Cours Particuliers Pendant L'Été.

J'étais en seconde et mes notes en physique n'était pas très bonne. Mes parents décidèrent de me faire donner des cours particuliers. Par relations il m'envoyèrent à une adresse dans la périphérie de la ville. Je m'y rendis, et j'eus la surprise de voir Jacqueline, une superbe blonde au regard profond. Elle avait un sourire timide et ses dents bien alignées.
Elle m'invita à entrer et prit les devants pour m'approcher d'un bureau. Elle m'installa confortablement, puis vint s'assoir à côté de moi. Elle sentait bon et tout sur elle était choisi, rien n'était négligé, jusqu'à sa voix douce et agréable. Elle portait une robe sans manche et chaque mouvement me faisait effleurer sa peau et ça m'excitait.
La première heure terminée, elle me rassura sur mon niveau, qui n'était pas des pires et me raccompagna jusqu'à la porte. Un grand sourire illumina son visage de nature un peu triste et me salua en me demandant d'ête exact pour le cours du lendemain.
Le lendemain je me présente à son domicile. La porte s'ouvrit et je revis mon hôte tout sourire qui s'effaça pour me laisser entrer. Elle avait changé sa robe contre une jupe assez courte en jersey et un tee shirt moulant lui moulait la poitrine. Je lui serrait la main et pris le chemin du bureau où nous avions travaillé la veille. Elle vint s'assoir à côté de moi et nous commencions quelques exercices. Elle se collait à moi, je sentais son souffle sur ma joue et j'en étais très troublé. Elle le ressentit et je la soupçonnais d'en r. Voyant mon trouble permanent, elle me demanda de me concentrer et posa sa main sur ma cuisse. Ce qui eut pour effet, exactement le contraire... Je me mis à bander très fort, ma respiration de plus en plus rapide. Sa main lentement remonta le long de ma cuisse jusqu'à ma bosse, qu'elle caressa doucement sans rien dire. Avec précision et délicatesse elle enteprit de baisser le zip de ma fermeture. Je m'écartais légèrement du bureau où j'étais assis pour la laisser faire à sa guise.

Me voyant docile elle appliqua ses lèvres douces sur ma tempe. J'étais au top de mon excitation quand elle plongea sa main dans mon pantalon caressant mon sexe par dessus le tissu de mon slip. Du bout des doigts elle caressait ma bosse, puis elle baissa l'élastic pour, cette fois plonger dans mon slip.
Sa peau douce en contact avec mon sexe chaud et raide faillit me faire éjaculer... A ce moment là elle me roula une pelle magique, sa langue virvoltait dans ma bouche aspirant ma langue, la suçant... Puis elle se détacha de moi, se leva et me dit :
-Viens Franck, dans ma chambre...
Je ne dis mot, muet comme une carpe, abasourdi par ce qui se produisait en dépassement de mes rêves. arrivé dans sa chambre magnifiquement décorée, je restais debout au pied de son lit, la braguette toujours ouverte. Elle se mit accroupie et termina mon déshabillage. Déboutonna le bouton qui retenait mon pantalon qui tomba aussitôt sur le plancher, puis tira sur mon slip pour le baisser. Je soulevais chacun de mes pieds pour l'aider à l'enlever complètement. Elle resta un moment immobile, et je sentis son souffle chaud sur mon sexe dénudé. Elle posa ses lèvres sur le bout du gland et lècha la petite goutte qui perlait du méat. Puis elle ouvrit grand la bouche et avala tout mon sexe comme un mort de faim. Ses mains caressaient mes fesses avec douceur et sensualité. Puis elle se redressa, m'arracha mon tee-shirt et me poussa gentiment sur le lit.
En un tour de main, elle se déshabilla et se retrouva entièrement nue et se coucha sur moi. Elle m'embrassa et je sentis ses petits seins se frotter sur ma poitrine imberbe. Sa bouche parcourut tout mon corps, la poitrine, le ventre, l'angle de mes cuisses. Elle goba chacune de mes boules qu'elle suça comme une petite fille gourmande puis ses lèvres légèrement entrouvertes lèchaient ma tige jusqu'au frein.
Elle prit mon gland dans sa bouche et lentement le goutait avec délice. Je n'en pouvais plus...Mais une légère pression sur mon périnée empêcha la montée de ma sève.
Elle remonta son corps gracieux et lisse et vint s'empaler, toute cuisse écartées sur mon chibre tendu. La pénétation fut aisée, car sa chatte était pleine de cyprine et ma tige s'enfonça jusqu'à la garde. Je sentais le jus couler sur mes boules. Elle exprimait des ondulations de son bassin souple, ses mains posées sur ma poitrine, elle me regardait, sans me voir, les yeux mi-clos, comme plongée dans un autre monde. Là, je ne pouvais plus me contrôler et je lâchais plusieurs jets de jus dans le fond de son ventre. Elle hurla à ce moment là, se cambra, se figea un instant puis laissa tomber sa poitrine contre la mienne. Ses mains glissèrent dans mon dos et elle m'étreignit très fort en me remerciant. Elle s'assoupit un instant, dans cette position, paraissant heureuse et délivrée.
Nous nous rhabillâmes chacun de notre côté, puis nous reprirent les cours de physique comme si de rien n'était...
Tous les jours, à chaque visite, nous allions directement dans la chambre avant de nous mettre aux études. Jacqueline était mariée, son mari parti sur des champs pétrolifèrres en Asie du Sud-Est.
Cette histoire est réelle. Nous continuons à nous voir de temps en temps, chez elle.

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