Nouvelle Voiture
Yaooouh je lattends depuis trois mois et cest le grand jour ; rendez-vous avec Anthony à 11 h
Anthony est le chef des ventes de cette marque, je le connais depuis plus de 17 ans ; jai été lun des premiers sinon le premier client à son arrivée à la succursale et depuis je lui ai acheté 6 voitures, pour moi ou pour ma compagne ; si nous n avons jamais eu de contact plus personnel, jai cependant le privilège de lappeler par son prénom et réciproquement ; cest lui qui est à lorigine de cette accord.
Cest un homme de 40 ans, beau garçon, une légère barbe comme moi. Alors que nous venons de signer tous les papiers et quil me fait découvrir la voiture, sans raison apparente sa main touche la mienne et tous les deux nous recevons une décharge. Javoue que cela me surprend. Un regard réciproque, plein de sous-entendus, mais ensuite, il reprend sa description, avant de me proposer de faire un tour avec lui, pour que je mhabitue aux commandes ; lessai se passe sans problème et alors que nous passons devant mon appartement, je lui propose darroser enfin cette livraison ; après un petit moment dhésitation, il accepte.
A nouveau dans lascenseur, nos mains se touchent, avec de nouveau une décharge électrique ; sa réaction me surprend vraiment :
« Je crois que nous avons un réel contact, attention au survoltage »
Sa main est toujours au contact de la mienne et sans plus réfléchir, je latt ayant brusquement envie de lui. Je dois dire que si je suis très hétéro, jai aussi parfois des relations masculines et là cest le cas ; jai pris le risque de me faire jeter, mais il ne men a rien ; au contraire, enserrant un peu plus ma main il se place face à moi. Pourtant lascenseur sest arrêté
« Cela fait longtemps que jen avais envie, mais je connais ta conjointe et je nai jamais osé »
puis sans hésitation, il me plaque un baiser sur la bouche. La porte de lappartement est vite ouverte et à peine entré, il me plaque contre le mur, me fourrant sa langue entre les lèvres ; baiser que jaccepte, lui fouraillant à mon tour sa bouche.
Je mattends à ce quil jute, mais il se retient et me plaquant à plat ventre sur la table, sa langue vient au contact de mon anus ; jadore les anulingus et cest assez rapidement que mon anneau se desserre, lui permettant dinfiltrer un puis deux doigts dans le fondement. Ses doigts me fouillent, me dilatent et je sens ma corolle souvrir ; cest à ce moment quil présente son gland contre mon petit trou et que doucement, mais sans sarrêter, il me possède ; même avec lenvie et ses préparatifs, le passage se fait douloureusement. Avant de senfoncer complétement, une grande claque me surprend, suivie dune poussée brusque ! il est au fond de moi et ses boules viennent buter contre mes fesses ; mattrapant la queue, il me branle tout en commençant ses va et vient.
Sa sodomie est puissante, me percutant avec force et rapidité ; la douleur sest estompée et je commande à ressentir la montée de mon plaisir, dautant plus que ses paroles me galvanisent :
« Si javais su, je taurais baisé plus tôt ; tu as lair dêtre une belle lopette qui aime se faire enculer ; jai limpression que tu dois être un beau soumis, pas vrai ? »
Pris par mon plaisir, je nai pas fait attention à sa question ; il se venge, se retirant, un grand vide se faisant dans mes entrailles :
« Oh non continue, baises moi, fais-moi jouir »
« Je tai posé une question »
« Je nai pas fait attention, laquelle, »
« Je tai demandé si tu étais un bon soumis »
« Oh oui, jaime que lon me domine, obéir aux désirs de ceux qui me baisent »
Satisfait de ma réponse, dune poussée, il menfile de nouveau, cette fois, accroché à mes hanches, il me défonce, prenant son plaisir, tout me parlant pour essayer de mavilir, ce qui finalement arrive au résultat contraire ; je jouis et je me repends, mes jets tombants sur le sol.
« Cela te fais jouir quand je démonte ton petit cul de lopette »
Ses coups de butoirs sont de plus en plus puissants et le plus souvent son gland vient percuter ma prostate, ce qui me fait grimper. Sans hésitation je lencourage :
« Oui jaime que tu me défonces fais moi jouir encore, avant de juter en moi, pour me remplir de ta semence ; je suis ta petite femelle, fécondes moi »
Si par moment il ralentit, et parfois même sarrête, cest sans doute pour tenir plus longtemps, mais pour moi, ces intervalles, tout en me frustrant, me comblent car ainsi il peut me posséder plus longtemps. Plaqué contre la table, je le subis, me cambrant pour mieux le sentir en moi ; soudain, senfonçant au plus profond et simmobilisant ensuite, il se repend en moi ; ses jets, chauds et puissants viennent me percuter la prostate et déclenchent une nouvelle onde de plaisir ; je jouis bruyamment alors quil se vide dans mes entrailles.
Alors quil se retire de mon fessier, sa semence sécoule de mon trou béant. Il bande encore et sans hésitation, lallongeant sur la moquette je le chevauche, menfonçant sur cette queue qui ma si bien fait jouir
« Tu as encore envie ? tes vraiment une belle petite salope ; ta femme le sait que tu aimes les hommes, que tu te livre comme une petite femelle en rut ; que tu te fais remplir de leur sperme ? »
« Oui elle le sait, elle a déjà eu loccasion de me voir sailli par un de ses amants et elle sait aussi que parfois quand loccasion se présente, jaime me faire sodomiser, y compris par une femme «
Pour linstant, cest moi qui mène la chevauchée ; parfois il donne un coup de rein, mais le plus souvent cest à mon rythme que je me fais plaisir. Ses paroles crues quil profère me stimule et, alors quil a entrepris de me branler, ma queue ayant retrouver sa vigueur, ma jouissance jaillit pour la deuxième fois.
Pour lui aussi, ma chevauchée lui a redonner toute sa vitalité et me retournant, à nouveau il me penètre ; sans difficulté tant mon conduit est ouvert ; il me perfore, me démonte, mamenant plusieurs fois une bouffée de plaisir, avant quaprès une longue et puissante baise, il se vide à nouveauen moi :
« Tes vraiment une belle femelle et tu vois, comme tu aimes, je te féconde pour la deuxième fois »
en effet ses jets me transpercent ; sils sont moins nombreux, il nen reste pas moins quils sont toujours aussi puissant et ma prostate encaisse , pour mon plus grand plaisir.
« tu vas lui dire ? »
« bien sùr, dailleurs je vais même le faire devant toi »
sans attendre jatt mon téléphone et je raconte mon aventure à Nini qui sans aucune hésitation me transmet sa satisfaction de me savoir comblé, tout en ajoutant :
« par contre en rentrant, tu vas non seulement devoir assurer, mais en plus , je te promets de te prendre avec le plus gros de mes godes, puisque ton cul est bien dilaté »
en riant elle raccroche. cette petite conversation a excité Anthony, mais malgré son pantalon à nouveau tendu, nous devons revenir au garage ; en nous quittant, je le remercie de ce petit essai bien sympathique, alors que lui, me frottant la main comme au départ me dit :
« on se reverra bientôt ! »
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