rupture. Elle se raconte un peu et j'apprends qu'elle est d'origine sud africaine, descendante d'une vielle famille huguenote, donc depuis plusieurs générations installée. Je comprends le pourquoi de l'accent. Elle me dit également qu'elle a appris le français à l'université en Afrique du Sud.
Plus elle parle et plus je l'examine : c'est une très belle fille aux cheveux très longs et une poitrine agréable à regarder. Une fois assise je remarque qu'elle porte des bas noirs sous une jupe très courte une chemisette couvre le haut, sans être rentrée dans la jupe. Je lui offre un café, elle accepte et je me mets à remplir la cafetière dans la cuisine. Je la laisse un petit moment et reviens lui tenir compagnie. Je lui demande de ma parler de sa vie parisienne : elle suit des cours à la Sorbonne. Et pour le moment elle est en vacances, les voyages coûtent chers donc elle reste dans son studio.
Nous buvons un café acceptable mais elle le trouve bon. Je me demande quelle tournure vont prendre les évènements. Je suis presque nu : je ne porte qu'un pyjama. Je lui demande de m'excuser un moment pour aller m'habiller un peu. Elle me répond que je peux rester aussi peu vêtu que ça ne la dérange pas du tout. Après tout pourquoi pas.
Est-ce ma tenue ou autre chose, elle se met à faire des allusions sexuelles : qu'elle genre de femme j'aime, si des seins comme les siens ne me déplaisent pas trop. Je ne sais trop que répondre et me décide à lui renvoyer le même genre de questions. Je ne lui déplais pas sinon quel genre de mec et j'ajoute que sa tenue est très sexy. Elle rosit et elle me rétorque que vu mon pyjama, elle peut voir certaines chose : il est vrai que je commence à bander !
Je lui demande si sa rupture la touche beaucoup : un peu bien sur, mais il n'y avait pas d'amour sinon que physique entre eux. Je n'ai plus aucun scrupule, j'ai envie de la baiser. Je le lui fais comprendre en me levant, la queue raidie pour l'embrasser. Elle ne me suit pas dans cette tentative et en se levant elle accepte de m'embrasser et me rentre sa langue dans ma bouche, cela dure un bon moment. Je pose une main sur un sein, et je m'aperçois qu'elle ne porte rien sous son chemisier. Je passe lentement une main sur un sein et lui pince un peu le mamelon : elle réagit en écartant mon pyjama et me prend la bite en main. Elle commence à me branler lentement. C'est tellement bon que j'ai envie de la laisser faire jusqu'au bout. Maligne, elle arrête son manège et me laisse lui enlever tous ses vêtements. Elle est nue aussi dessous. Cette fois elle fait tomber mes habits de nuit et nous nous trouvons complètement à poil.
J'attendais se moment depuis son questionnaire sur mes préférences féminines. Nous nous pelotons l'un et l'autre: mes mains cherchent son bas ventre, les siennes caressent mes fesses. Je sens que les heures qui viennent vont être chaudes. Je trouve l'entrée de son sexe et y rentre un doigt curieux.
Je débande et nous allons dans la chambre : le lit est défait. Ca ne la gène pas. Elle s'allonge, écarte les jambes en me montrant les détails de son entrejambes : le con le cul et même le clitoris, qu'elle se met à flatter pour être plus en forme. Tout ce manège me fait encore bander. Elle regarde mon sexe se dresser vers elle, sourit en me disant : je vais prendre tout ton sexe en moi, j'en ai envie, vite viens, baisons. Se fût une baise splendide : elle accompagne mes coups de reins, jusqu'à ce que j'ai le gland au fond de son vagin. Elle gémit doucement et me demande si elle n'est pas une salope, une putain, une chienne. A chaque fois je lui dis que c'est vrai. Elle jouit rapidement et j'en profite pour lui proposer de l'enculer. Elle adore ça, me dit-elle. J'en profite d'avoir ma bite toute mouillée par sa cyprine pour lui poser mon vit sur la rondelle. Elle se fait enculer d'elle même et entame les vas et viens. Je continu à être fort bien dans ce cul disponible et très agréable.
Nous avons baisé toute la journée, sans débander. Elle a eu je ne sais combien d'orgasmes, mais pour ma part j'ai jouis au moins une bonne dizaine de fois.
Nous nous voyons souvent le dimanche pour continuer nos jeux d'amour. Elle m'avoue se branler souvent dans la semaine en pensant à nos étreintes et je lui dis que moi aussi je me branle en pensant à elle, ce qui est vrais encore aujourd'hui, presque 15 ans après !
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