Leslie, Transexuelle Chapitre 12
CHAPITRE 12 Rencontre sur internet, Claude.
Le contact.
Jacques et Chris sont absents pour quelques jours, ils sont montés à Paris rendre un projet, et me voila seule dans cette grande maison, en cette fin daprès midi après mettre baignée je déambule nue dans la maison, il fait bon en cette fin du mois de mai. Je décide de me connecter sur internet et passer une petite annonce et faire un dialogue avec les connectés du moment.
Installée confortablement devant lécran, je me connecte directement à mon site favori et je passe lannonce suivante :
« Jeune et belle trans, cherche homme doux et courtois pour combler un vide ».
Les réponses ne se firent pas attendre, nombreux messages me firent part de lintérêt portée sur mon annonce, mais rien ne me branche vraiment, une tristesse sinstalle et je pense me déconnecter, quand apparaît un message rédigé ainsi :
« Pour le vide jai ce quil faut, à condition dune réponse de ta part ».
Cette petite phrase me branche, et je réponds illico pour entamer un dialogue.
- Présentes toi, en détails pour démarrer.
- Claude, brun aux cheveux courts, sportif, 28 ans, à toi et je continue après, sinon je me déconnecte.
- Leslie, brune aux cheveux courts, style garçonne, 20 ans.
- Trans ?
- Oui comme le précise mon annonce.
- Et physiquement dis moi Leslie, tes comment ?
- Mince, cambrée, 1,72 m, 55kg, intégralement épilée, petite poitrine, petit cul serré.
- Intéressant comme description, tu dois être très belle.
- On me le dit, souvent même, et toi ?
- Musclé, poilu, enfin très poilu, 1,80 m, 72kg, et un bel engin pour combler ton vide.
- Quand tu dis bel engin, ça veut dire quoi ? Lui demandais-je.
- Comme tu nen as jamais vue !
Il commence à mexciter ce Claude, nue devant mon clavier, il me faut en savoir plus.
- Et à ton avis, ça fait combien « un » comme je nai jamais vue ?
- Tu viens et tu verras.
Il me met au défi, comme si jallais me dégonflée.
- Ok, jarrive !
Il me donne son adresse, et hop je me déconnecte.
La rencontre.
Juste le temps de me préparée pour aller retrouver Claude qui mattend ne voulant pas perdre de temps et désirant être provocatrice, jenfile des cuissardes noires qui montent à mi cuisses et restant dans ma nudité totale je mis un imper long en cuir noir, il suffit de louvrir pour découvrir ma nudité, je pense que je vais faire un certain effet, pourvu que ce ne soit pas un rigolo qui se la joue et me conduit vers un lapin.
Enfin, me voila partie vers ce rendez vous insolite, ne sachant pas très bien si je ne vais pas être déçue, voir même si les informations données étaient exactes, mais qui ne tente rien, na rien. Une heure plus tard, je me trouve devant la porte de lappartement de Claude, je tremble de peur et dimpatience, un bref coup de sonnette, et voila la porte qui souvre sur un très bel homme. Il se tient dans lencadrement de la porte avec juste une serviette autour de la taille.
- Pardonnes la tenue, me dit-il, je sors de la douche.
Mon il, je me dis, car il avait largement le temps de la prendre avant mon arrivée, mais peu importe il sera fin prêt en un tour de main, il me fait entrée dans son appartement propre et bien rangé, feutré où il doit faire bon vivre, direction le salon.
Je le détaille dun bref coup dil, la trentaine, brun, cheveux courts, un corps musclé quil doit entretenir, mais très poilu, les poils lui recouvrent le torse, les abdominaux et les épaules, ses bras et ses jambes sont noirs de poils, un vrai gorille, jen ai des frissons mais ce nest pas pour me déplaire, cela promet si le reste suit
..
- Mets toi à laise, me lance til.
- Heu, je
- Eh bien tu fais la timide, me dis-il sapprochant de moi.
- Non, mais c'est-à-dire que
- Bon je vais taider.
Il me déboutonne mon imper et louvre comme pour men débarrasser, et je me retrouve nue en cuissardes devant lui.
Waouh, superbe, quelle surprise, tu es magnifique Leslie, ça cest un beau cadeau, tu es prêtes à te faire câliner, mais avant prenons un verre en regardant nos corps nus, et joignant le geste à la parole il me tend une coupe de champagne et laisse tomber sa serviette au sol, dévoilant son intimité dans son intégralité. Nous sommes là debout, nus, au milieu du salon à boire une coupe de champagne et nous détaillant de la tête aux pieds, apparemment jai lair de lui plaire car il me fait des compliments sur mon corps, il me regarde avec une lueur denvie au fond des yeux. Je regarde son corps, musclé sous une épaisse toison de poils très noirs et descendant mon regard je découvre un sexe dans une immense toison brune, mais un sexe, qui mon dieu au repos, est énorme, je nen ai jamais vue un avec de telles dimensions, très épais et veiné, circoncis avec un gros gland et dune longueur hors normes, ce salaud navais pas mentit, je vais déguster
Un petit sourire se lit sur son visage et il me dit, tout en dégustant sa coupe :
- Alors, belle Leslie, suis-je un menteur, en as tu déjà vu un pareil ?
- Oh, que non Claude, mais je ne mattendais pas à voir un engin pareil.
- Tu sais, me dit-il, jai lhabitude et si tu as peur, tu peux partir, je ne ten voudrais pas, il est encore temps.
- Oh Claude cest sympa, mais maintenant que je suis là, à quoi bon fuir.
- Cest très honnête de ta part, de plus je te trouve très sexy, tu es complètement imberbe, tes cheveux à la garçonne et ta jolie queue te donne un côté ambigu, jaime les êtres comme toi, de plus les tatouages que tu portes rajoute de lérotisme à ton physique adorable.
En plus il est charmant et flatteur, je lui plais cest le principal.
Il me prend par la main et me conduit dans sa chambre, feutrée, juste éclairée par des bougies aux quatre coins de la pièce, lambiance est sympa, un appel à lamour
.
Je massoies sur le bord du lit, Claude est debout devant moi, doucement il se penche et pose ses lèvres sur les miennes, elles sont douces et viriles, jentrouvre mes lèvres et sa langue passe, il embrasse comme un dieu, je frémis, il prend ma main dans la sienne et la dirige vers son sexe, je le prends dans ma main, il est plus gros que je ne pensais car je narrive pas à en faire le tour, et Claude présente juste un début dérection, il imprime à ma main un mouvement, me faisant comprendre quil veut que je le branle pour le faire durcir, je mexécute et le branle doucement faisant redresser son membre qui nen finit pas de grossir.
- Suces moi, me dit-il dans un souffle à peine audible, comme pour ne pas meffrayer.
Je sors la langue et la passe sur son gland gonflé de désir, il soupire, je lèche le frein, il délire, je repousse le moment ou il me faudra le prendre en bouche, je ne sais si je pourrais tellement il est épais, mais je continue avec ma langue.
Je sens ses mains imprimer une poussée sur ma tête, me rapprochant de linstant ou il ne me restera plus quà ouvrir les lèvres pour lengloutir dans ma bouche.
- Suces moi, implore til.
Je fais encore durer le plaisir, je veux le rendre fou de moi, je veux lui laisser un souvenir mémorable et quil se souvienne de moi comme la meilleure de ses amantes, il gémit, il est au bord de la crise, je sens son corps vibrer sous mes coups de langues. Ma langue lèche toute sa colonne de chair, qui maintenant est dressée fièrement dans toute sa splendeur, elle est bandée au maximum, immense fière, je me surprends à me demander les dimensions que peux avoir ce pieu de chair, le mien faisant 20 cm je me dis que celui que je tiens dans la main fait au moins 24 peut être plus, mais il est très épais 6 cm, plus peu être. Ses mains continuent de pressées ma tête vers son membre, je ne peux plus lui échapper.
- Suces moi, réclame til dans un dernier souffle.
Jouvre la bouche et tente de faire rentrer son gland pou commencer, mes lèvres souvrent en grand et avec difficultés je le rentre dans ma bouche déformée, il gémit, je descends vers la base de son membre doucement, doucement, jai la moitié de sa queue en bouche et il est presque au fond de ma gorge, il imprime une poussée sur ma tête et son gland vient buté au fond de ma gorge, jai un haut le cur, je ne pourrais jamais le prendre en entier, il est bien trop volumineux, je ressort lengin en faisant glisser mes lèvres sur toute la colonne de chair, il mimpose la cadence, il me viole la bouche de son énorme membre, il me fait lamour dans la bouche, je ne peux pas lui en vouloir, jai cherchée et jai trouvée.
Enfin il sort de mes lèvres, jen profites pour reprendre mon souffle et laisser le maximum dair au fond de mes poumons, jai pensée mourir étouffée, il me prend par les hanches et me fait comprendre que je dois minstaller sur le lit à quatre pattes, la tête dans loreiller et le cul relevé, indécente, il me tire par les hanches pour me cambrer encore plus, ce qui fait que je suis offerte à son regard dans cette position, jai peur et je lui dit :
- Claude, prépare moi bien, je suis fragile et serrée, ton sexe est monstrueux, il va me casser en deux, prépare moi.
- Oui Leslie, tu es merveilleuse, je vais prendre soin de toi, comme tu viens de le faire, tu vas te sentir femme dans un instant sous mes coups de reins, je veux te remplir en douceur.
Je sens quil enduit ma rondelle avec du gel, et en passe une bonne quantité sur son sexe, je sens quil ne va pas me préparer avec ses doigts, mais me prendre comme ca directement, il masse mon anneau comme pour me lassouplir en vue de lassaut quil prépare, je le sens fébrile, pourvu quil fasse cela bien et douceur, je voudrais conserver un bon souvenir.
Il sinstalle derrière moi, entre mas jambes grandes ouvertes, je sens ses cuisses frôler lintérieur de mes cuisses, il est en position, il regarde mon cul offert.
- Tu as un joli cul, dit-il, ton petit anneau foncé est tout plissé, il me parait bien serré.
Il profite de mon indécence, ses propos mhumilient mais me font monter des désirs, il le sent, il me met son pouce sur la rondelle et pousse pour le rentrer à lintérieur, ma rondelle souvre.
- Tu vois ton cul souvre, je nai pas souvent loccasion de sodomiser un joli petit cul comme le tien.
- Jnai pas peur, Claude, et jai envie de toi, ne me fait plus attendre avant que je change davis.
Il approche son gland de ma rondelle et je le sens frôler mon intimité, il pose son gland sur mon illet, je frémis, il pousse doucement, écartant mes chairs intimes, il est énorme, jamais je ne pourrais laccepter sans quil me déchire, il pousse toujours inexorablement pour faire rentrer son gland dans mon cul, jai mal, la douleur me vrille les reins, il me pend par les hanches et donne un grand coup de reins afin de forcer le passage de ma rondelle réticente.
- Oh, Ah, tu me déchires, arrêtes cest trop gros, oh, oh, dis-je implorante la clémence de mon amant.
- Jy suis, dit-il triomphant, le gland est passé.
- Oh, comme cest douloureux, arrêtes, arrêtes, ne va pas plus loin, jen peux plus.
Jai envie de méchapper et sortir ce mandrin de mon cul pour ne plus souffrir, je sens mes chairs distendues sous lassaut de cette colonne de chair, je suis cassée en deux, possédée par un pieu de chair qui mélargit le trou à son maximum, jai peur dêtre déchirée, je reste immobile
..
Claude, respecte la pause, il reste dur en moi et je mhabitue à cette monstrueuse intrusion dans mes chairs intimes, la douleur se calme, mon cul distendu enserre le sexe de mon amant, je joue avec mes muscles anneaux pour lui imprimer une pression sur la base de son gland, il le sens.
Oh, que cest bon, tu me branles le sexe de ton anneau intime, tu es une amante extraordinaire.
Il me sens prête à laccueillir et se met à pousser son sexe en moi, la douleur reprend, il pousse et sincruste dans mes chairs dilatées, il pousse et coulisse en moi, le feu est dans mon cul, il pousse encore et encore, agrippé à mes hanches il amène mon corps à lui, comme pour mieux me posséder, il me tire à lui et pousse encore, et je le sens buter au fond de mon cul, ses couilles battent contre les miennes signe quil est entièrement en moi, une vague de chaleur envahit mon corps.
- Je suis au fond, tu as toute ma queue en toi, cest prodigieux.
- Tu me possèdes entièrement, je suis à toi, ta petite enculée damour.
- Oui, tu es ma petite enculée damour, et je vais te faire crier de plaisir.
- Oui, mon Claude, rends moi folle, folle de désirs, folle de plaisir, fait moi jouir du cul.
- Tas envie, dis le que tu as envie.
- Oui jai envie, encules moi, possèdes moi, défonces moi, maintenant, jen peux plus dattendre.
Il se mit à coulisser dans mon étroit boyau, me rendant folle de plaisir, il me limait le cul sans sarrêter faisant monter en moi des ondes de jouissance, je me cambrais encore plus comme pour lui faire sentir mon acceptation de cette sodomie, pour lui dire avec mon corps quil était un amant remarquable, il rentrait et sortait de toute la longueur de son membre, il me défonçait comme je lui avais demandée avec application et volupté, le plaisir monta plus fort encore faisant serrer mon fourreau autour de son membre, et dans un grand cri, il me remplit les entrailles de son liquide chaud, il se déversa longtemps en grandes giclées qui arrosèrent le fond de mon corps, il me lima encore bien après avoir déchargé tout son foutre faisant renaitre en moi le plaisir infini, il resta ainsi en moi, puis sortit son sexe me laissant béante du cul.
Affalée à plat ventre je reprenais mes esprit, encore secouée des spasmes de jouissance, jétais cassée, fourbue, anéantie par tant de plaisir, Claude mavait cassé le cul.
- Alors, dit-il rompant le silence, cela tas plut.
- Grandiose, tu es un amant exceptionnel.
- Merci, je te renvoie le compliment, tu es géniale.
Nous nous caressions, lui allongé sur le dos, moi sur son ventre, il me branlait doucement le sexe qui navait pas débander, je savais quil ne moffrirait ni sa bouche, ni son cul pour me soulager, mais il voulait me donner du plaisir, il ma branler jusquà ma faire éjaculer sur mon ventre, mes caresses et ma jouissance eurent pour effet de lui redonner vigueur et son sexe tout naturellement se retrouva dans me bouche, je lai sucé divinement et jai recueillis sa semence sans perdre une goutte.
Heureuse de me sentir femme avec lui, je me suis endormie dans ses bras.
Un rayon de soleil me tira de mon sommeil, Claude était là près de moi endormit, son sexe majestueux tout près de mes lèvres, il me fallait partir, le désir était présent dans mon corps et lenvie dun dernier plaisir pour marquer de façon inoubliable cette rencontre me taraudait le corps et lesprit. Jai approchée mes lèvres et je me suis mise à lui sucer la queue, qui se dressa sans tarder, il était sur le dos et son sexe se dressait vers le plafond, mon cul encore humide de létreinte de la veille, je lenfourchais et plaçant ma rondelle sur son pieux dressé je mempalais dun coup.
- Oh, cest encore gros !dis-je, le réveillant dans le même temps.
- Oh, ma salope tu tencules toute seule maintenant.
- Oui chéri, une petite envie matinale, juste pour ne pas oublier.
Je suis restée un moment fichée sur son sexe entièrement en moi, mes fesses posées sur ses hanches, puis jai commencée mon mouvement, je montais et descendais sur son membre, mempalant frénétiquement afin de le faire jouir dans mon cul, allant de plus en plus vite et me tirant moi-même des cris de douleur et de plaisir, il ne fut pas long à venir, me remplissant une nouvelle fois les entrailles de sa liqueur. Je lembrassais heureuse de sa jouissance, encore en cuissardes, jenfilais mon imper seul vêtement pour cacher ma nudité, et le quittais, je sentais son plaisir sortir de mon cul et couler sur mes cuisses, heureuse.
Epilogue.
A la maison, je me fis couler un bain, et mendormis dans leau avec le cul douloureux, souvenir des assauts de mon viril amant, le souvenir de cet instant était ancré dans mon corps, souvent je pensais à Claude, au début il voulait me revoir pour revivre ce moment, je ny tenais pas trop de peur de mattacher à lui, mais son sexe monstrueux hantait mes pensées, bien que je tentais de loublier, le revoir ne maurait pas déplut.
A suivre
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