Au Cinéma
Marie-Laure 42 ans et moi 49 ans sommes mariés depuis 15 ans. Marie-Laure est une belle femme blonde aux cheveux longs et aux yeux bleus sur laquelle se retournent assez fréquemment les H.
Cétait un soir dété il y a plusieurs années, mon épouse et moi avions décidés de sortir pour nous promener dans Paris. La journée avait été étouffante et la soirée sannonçait assez lourde
Il est vrai que cet été ne nous avait pas habitués à cette chaleur trop rare pour lépoque. Marie-Laure, juchée sur des escarpins à hauts talons avait enfilé une jupe courte et ample blanche, sur son string minimaliste et un tee-shirt noir sur sa poitrine libre. Mon épouse sait que jadore voir ses seins ainsi libérés, les imaginer accessibles et protégés. Pour ma part, je métais contenté dun ensemble en lin beige.
Nous nous promenions dans les rues depuis une bonne heure et Marie-Laure commençait à fatiguer lorsquun orage nous surpris. Un cinéma à proximité nous sembla un refuge approprié. Nous nous engouffrâmes trempés dans le hall ou je prie deux billets sans avoir prêter attention au titre du film.
Nous entrâmes dans la salle obscure à tâtons
Sur la toile une femme nue se faisait prendre par plusieurs mâles bien membrés
. Nous comprîmes alors que nous étions dans un cinéma spécialisé
. Marie-Laure nétant pas très adepte de ce type de films, me proposa de ressortir. Je lui fit alors remarquer quil pleuvait, quelle était fatiguée et que nous avions déjà payé nos places
Quen conséquence nous ne risquions rien de nous installer quelques minutes et que nous repartirions dès quelle sera reposée et en espérant que lorage sera passé. Assurés, de repartir rapidement, nous nous installâmes proche de la sortie à lavant dernier rang de la rangée du milieu. Jétais le long de lallée et Marie-Laure à ma droite. Je commençais à mintéresser au film, la femme était maintenant à genoux entourée de membres quelle suçait tour à tour
.
Les yeux fermés je savourais ce moment intense. Ma main posée sur sa tête, rythmait la fellation.
Soudain, je sentis comme un léger frôlement, jouvrit les yeux pour découvrir que plusieurs hommes sétaient rapprochés et nous regardaient. Je faillit avoir un mouvement de recule mais nen fit rien. Marie-Laure qui ne sétait rendu compte de rien continuait à sactiver sur mon membre. Je regardais autour de moi, deux hommes étaient dans la rangé de devant et avaient sortis leur sexe quils branlaient doucement en nous regardant.
Quel spectacle, Marie-Laure, les yeux grands ouverts, assise sur son siège, le tee-shirt relevé, les seins nus, la jupe remontée haut sur ces cuisses, entourée de ces hommes le sexe en main
« Ca ne va pas non !!! » dit-elle enfin, sans penser pour autant à se rajuster
.
Pour toute réponse, je lui dis « je taime » et écrasait ses lèvres avec ma bouche
.Ma main gauche entrepris à nouveau son sein droit
Ma femme essaya dans un premier temps de se dégager « non je ne veux pas », ma bouche repris possession de ses lèvres, ma langue entra en contact avec la sienne, puis Marie-Laure sembla abandonner la lutte pour répondre à mon baiser, dans un souffle je lentendis me traiter de « salaud » puis ses mains se posèrent sur ma nuque, ses yeux se fermèrent, et sa bouche pris possession de la mienne dans un baiser fougueux où sa langue semblait vouloir se perdre au fond de ma gorge. Je me détachai de lemprise de Marie-Laure qui resta alors assise au fond de son siège les yeux fermés. Je la regardai ainsi offerte à nos regards. Ce fut comme un signal, je vis les sexes se rapprocher de nous. Une main, qui nétait pas la mienne, sempara de son sein droit et la caressa. Une autre pris possession de son sein gauche et lui administra le même traitement. Marie-Laure se laissait faire. Je vis alors les deux hommes derrière mon épouse approcher leur sexe encore plus près
Leur gland touchant les joues de ma femme. Lun des deux hommes posa alors sa main sur loreille gauche de mon épouse et lui fit pivoter légèrement la tête, jusquà ce que son gland gonflé de désir touche les lèvres de ma chérie
Là comme dans un rêve, je vis les lèvres de ma chère et tendre sentrouvrir, sa langue sortir et lécher le haut de ce sexe doucement
puis sa main se porta sur le membre tendu, quelle caressa. Je voyais ses doigts courir sur la colonne de chair, faire disparaître, puis réapparaître le gland
Enfin, sa bouche souvrit plus largement et je vis le gland entrer entre les lèvres de ma femme, puis lentement le membre pénétrer dans la bouche de Marie-Laure.
Nous nétions « plus » que quatre autour de ma femme. Moi, celui qui me suçait aidé de mon épouse, celui qui la baisait et un autre dont les mains parcourait le corps de Marie-Laure comme un explorateur.
Tous semblaient plus libres et osaient des commentaires de plus en plus crus en sadressant à Marie-Laure ou à moi. Au lieu de nous choquer, cela semblait nous exciter, ce qui néchappa pas à nos partenaires. Nous entendîmes ainsi le maghrébin me demander si jaimais me faire sucer pendant que ma femme se faisait baiser comme une pute, celui qui la caressait commenter chaque partie de son corps « elle mouille la cochonne, elle aime bien que je lui caresse ses gros nichons et que je tire sur ses tétons, vas-y, chienne branles ma grosse bite »,. Quant au black, à chaque coup, il lui demandait si elle sentait sa grosse bite au fond de sa chatte et demandait à ma femme de lui répondre sur le même ton. Jentendais alors ma femme lui dire « Oui, vas-y défonces moi » langage peut habituel dans sa bouche. Puis, ce dernier me dit « ça te dérange si jencule ta salope ». Je lui fit répondit que non, mais quil devait le demander à lintéressée. Pour toute demande, il se contenta de sortir de la chatte de Marie-Laure, de la redresser, la retourner, de prendre sa place dans le fauteuil, dattr ma femme par la taille et de lasseoir sur lui. Marie-Laure qui avait entendu la demande, se contenta de passer ses jambes de chaque côté des jambes du black et de se laisser faire. Jimaginais plus que je ne le voyais le sexe pénétrer le cul de ma femme, tant le visage de cette dernière peu habituée à offrir ce passage à un sexe de cette taille était crispé. Mais son « tortionnaire » semblait nen avoir cure et faisant perdre un peu léquilibre à mon épouse lembrocha dun seul coup. Marie-Laure émis un son bizarre la bouche ouverte, se retrouva assise complètement sur son partenaire, nosant plus bouger. Celui qui me suçait en profita pour se glisser entre les jambes du black et présenter son sexe à lentrée de la chatte de Marie-Laure que sa position présentait grande ouverte. Sans plus de formalités, il pénétra à son tour ma femme et entrepris de la baiser ainsi. De temps en temps, le black soulevait, Marie-Laure et la laissait retomber sur son sexe planté profondément en elle. Pendant ce temps, le troisième spectateur, sétait positionné debout sur le siège à côté de mon épouse et lui présentait son sexe à sucer. La position de mon épouse laissait souvent échapper ce membre de la bouche de Marie-Laure qui palliait cette situation avec sa main. Ce premier fut le premier du trio à abdiquer en laissant échapper de longs jets de sperme sur le visage de ma femme rejoignant ceux déjà reçus qui commençaient tout juste à sécher. Mon épouse semblait être une véritable pile électrique, elle semblait jouir sans discontinuer, se contentant entre deux soupirs de démettre pour toutes paroles des « oui, oui, encore etc
». Puis, le maghrébin sorti à son tour de la chatte de Marie-Laure retira son préservatif et saidant de sa main déversa son plaisir sur les seins et la chatte de ma femme. Une fois terminé, il pris mon sexe et me branla en direction de ma femme en me disant, « vas-y gicles sur ta salope de femme », ny tenant plus jinondais à mon tour les seins et le corps de Marie-Laure. Mon plaisir semblait interminable tant mon jus était important. Enfin, le black souleva complètement ma femme, la retourna, retira son préservatif aussi et obligeant ma femme à se pencher, lui fourra sa bite dans la bouche en lui ordonnant «vas y bois salope ! ». Aux bruits que fit ma femme, je compris quil se déversait dans sa bouche. Il se leva et rassit ma femme dans son siège. Marie-Laure était là assise, nue, le visage, les seins et la chatte maculée de sperme devant quatre hommes, le pantalon en bas des jambes, le sexe pendant et luisant de sa mouille. Ce nest quà ce moment que je me rendis compte que le film était terminé et la salle éclairée. Le projectionniste était debout dans lallée et nous observait. Nous nous rhabillâmes précipitamment et sortîmes les uns après les autres. Lorsque Marie-Laure et moi passâmes devant le projectionniste, avec un grand sourire, il nous dit « revenez quand vous voulez, surtout si madame est toujours aussi chaude ». Ce nest quà ce moment que je constatai quun un caméscope pendait dans sa main droite
.
Après un passage aux toilettes pour remettre un peu dordre dans notre aspect, nous rentrâmes en silence et avec un plein dimages dans la tête. Je pense bientôt retourner dans ce cinéma pour demander à projectionniste une copie de son film
qui sait contre quoi ou contre qui ???
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