Mon Dépucelage
Pour perfectionner mon anglais, mes parents m'ont envoyée dans une famille en Angleterre, du côté de Canterbury. Je suis en seconde dans un collège de province.
J'arrive donc à destination, fais connaissance de ma famille, qui s'avère être très sympa. Dans la maison jumelée à côté, un Français du même âge que moi, brun yeux clair et un sourire dévastateur.
Le premier soir, je le passe avec mes hôtes, qui me questionnent sur la mienne, sur ce que je fais et m'avouent que je suis la première française qu'ils reçoivent. Ils sont très libres et ne m'obligent à rien. Ils me disent que je peux sortir le soir, sans problème et qu'il y a beaucoup de jeunes qui se rencontrent sur la place.
En effet, le deuxième soir, je m'y rends, heureuse d'avoir autant de liberté, car mes parents sont plutôt du genre sévère et les sorties ne se font que dans les milieux qu'ils connaissent...
Là, je revois mon voisin, qui me reçoit avec un grand sourire et me présente à la bande de copains pratiquement tous français. Discussions, rigolades pendant une partie de la nuit, accompagnés de bière... Je me défoule et trouve la liberté bien bonne. Quand nous décidâmes de rejoindre nos pénates, mon voisin François me propose de me raccompagner. J'accepte volontiers, et pendant le trajet, il me prend la main qu'il serre modérément. Je suis un peu troublée mais me laisse faire... En arrivant, tenant toujours ma main, il me retourne vers lui et me dit "au revoir", appuie ses lèvres contre les miennes, puis se retourne et rentre dans la maison de sa famille d'accueil. J'ai beaucoup aimé ce baiser furtif, mais j'ai été frustrée de ne pas en avoir eu plus. Je rentre à mon tour...
Le lendemain, après le repas du soir, je revois François par dessus la balustrade de séparation et il me demande si je suis d'accord pour l'accompagner à la petite réunion journalière. "Bien sûr" lui répondis-je , avec un grand sourire...
Sous les coups des 21 h, il vient sonner à la porte, sachant que c'est pour moi, je vais ouvrir.
-Ecoute, me dit-il, si tu veux bien on peut aller faire une ballade dans les bois avant de rejoindre la bande. Ok ? ... Ok, répondis-je.
Nous pénétrâmes dans le bois par un sentier, il n'y avait personne, pas un bruit...Et nous arrivâmes dans une magnifique clairière, un peu comme celle que l'on voit en image dans les contes de fée. Il me tire par le bras et je me retrouve collée contre lui.
Il me donne quelques petits baisers sur le visage, puis sur mes lèvres où il insiste. Nos bouches s'entrouvrent et je reçois sa langue furtive dans mon palais. Je réponds à ses baisers, et la fièvre monte. Mon corps trésaille de désir. Il me parle mais je ne peux répondre... Ses mains se promènent sur tout mon corps... J'halète, je palpite, j'ai chaud, je suis libre...
Il me propose de nous étendre au pied d'un chêne, étend sa veste et me propose de m'asseoir dessus, ce que je fis. Puis il reprit son étreinte et ses baisers qui me rendaient folle. Délicatement et avec lenteur, il déboutonna chacun des boutons de mon chemisier et passa sa main dans mon dos et avec dextérité, il dégrafa mon soutien-gorge. Ses gestes étaient précis et délicats. Il finit par enlever complètement mon chemisier et je me retrouvais le buste nu face à François habillé. En un tour de main, il enleva son polo et se nos bustes nus se rencontrèrent. Je sentais la pointe de mes seins sur sa poitrine imberbe et le désir montait de plus en plus. Ses mains caressèrent mes fesses protégées par un mini slip sous une jupe courte, il passa derrière l'élastique et la tranche de sa main parcourut la raie de mes fesses jusqu'au haut de ma fente déjà très humide. Il me caressa un long moment pour faire monter mon désir puis décida d'enlever ma culotte. J'ai eu un peu peur à ce moment là et je lui chuchotais dans l'oreille que j'étais vierge et qu'il fallait qu'il aille doucement.
Je le laissais enlever mon slip et ma jupe et je me retrouvais cette fois complètement nue, là dans cette clairière, avec quelqu'un que je ne connaissais pas il y a deux jours.
Tout en m'embrassant, il déboutonna son JeanS, l'enleva puis baissa son caleçon.
C'était la première fois que je voyais un sexe d'homme de si près. J'en avais vu en visionnant la k7 porno que mes parents cachent dans leur armoire et que j'avais regardée plusieurs fois lors de leurs sorties.
Son sexe était beaucoup plus petit que celui des acteurs du film. Il était fin et le prépuce recouvrait son gland. Il était mignon ce sexe et sa dimension ne m'effrayait pas. François était très excité et chaque cm² étaient visités par ses mains et sa langue suivait le parcours jusque dans ses moindres détails. Il écarta mes cuisses, et son visage disparut. Sa langue furtive et légère léchait, titillait mes lèvres, puis lécha l'entrée de mon vagin dégoulinant de cyprine. Il avait l'air d'aimer ça et de se régaler.
Ma chatte était en feu sous cette caresse. Je relevais mes genoux pour l'inciter à aller au nid d'accouplement. Il remonta, m'embrassa et je sentis le bout de son gland chercher l'entrée. De ma main je le saisis et le dirigeais au milieu de ma touffe épaisse. Une fois trouvée, je le laissais enfoncer son sexe dans mon ventre tout en laissant ma main pour contrôler. Je le freinais dans son ardeur, prenais conscience de ma douleur, puis le laissais aller plus loin. Je finis par retirer ma main et il commença un petit va et vient qui ne me donna aucun plaisir. Je l'entendis haleter, gémir et il retira sa verge d'un coup. Celle-ci se mit à cracher son jus qui s'étala sur mon ventre et principalement sur ma toison pubienne. Ce jus teinté de rose, mêlant sperme et sang. Nous restâmes un moment comme ça et il se coucha sur moi pour me serrer dans ses bras et m'embrasser.
Des kleenex dans ma poche servirent à nous nettoyer, puis nous nous sommes rhabillés, comblés d'avoir franchi ce pas, surtout pour moi.
Le lendemain soir, François était là, et comme la veille nous nous dirigeâmes vers le petit bois de nos désirs. Le temps était toujours de la partie. Nous vérifions que nous étions bien seuls et nous nous déshabillâmes tous les deux rapidement. Je m'assis sur sa veste qu'il avait, comme la veille étendue sur la mousse, et le regardais se dévêtir. Il resta planté debout devant moi, sa queue fine et longue droite devant lui qu'il avait de sa main décalottée. Je regardais ce sexe magnifique qui m'avait dépucelé la veille comme un objet m'appartenant. Je tendis ma main et le caressais. Ce membre dur, chaud, celui là même qui avait fendu ma virginité était là droit face à moi. François s'avança et me demanda de l'embrasser, ce que je fis en me penchant. Mes lèvres effleurèrent le bout de son gland d'où perlait une goutte que je léchais rapidement. Puis, je me mis machinalement à lui donner des petits coups de langue et je vis que François fermait les yeux pour en retenir toute la jouissance. J'aspirais légèrement et gobais cette boule oblongue et le suçait comme une dragée. François se mit à onduler du bassin et je vis qu'il y prenait beaucoup de plaisir, il allait et venait dans ma bouche comme il avait fait la veille dans mon vagin. Je resserrais mes lèvres et jouis de ma langue pour lui donner le maximum de plaisir. D'une main je maintenais son membre pour que je puisse en jouer à ma guise et contrôler ses aller et venu, puis j'entendis des gémissements et succéda un râle. Sa queue se tendit encore plus dure et je reçus dans ma bouche un flot de jus onctueux. J'avalais tout au fur et à mesure que son sperme arrivait, pinçant mes lèvres pour ne rien perdre de cette liqueur génitrice.
François s'était vidé dans ma bouche et il retira son appendice que quand il eut pris sa dimension de repos.
En deux soirées, j'avais découvert les bases de la fornication et j'en étais très heureuse.
Le reste du séjour, nous n'avons pas arrêté de faire l'amour. Nous commencions quelquefois, le matin dans sa chambre et recommencions le soir. Nous nous sommes jurés de continuer notre idylle et séparés depuis la fin juillet nous correspondons journalièrement par SMS.
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