Elodie Joue Les Infirmières
Suite à un accident, Raoul, un retraité de soixante deux ans, très séduisant, a été hospitalisé.
On lui a plâtré le poignet et la cheville gauche, pour une durée de trois semaines.
Raoul est veuf. C'est donc chez son fils, Jérôme, vingt quatre ans, qu'il va se faire soigner.
C'est son frère jumeau, Roger, qui le ramène. Les deux frères sont des joyeux fêtards. Les bringues, et le sexe, c'est leur truc. Jérôme peut en témoigner.
A peine installé, Elodie, très belle blonde de dix neuf ans, et épouse de Jérôme depuis un an, arrive des courses.
-Bonjour tout le monde, bonjour chéri, dit-elle à Jérôme en l'embrassant. Que se passe-t-il ?
Je vous sens inquiet.
-Aucune infirmière n'est disponible pendant trois semaines, dit Jérôme, et moi, je pars en déplacement pendant une semaine.
-Et moi, poursuit Roger, je travaille.
-Si çà pose un problème, répond Raoul, ramenez moi à l'hôpital.
-Hors de question, reprend Elodie, on va se débrouiller. Trois semaines, c'est vite passé.
-Mais, il faut le changer, le laver, dit Jérôme. Tu vas faire çà toi ? Et à mon père en plus.
-Ah, j'avais pas pensé à çà, répond Elodie. Mais s'il le faut, pourquoi pas. Il nest pas impotent.
- Je ne peux pas te l'exiger, dit Jérôme. C'est toi qui décides. Moi, çà ne me gêne pas. Toi papa ?
-Faites comme çà vous arrange, fait-il.
-Bon, c'est réglé, poursuit Jérôme, je vais préparer mes valises. Tonton, tu passeras de temps en temps.
Deux heures plus tard, Elodie et Raoul se retrouvent en tête à tête.
-Vous avez un traitement ? demande Elodie.
-Pas aujourd'hui, répond-il, juste la toilette. Je te dérange ma chérie. Tu seras récompensé.
-Je le fais pas pour çà, dit-elle, ce qui me gêne, c'est de vous voir tout nu, et de vous toucher !
-Un homme, c'est un homme, reprend Raoul, on est tous fait pareil. Passe mes béquilles, s'il te plait, je vais à la salle de bains.
Elodie reste pensive. Va-t-elle s'en sortir ? Elle pousse la porte, et voit Raoul essayer de se déshabiller. Le pauvre, il va falloir l'aider.
-A partir de demain, dit Elodie, il faudra une tenue plus appropriée. Si vous ne sortez pas, un caleçon suffira, Qu'est-ce que vous en pensez ?
-Bien sur Elodie, pas de problème.
Deux minutes après, Raoul se trouve tout nu devant sa belle fille. Gêné, il ferme les yeux.
Elodie prend un gant de toilette, et commence à laver Raoul maladroitement.
Et le sexe, il faut le nettoyer aussi. Courageusement, Elodie s'y emploie.
L'effet est immédiat. La queue grandit, jusqu'à atteindre dix huit centimètres. Elodie écarquille les yeux.
"Mais, il a rien laissé à son fils !"
-Ben, beau papa, bel engin.
Elodie lave le sexe de Raoul. Elle est obligée de la décalotter pour nettoyer le gland. Elle fini par les couilles. La première séance s'est bien passée, mais.....
De sa main droite, Raoul maintien la main d'Elodie sur sa queue.
-Qu'est-ce que vous voulez ? demande Elodie, vous croyez pas que.....
-Tu peux pas me laisser comme çà, la coupe Raoul.
-Et vôtre fils, dit-elle vous y pensez ? Vous croyez que çà lui fera plaisir s'il l'apprend ?
-Mais, il n'en saura rien, çà restera entre nous.
Elodie le sent triste, elle le plaint. Après tout, il sont que tout les deux. Et l'age n'est pas un obstacle.
Elle se place derrière lui, et commence à le masturber. Elle sent un peu d'humidité envahir sa chatte. Raoul se tend.
-Vas-y ma chérie, branle ton beau père, continue, oua, oui, je joui, je crache.
-Déjà, dit-elle, voilà, je peux nettoyer la glace maintenant. Quelle giclée, çà en avait besoin hein ? Allez, il faut nettoyer vôtre queue maintenant.
-Avec ta bouche, propose-t-il, s'il te plait.
-Quoi, rugit-elle, pas question, çà va pas.
Le repas se termine vers neuf heures. Un peu de télé, et...
-Je vais me coucher, dit Raoul, çà te fait rien ?
-Pas du tout beau papa, vous m'appelez si vous avez besoin de quoi que ce soit
Elodie va à la salle de bains pour se laver.
Vers une heure du matin, Raoul l'appelle. C'est en chemise de nuit qu'elle va le voir.
-Que vous arrive-t-il ? demande-t-elle.
-C'est mon caleçon, dit-il, il me serre.
Elle s'approche du lit, et soulève le drap. Une bosse tend le caleçon, il est en érection.
-Et, beau papa, il faut se calmer.
Elle ne sent pas la main qui passe sous la chemise de nuit.
Raoul glisse deux doigts dans la chatte humide d'Elodie.
-Oh, mon dieu, lâchez moi, je vous en prie, dit Elodie.
Mais Raoul la tire d'avantage à lui.
La respiration d'Elodie devient plus haletante, ses seins durcissent, et tendent le tissu.
Elle pousse des petits soupirs de plaisir.
Elle fait passer sa chemise de nuit par dessus sa tête, et quitte le caleçon de Raoul. Ils sont nus tout les deux.
-Où voulez-vous en venir, murmure-t-elle, vois voulez me baiser ? Moi aussi j'ai envie que vous me preniez.
Elodie monte sur le lit, enjambe Raoul, et s'empale sur sa queue.
-Ah, crie-t-elle, çà c'est de la bite. Allez-y, faites moi jouir, je suis toute mouillée. Sortez mon petit bouton aussi, ce vicieux. Mon dieu, comme ma petite chatte se fait prendre. Ha...ha...ha
Oui, oui, je joui. Et mes seins, caressez mes seins, surtout les bouts. Que c'est bon.
Elodie hurle son orgasme.
-Moi aussi je joui, gémit Raoul, ha...ha.., petite pute, tu aimes te faire baiser par un vieux, et ton beau père en plus. Mais c'est tellement bon, mon fils doit se régaler.
-Moi aussi je me régale, répond-elle, je peux vous tutoyer ?
-Entre nous, bien sur. Tu aimes faire l'amour ?
-J'aime que çà, dit-elle, surtout avec des grosses queues.
-Roger passe demain poursuit Raoul, tu veux qu'on le fasse à trois ?
-Et, doucement, je ne suis pas une traînée. Mais d'un autre côté, j'avoue que çà peut être intéressant. On verra demain. J'aimerai que tu me niques encore, regarde ma mounette, elle est toute mouillée.
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