Les Amies De Jocelyne - Isabelle2
Que s'était-il passé ? Comment avais-je pus ? Remarquez, il était dans mes intentions d'offrir mon corps à mon voisin. Certes à mon voisin, mais qu'à mon voisin. Au lieu de cela j'avais été obligée de me laisser suborner par un inconnu. Avais-je été véritablement e ?... ne m'étais-je plutôt pas laissé confortablement faire et sans opposer la moindre résistance ? Et tout cela pourquoi ? J'avais la certitude que c'était pour ne pas déplaire à Gilles. Avant même qu'il me touche et que je sois sienne, je lui appartenais déjà
. Quand je l'avais vu venir vers moi sexe tendu, vous ne savez bien combien la joie m'a envahie. Lorsqu'il éjacula, c'est sans la plus petite hésitation que je le laissais faire dans ma bouche et que j'avalais le tout avec une sorte de délectation interdite. Moi qui avait toujours tout recraché dans un mouchoir
. Le pire (ou le meilleur) était que j'étais tout à fait disposée à recommencer cette fellation. Et quand je dis "tout à fait disposée" c'est un peu court
je n'attendais que cela. Quand à l'avenir
je me voyais mal partie. Gilles s'était forgé un ascendant terrible sur moi, je le sentais bien. Je le sentais si bien que je ne savais pas combien de temps j'allais résister au désir de l'inviter à déjeuner (avec mon derrière en prime
tant pis). Si nous n'avions pas été la nuit, je me serais jetée sur le téléphone. Et puis l'autre
ce Jean-Pierre, comment avait-il atterrit là? A ce moment précis ? S'agissait-il d'une manuvre à mon insu ? Il faudrait que j'en ai le cur net ! En toute franchise, s'il s'agissait d'un coup monté (bien monté, je pèse mes mots) je vous confesserais que cela ferait encore monter mon excitation envers cet homme de plusieurs degrés. Je trouvais enfin le sommeil après m'être caressée silencieusement une dernière fois. Le lendemain Jean-Marie prit de mes nouvelles avant de partir. J'avais passé un bonne nuit
j'allais
un peu mieux
. Il me fallut une patience inouïe pour résister jusqu'à midi ou d'une main tremblante je décrochais le combiné téléphonique.
"Allo, Gilles, bonjour c'est Isabelle !"
"Ah ! Bonjour !"
"Je voulais
. Euh
tu veux
. Ça te dirais de
. Es-tu libre p
pou
pour déjeuner
demain
midi
.?".
"Déjeuner ?"
"Euh oui
!"
"Seulement déjeuner ou
déjeuner e le reste ?"
"Euh
dej
déjeuner
et
et le reste
."
"Bien, bien, bien
dans ces conditions évidemment que je suis libre
. Vers quelle heure ?"
"Vers midi si tu veux !"
"Tu as raison déjeunons de bonne heure
Ne prévois pas un repas trop copieux, cela nous laissera un plus long après-midi
."
Nous raccrochâmes mutuellement. Les dés étaient jetés, j'avais franchis le Rubicon. Je filais faire des courses pour le lendemain.
Ah ce mercredi
je me mit en cuisine de quoi servir un bon repas mais s'en en faire trop subodorant que Gilles ne venait pas trop pour apprécier mes talent de cuisinière, mais plutôt pour me faire passer , moi, à la casserole
. J'étais tremblante à l'avance, la biche serait tendre
la caille sur le canapé
le fruit gorgé de sève
. Il me restait que le temps de m'occuper de moi. il voulais que je me fasse belle, je me fis belle
bien apprêtée et nue comme il le voulait sur des escarpins.
Midi pile
il sonna
.
J'ouvris vite. Il était là, radieux. Il passa un bras au tour de ma taille, m'embrassa sous l'oreille en murmurant :
"Tu es belle, j'ai envie de toi !"
J'étais à lui
.
Il me dit :
"Je ne t'ai pas amené de fleurs
ceci convient mieux à la circonstance !"
Il me tendit une pochette. Son contenu me fit rougir. Le présent était incongru, enfin pour la bonne moralité
. La pochette recelait deux fines boites contenant
l'une un porte-jarretelles noir et l'autre une paire de bas noir également. Je le dévisageais, stupéfiée. Avec un sourire ironique devant mon état statique, il fit :
"D'habitude, il est d'usage de mettre les fleur dans l'eau
. Au cas présent, si tu glissais tes jolies jambes dans le nylon
!"
Un peu froissée quand même, je ceignis le porte-jarretelles, réglait la longueur des jarretelles, enfilais les bas et pris bien le temps de les lisser tout le long de mes jambes et de mes cuisses.
"Aaah !.... Voilà
. Parfait
. Là, tu ressemble à quelque chose !"
Je m'abstins de lui demander à quoi je ressemblais. Le moins que l'on aurait pu dire était que je m'apparentais à une page de magazine pour homme
et le plus
.
En bonne maîtresse de maison (pour commencer) je le fis asseoir et lui proposait l'apéritif. Il prit un whisky et je me préparais à m'en servir un également, comme pour me donner du courage. Il m'arrêta :
"Tut
tut
Non ma belle ! En guise d'apéro, tu vas venir me sucer et magnes-toi!"
Vous ne pouvez pas savoir ce que cela me fit. Je venais de découvrir que j'adorais que l'on invective de la sorte. En ondulant (un peu) j'avançais jusqu'au fauteuil. Il ne fit rien d'autre qu'ouvrir les cuisses pour que je puisse m'agenouiller en leur milieu. Promptement, j'ouvris ce pantalon superflu et le sceptre m'apparut, encore plus majestueux que dans mes songes. Je m'approchais avec la ferme intention d'obéir à sa demande lorsqu'il m'arrêta (encore) :
"Attends, je vais le quitter. Je n'en aurais pas besoin avant un certain temps !"
Il se souleva pour se débarrasser de son pantalon et reprit la pose, jambes ouvertes. Cette fois, en plus j'avais la vision d'une belle paire de testicules bien gonflés. Je pris la verge bien main et commençais à le caresser en douceur. Je dégageais son beau gland écarlate et y déposait un baiser
puis deux
puis je le happais et ma bouche se mit à aller venir sur la hampe dressée et palpitante. Il trouva, un peu comme Jean-Pierre que pour une apprentie, ce n'était pas mal. Pour que je m'améliore (et je crois que je ne demandais que cela) il me conseilla, me faisant lécher son membre comme un merveilleux sucre d'orge, me faisant tournoyer ma langue autour de son gland, me faisant promener mes lèvres sur toute la longueur de son pénis, dessus et dessous, me faisant bien sucer, pomper, téter son phallus, me faisant bien l'aspirer en le serrant de mes joues, me le faisant engloutir jusqu'à la gorge malgré les hauts le cur que cela me procura.
"Attends un peu
. On va changer d'occupation ! Tu vas me branler entre tes nichons. Avec une paire pareille, ça doit être sympa !".
Ma bouche quitta à regret sa virilité et je le plaçais entre mes seins et serrais les bras.
"Pas comme ça ! Prends les à pleines mains tes gros lolos et branles-moi ! Ne me fait pas croire que tu n'as pas l'habitude de te les toucher ! Je suis sûr que tu tes les caresses hein ?"
Je hochais la tête en guise de réponse affirmative. Cela ne lui suffit pas il fallut que je confirme à haute voix. Un peu après, quand il jugea suffisant le doux traitement auquel je le soumettais, il me signifia de reprendre ma fellation
enfin, lui, dit la pipe
. Compte tenu des indications précédentes, je repris donc mes activités buccales tentant même de me l'enfoncer dans la gorge. J'étais très novice, mais je sentis que je n'allais pas tarder à avoir de l'expérience
. Au bout d'un certain temps, il m'indiqua qu'il "allait tout balancer". De fait il soupira lourdement et rala :
"Suces
suces
. Suuuuuce
. Haaaa ouiiiiii
comme çaaaaaa
avales
avales
avaaaaaales
."
Le jaillissement me surprit un peu. Vite, vite je serrais mes lèvres pour tacher de ne pas en perdre en route. La bouche pleine de liqueur, je réussis le premier tour de force d'une longue série, je réussis donc à ingurgiter la semence de Gilles sans qu'il quitte ma bouche qui se remit à l'aspirer jusqu'à la dernière goutte.
"Ouaaahhh ! Ça fait du bien
. Jean-Pierre avait raison c'est très prometteur ! Je crois que tu as des dispositions
en tout cas tu as l'air d'aimer sucer !"
Je répondis que j'aimais LE sucer et que je le ferais autant qu'il le souhaiterait. Il pouffa en disant qu'il ne souhaitait que cela ou presque
et que je n'avais pas fini d'ouvrir la bouche.
"Je n'avais pas fini d'ouvrir la bouche entre autre"
. Huuummmm !
En s'étirant il trouva "qu'il faisait faim". Je compris qu'il désirait que nous déjeunions. Et moi alors ? Et mon intimité liquéfiée ? Rien ? J'allais renâcler puis finalement décidait de n'en rien faire je réfléchis qu'il le faisait exprès pour que je sois bien à point et bien chaude pour les desseins qu'il envisageait. Il ne m'avait même pas embrassée, non, il m'avait simplement traité comme un objet dédié à son plaisir et
et j'avais aimé. Pour venir à table il enleva son polo et prit place pour un repas des plus incongru. J'étais seule, dans ma propre salle à manger, avec un homme nu que je servais, qui plus est avec pour toute tenue une paire de bas et un porte-jarretelles. Le repas fut, ma foi, fort vite expédié. Il n'arrêta pas de me faire du compliment sur mon corps qu'il "allait posséder à outrance". Ma ressemblance frappante aussi le passionna. Il n'aurait jamais pensé s'imaginer mon sosie dans cette tenue et il y voyait tour à tour deux femmes une journaliste inaccessible et une voisine accorte
puis tout se mélangeait ce qui était pour lui une source d'excitation particulière. Après un café vite avalé il souhaita "passer au choses sérieuses". Le moment crucial arrivait
.
Il m'envoya tout d'abord me refaire une beauté, arguant qu'il n'enculait que les jolies femmes. J'aurais pu revenir de salle de bain moche et hirsute, ma virginité anale en aurait sûrement été préservée. J'avoue ne pas y avoir pensé une seconde. Je m'étais faite à l'idée depuis deux jours. Il me désira que je lui indique la chambre, ironisa sur le coté conjugal du lieu et me demanda de me mettre en levrette sur le lit. Il me fit changer de sens, histoire que je sois bien face aux miroirs des portes de la penderie. J'avais en face de moi la vison d'une femme à quatre pattes les seins pendant sous elle avec un homme derrière elle qui reluquait son postérieur. Il posa les mains sur mes fesses et les écarta. Il disparut de mon champ de vision. Normal, sa tête était désormais à la hauteur de mon fessier et sa langue se glissa dans ma raie qu'elle parcourut lentement. Il lécha mon sillon un certain temps allant jusqu'au périnée et un tout petit peu plus loin. Comme j'aurais aimé qu'elle se glisse dans mon sexe. Mais non, il revenait toujours tournicoter autour de ma rosette qui finissant par s'accoutumer à cette caresse inusitée se détendais petite à petit. En définitive, je la sentis avec honte pénétrer mon anus. Jamais on ne m'avait fait cela. Pas plus d'ailleurs, que je ne l'avais pratiqué. Elle tournicota un peu avant de laisser sa place une phalange exploratrice, puis deux
puis trois
. Le doigt recula, revint
recula
revint
. Une deuxième phalange se logea à coté de la première. Ce duo tenta de progresser
avec succès. Bizarrement la sensation ne m'était pas désagréable du tout et en soupirant lourdement je tendais inconsciemment mes fesses vers Gilles. Lorsque ses deux doigts furent suffisamment engagés, il les écarta obligeant mon muscle à s'étirer. Ainsi travaillé l'anneau s'agrandit. Les mouvements tournants qu'il fit permirent qu'ils entrent encore plus loin. J'avais deux doigts bien enfoncé dans le fondement
mon dieu
. Il les fit un peu aller et venir comme pour m'habi à ce qui allait suivre. J'étais déjà haletante et surtout, surtout
je n'avis pas mal. Je sentais, moi qui avais couiné comme un porcelet lors de l'unique tentative de mon mari, que j'allais, cette fois me faire sodomiser comme une truie
j'avais grandi !
Ses doigts quittèrent mon rectum. Il fit le tour du lit sexe à la main et le me présenta :
"Mouilles-le bien !"
Inutile de préciser que lorsqu'il ressortit de ma bouche, il était luisant de salive
c'était dans mon intérêt
. Il vint se placer derrière moi. Dans la glace je le vis se concentrer sur son objectif. Un pouce et un index maintinrent mon anus ouvert. Le gland y pesa. Il était brûlant, je trouvais
. Il rentra un peu, je fis tout pour me détendre, il poursuivit
c'était tout de même plus gros que ces deux doigts. Un petit coup sec, une petite poussée plus conquérante
la tête était entrée. Je lâchais un gémissement de douleur (un peu) et plaisir (un peu plus) mélangés. Il me conseilla de me détendre encore et de pousser comme quand j'allais à la selle. Ainsi instruite, il progressa encore, puis encore là ou ses doigts n'avaient pas pu aller. Son appendice cette fois me fit un peu (un peu) mal en repoussant mes parois. Mais vu ce que j'avais déjà absorbé la cause était entendue et Isabelle se trouva fort emmanchée jusqu'à ce qu'elle sente des bourses au contact de sa vulve.
Il stoppa tout mouvement le temps que contenu et contenant prennent l'habitude l'un de l'autre. En amant averti il ne resta pas sans rien faire. Il étreignit de mes seins qu'il manipula avec rigueur et rugosité. Il revint ensuite à son intention première en me prenant par les hanches, il retira partiellement son membre puis le remis et ainsi de suite. Fatalement mon conduit s'élargit sous les va et vient. Bien sûr plus de douleur
et enfin de compte je trouvais cette nouvelle impression assez agréable. Cérébralement en tout cas, c'était sûr
. Il accéléra ensuite. Pas habituée à cette pratique je ne résistais pas et m'affalais de tout mon long sur le lit. Il m'écrasa de tout son poids et continua de me pistonner le temps d'atteindre son plaisir. Je sentis sa semence s'écouler dans mon conduit. Cela faisait somme devant
mais différemment. Quand il se retira il me laissa épuisée, en nage avec un mal aux reins
aux reins certes, mais pas au derrière
. Il m'embrassa (enfin) avec tendresse et chaleur tout en me remerciant du plaisir que je lui avais offert. Le temps avait passé, fatiguée j'avais besoin d'être seule.
Jean-Marie me trouverait encore souffrante et alitée
.
Gilles avant de s'en aller me demanda quand même comment j'avais trouvé la chose. "Nouvelle" fut le premier mot qui me vint à l'esprit et qui nous fit rire, complices. Il me demanda ensuite si je recommencerai
je répondis "oui"
il me demanda de venir deux jours plus tard, le mercredi.
Une fois seule et couchée, j'analysais. Ma sodomie n'avait pas été désagréable, loin de là. Donc mon époux était donc un piètre amant et peu membré. Cela contrebalança mon tourment d'avoir commise une faute en le trompant. Mais en attendant, je lui avais pratiqué une fellation, il m'avait fait subir les derniers outrages
mais
mais
et moi ? Je n'avais pas eu de plaisir ! A retardement j'en fus furieuse et plus tard dans la nuit, je me vis contrainte de me satisfaire. Le lendemain ma décision était prise, le mercredi je lui demanderai ma part de jouissance.
Le début d'après-midi du mercredi me trouva bine pimpante et sans autre vêtement que mon string. Courageusement je traversais le pallier en catimini. Il m'ouvrit l'air contrarié :
"Mais
je pensais que tu avais compris
que tu avais compris que je voulais te vois en porte-jarretelles
. Allez retournes !"
Le ton de commandement m'avait démontées. Piteusement je rentrais chez moi, fit comme exigé et refit le chemin dans le sens contraire. Cette fois en ouvrant, il pouffa.
"Mais tu es ridicule
qu'est ce c'est que ça
. Ton string
tu perds la tête
. A quoi va-t-il te servir ? Vas vite m'enlever cela
je te veux disponible !"
J'étais éperdue de honte, mais je fis le chemin pour la troisième fois. Cette fois il m'accueillis par un "Ah c'est mieux !". De son placard, il sortit une boite à chaussure qu'il me donna. S'y trouvait à l'intérieur un paire d'escarpin vernis noirs aux talons impossible. L'étiquette disait "vernis noirs plateforme 3 cm talons 147 cm". Bigre ! Je les enfilais et brusquement je grandis. Il commanda que j'évolue ainsi dans son salon. La démarche à peine assurée au début puis plus en confiance par la suite je paradais d'une démarche de mannequin devant ses yeux excités. Il vint vers moi et posant ses mains sur ma taille m'interrogea :
"Par quoi on commence ? Je t'encule ou tu me fais une pipe ?"
Devant mon absence de réponse rapide il décréta :
"Bon puisque tu ne te décides pas, c'est moi qui choisit
je t'encule d'abord et après tu me sucera !"
Ce qui fut dit, fut fait ! La première étape fut moins douloureuse que la première fois. Avant de passer à la seconde, pleine d'espoir, je lui demandais s'il ne voulait pas me prendre par devant. Avec un merveilleux sourire, il me répondit que "tout se méritait" et qu'il ne m'honorerait devant que quand j'aurais jouis par derrière. Je dus attendre trois semaines
. Ce fut lors de notre septième rencontre en tant qu'amant et de fait lors de ma septième sodomie que vint se plaisir nouveau qui fut une révélation insensée. Nous nous voyions environ deux fois par semaine depuis ce jour ou je lui offris la virginité de mes reins. Au cours de nos après- midi voluptueux il ne se lassait pas de me posséder par cette voie peu orthodoxe. Je dois dire qu'avec cet entraînement rapproché et rituel, nous nous y habituions fort bien, mon anus et moi. Dès la deuxième ou troisième fois je ne ressentais plus aucune douleur quand il s'enfonçait en moi. Lui de son coté pouvait aller plus librement entre mes reins et les deux dernières fois il "s'amusait" à sortir intégralement pour se renfoncer en moi d'une seule traite. Le plus fantastique est qu'il tint parole. Lorsque j'eus jouis analement, il s'occupa activement de mon vagin et me prit comme jamais je crois je n'avais été prise. Ce fut extraordinaire, et cette jouissance me laissa sanglotante de plaisir et d'émotion. J'étais, selon ses dires, devenue un fusil à trois coups
.
Dès lors, nos après midi, que nous espacions un peu pour ne pas que Jean-Marie devienne soupçonneux, furent torrides. Au bout de son membre (très) viril je revisitais toutes les pièces de son appartement
et du mien
par devant
et par derrière
. Parallèlement, il devint plus exigeant avec moi. Pour nos rencontre, je ne devais porter rien d'autre qu'un porte-jarretelles et les fameuses chaussures qu'il m'avait offert (il m'en offrit d'ailleurs trois autres paires une noire avec talon acier, une paire genre sandale aux talons transparents et une rouge aux talons incroyables) ça c'était acquit ! De plus, je devais accen ma ressemblance avec mon sosie, version outrageusement maquillée (pour mon goût). Ensuite presque à chaque fois, il y avait un intermède où je devais me caresser, me lécher les seins et masturber devant lui avec ou sans objet. Il lui arrivait même de me demander cela au téléphone les jours où nous ne nous voyions pas. Lui qui la vie courante était toujours d'une correction parfaite en vint à débiter des grossièretés et des obscénités qu'il me forçait ensuite à répéter. Je devais dire bite, cul, couilles, chatte et j'en passe
je devais confesser "que je n'étais qu'une salope qui aimait se faire enculer"
notez bien que l'on était près de la vérité
très près
. De toute façon, j'adorais être SA salope et je me complaisait à assouvir ses caprices qui, il y peu, l'idée de le réaliser m'aurait fait fuir à toutes jambes. Il me força à faire de la gymnastique pour m'assouplir. Pourquoi ?... simplement pour que je puisse passer les jambes par-dessus les accoudoirs de son grand fauteuil et m'exposer. Je fis bien sûr des exercices quotidien
bi-quotidien
tri-quotidien Ensuite, il me voulu aussi épilée. Il voulut intégralement, je négociais pour garder une légère toison sur le pubis à cause de mon époux. A celui-ci je me plaignis d'une mycose mal placée et d'un rasage pour éviter une macération mal venue. A cet endroit là il n'allait, heureusement, plus jamais voir. Il compatit et me fit réflexion de consulter notre médecin à son avis je couvais quelque chose. Il était anormal, d'après lui, que la fatigue m'oblige à me coucher dans la soirée. Pour lui je devais faire une petite déprime
. J'en voulus un peu à Gilles de ses manigances et je lui en parlais. Mon médecin aurait vite fait de trouver en parfaite santé
. Il me répondit :
"Ne t'inquiète pas ! Je m'occupe de tout !"
Un jour Jean-Marie revint de boire un verre avec notre (charmant) voisin et me dit :
"Tu vois j'avais raison ! Gilles te trouve aussi une petite mine. Il m'a donné l'adresse d'un de ses amis qui est médecin. Je te pose le papier sur la commode
j'aimerai que tu songes à le consulter !".
Je promis et en parlait avant à Gilles, qui me répondit qu'il préviendra son ami. Je pris donc rendez-vous et au jour et l'heure dite je me rendis au cabinet médical. J'y fus accueillie par une haïssable blonde sculpturale, genre bimbo potiche télévisuelle qui m'indiqua la salle d'attente et vint à me chercher à mon tour. Le praticien m'accueillit et consultant sa liste de rendez-vous fit :
"Ah oui ! Vous êtes une amie de Gilles P. Il m'a parlé de vos soucis. Je vais vous faire une petite ordonnance !"
Il parut réfléchir et dit :
"Si nous convenons que vous faite une petite anémie et vraisemblablement une chute de magnésium
cela vous convient ? Avec bien sûr un petit début de déprime ?"
Je hochais la tête en signe d'assentiment. Il reprit :
"Bon !
puisque vous êtes là, je vais quand même vous examiner, vous ne serez pas venue pour rien. Passez à coté et déshabillez-vous complètement !"
Je passais dans la partie auscultation et me mis nue. Il commença par prendre mon poids, puis tâta ma colonne vertébrale, me fis baisser pour en contrôler la courbure. Je remarquais quand même que pendant que je me penchais en avant il s'était mis un peu en retrait comme pour apprécier le spectacle que j'offrais. "Bien, bien !" fit-il. Il me demanda ensuite de croiser les mains derrière ma nuque, m'expliquant qu'il allait procéder à une palpation mammaire. Le début fut strictement médical. La fin, moins je trouvais
. "Parfait de ce coté là !" nota-t-il. Il me fit allonger ensuite et me prit ma tension.
"Parfaite!... placez, s'il vous plait, les jambes sur les étriers".
J'obéis tout en pensant qu'il n'était pas spécialiste en gynéco. D'ailleurs les spécialistes mettaient des gants, eux
. Cette fois plus de doute, il en profitait vraiment et je ne pus m'empêcher de mouiller.
"Aucun problème ici non plus, vous réagissez parfaitement. Levez un peu plus les jambes !"
Cette fois il prit un gant lubrifié et m'engagea directement deux doigts qu'il fit tourner dans mon anus.
"Vous êtes très souple
. Gilles à de la chance
."
Sur ces parole sibyllines (quoique
) il me pria de me rhabiller. De retour dans son bureau je le vis rédiger son ordonnance
vitamines, magnésium, remontant et prescription de repos et de marche en plein air. L'examen étant achevé, je lui demandais :
"Combien vous dois-je Docteur ?"
Il me regarda dans les yeux et laissa tomber :
"Une pipe
. Oui, une pipe
. Ce sera le prix de mon silence
."
Je le regardais sans comprendre vraiment.
"Allez dépêches-toi
il parait que tu es une suceuse de première
enfin, d'après Gilles ! Allez exécution !"
Comme dans un film au ralenti, je le vis se lever, ouvrir son pantalon et venir s'appuyer sur son bureau devant moi, sexe tendu. Il faut bien le reconnaître, il avait un beau sexe, bien nervuré et d'assez belle taille. Un peu mécaniquement le m'avançais et le prit dans ma bouche. Je suivis les méthodes apprises de Gilles pour bien faire, le faisant bien glisser entre mes lèvres jusqu'à ce qu'il m'éjacule dans le gosier. Comme un nouveau réflexe acquis depuis peu j'ingurgitais tout. Ce qui lui fit dire :
"Hé bien toi ! Tu es un vraie gourmande !"
Il se rajusta et me tendis un mouchoir de papier pour que je m'essuie les lèvres. Il appuya sur un bouton et la créature réapparut l'air indéniablement suspicieux. Peut être à cause de l'odeur de sperme qui devait flotter dans la pièce ? Le praticien me salua une dernière fois ajoutant :
"Et surtout, si vous ne constatez pas d'amélioration
repassez me voir !"
Une fois sortie je jetais un coup d'il sur sa plaque, histoire de noter ses horaires de rendez-vous et consultations. Outre ces renseignements la plaqua mentionnait aussi le numéro de téléphone du cabinet et le nom du médecin
Docteur Fred D
.
Dès mon retour, je passais un coup de fil à Gilles pour lui faire connaître de quelle façon s'était conduit son ami. Je me voulus courroucée. Ma colère tomba d'un coup. Mon amant me signifia qu'il était déjà au courant. Son ami venait de lui relater TOUTE ma visite médicale, pelotage et fellation comprise. Il ajouta aussi que c'est lui qui avait suggéré ce mode de paiement à son ami et que celui-ci avait déduit de ma prestation que je n'avais pas fait cela uniquement contrainte et e. Je dus concéder que ce n'était pas faux.
Ce qui suivit fut une période de bonheur intense. Les soirs et week-end j'avais conventionnellement mon mari et une ou deux après-midi par semaine mon amant me comblait sexuellement. Bien que me sentant un peu fautive de cocufier ainsi Jean-Marie, j'avais l'impression pour une fois dans ma vie de faire quelque chose de mal. Vous m'avez entendue, quelque chose de mal
et cela décuplait mon plaisir. C'est justement un de ces après-midi ou j'étais en sa compagnie que les choses prirent un tour nouveau. Nous étions dans une situation que j'aimais bien. J'étais debout face un miroir. Lui était derrière moi et tenait mes seins dans mains en coupe. Je sentais sa verge grossir dans mon dos pendant qu'il triturait mes tétons en les étirant et les faisant rouler entre ses doigts. De temps à autres, je rejetais la tête vers l'arrière pour qu'il me prenne la bouche avidement. Il me murmura en me mordillant le lobe de l'oreille.
"Caresses-toi
. Vas-y branles-toi bien le bouton !"
Cela ne faisait qu'une fois de plus
ma main glissa vers mon entrejambe. Il poursuivit :
"Tu n'as pas envie que je t'encule une deuxième fois ?"
"Oh tu ne m'a jamais fait cela !"
"C'est le moment, tu ne crois pas ? Tu en as envie ?"
Sachant ce qu'i fallait répondre à ce genre d'interrogation, je me laissais aller.
"Oh oui mon chéri
oui
encules-moi encore
. Mets-moi ta grosse pine ! Fais-moi encore jouir par le cul !"
Avant de procéder il avança:
"Tu sais, j'ai envie de te faire vivre des expériences qui te donneront un plaisir fou !"
"Oh arrêtes, tu me rends déjà folle !"
"Tu verras je te ferais faire des cochonneries à plusieurs
."
"Co
co
comment à plusieurs ?"
"Allons, ne fais pas ton innocente
à plusieurs comme des les films pornos
et toi aussi tu jouira comme une possédée !"
" Oh arrêtes
non
non
je ne peux pas !
"Mais si, mais si tu peux
. Tu en meurs d'envie de faire des cochonneries
. Allez avoue ! Dis-moi que tu veux bien faire tout ce que j'ai envie que tu fasses
."
"Oh tu te rends compte
. Et puis après tout
. Oui
. Oui tout ce que tu veux
. Je ferais tout ce que tu veux mon chéri
."
Cela n'alla pas plus loin. Je veux dire au niveau verbal. En revanche il fit ce qu'il m'avait ordonné de lui demander. Il me sodomisa une seconde fois et j'eus pour la première fois une seconde jouissance anale dans le même après midi. Nous devions nous revoir trois jours plus tard. Mais dès le lendemain, il me passa un coup de fit.
"Tu sais, jeudi
petit changement de programme."
Déjà j'en étais dépitée par avance
.
"Tu te rappelle Jean-Pierre ?"
Evidemment que je m'en rappelais, c'était lui qui m'avait fait jouir avant même que Gilles devienne mon amant.
"Il aimerait beaucoup constater les progrès que tu as fait comme tailleuse de pipe
. Je lui ai un peu raconté tout ce que nous faisions tous les deux
. Il m'a dit qu'il apprécierait te prendre par derrière lui aussi
. J'aimerais beaucoup le voir faire. Tu me suceras pendant ce temps là. Nous irons chez lui demain, mon ange
. Tu verras nous allons te faire passer un moment que tu ne regretteras pas !"
Que répondre
que dire
que faire
. Je m'étais engagée à faire ses caprices
et puis j'étais tentée
.
Je sonnais chez Gilles à l'heure prévue. Pour la circonstance, j'avais mis des chaussures classiques et la même robe noire qu'à la soirée barbecue. Celle qui était un peu sexy mais pas trop et puis, comme je me rendais chez mon amant en petite tenue, je n'avais rien d'autre qui fasse l'affaire. Donc je sonnais. La première chose que vit Gilles se furent mes chaussures. Cela lui déplut et il me demanda d'aller les changer
pour les rouges
. Je revins chez lui et il me demanda ce que je portais sous mon manteau. Je lui fis voir, précisant quand même que je ne portais ni slip, ni soutien gorge comme il affectionnait. Sa réponse fut implacable :
"Ridicule
tu es ridicule
. Tu as l'air d'une bonne petite ménagère qui va au super marché
. Allez vires-moi ta robe. Tu vas la laisser ici. Tu la reprendra en rentrant !"
Je m'abstins de dire que les bourgeoises ne se juchent pas sur des talons aiguilles de douze centimètres pour aller au super marché.
"Co
co
comment !... tu veux que je sois noue sous mon manteau ?"
"Evidemment ! Tu sais pourtant ce que vas faire cet après-midi ? Tu vas baiser et te faire enculer
Alors !"
Alors
je retirais ma robe
. Et c'est uniquement en porte-jarretelles sous mon manteau que je le rejoignis au parking. Ce trajet fut un calvaire car inévitablement, il défit quelques boutons du bas, histoire de pouvoir bien me caresser le sexe. Il voulut même que je l'ouvre complètement. Je refusais tout net
quand même en plein jour. Le bas était bien suffisant et cela permit à un cycliste de bien se rincer l'il et que dire des passagers du bus près duquel Gilles s'était rangé. Revenant sur ma tenue, il s'étonna que je n'aie pas de mini jupe.
"A mon âge ? Ce ne serait pas très convenable !"
"Justement
il va falloir que je t'habille pour les fois ou je te sortirais
."
Précautionneusement je ne répondis pas. Vu les chaussures dont il m'avait fait cadeau, je me méfiais de ses goûts vestimentaires. Après quelques instants, il me prévint :
"Ah au fait, je ne t'ai pas dit. Nous n'allons pas chez Jean-Pierre. Nous allons dans un petit hôtel sympa du centre !"
Je n'appréciais pas ce changement de programme dès lors que l'on pouvait me reconnaître. Mon dieu
si quelqu'un me voyait entrer dans un hôtel en compagnie d'un autre homme que mon mari
et si cette personne s'en ouvrait Jean-Marie
.
"Ne t'inquiète pas ! Allez tu vas voir
aller à l'hôtel te faire sauter par deux hommes
te connaissant, tu vas mouiller
."
Effectivement vu sous cet angle
. Il se gara dans un parking public et me prévint que nous finirions à pied
re-cauchemar
. Il prit son portable et téléphona. Je l'entendis dire :
" Au vingt trois ? Ok on arrive !"
Petit hôtel dans une petite rue qui débouchait, vers un quartier à mauvaise réputation le soir venu. Quand je dis " mauvaise réputation" je ne veux pas dire dangereux. En soirée des âmes seule y cherchaient la présence de professionnelles sur les trottoirs, ou dans de bar à hôtesses ou bien encore fréquentaient les deux ou trois sex-shop de la ville. Gilles me précéda et indiqua à un réceptionniste un méprisant que nous allions au vingt trois. Il me jeta un regard torve et dit :
"Ouais, ouais je sais ! Vous êtes attendus !"
J'évitais de le regarder dans les yeux. Le vingt trois donc deux étage à gravir. Ouf personne! Vingt neuf
il fallait aller à l'autre bout du couloir. Dans le silence du lieu on entendait que le claquement de mes talons sur le sol.
"Il va t'entendre arriver
cela va l'exciter
veinarde !"
Arrivé à la porte, il me souffla de déboutonner mon manteau. Il me plaça ensuite les mains sur mes hanches nues, histoire de bien écarter els pans du vêtement. Avec un cur battant la chamade, je le vis frapper. Une voix répondit un laconique "entrez !". Gilles ouvrit la porte, s'effaça et me poussa vers l'intérieur de la chambre.
En y pénétrant, la première chose que je fis fut de refermer prestement mon manteau. En effet Jean-Pierre n'était pas seul. Un autre homme se trouvait en sa compagnie, un très jeune homme, vingt cinq ans environ. Gilles entra et referma la porte derrière nous. Jean-Pierre s'adressa à Gilles :
"J'espère que tu ne m'en veux pas d'avoir amené un copain ?"
"Mais
pas du tout ! Quand il y en a pour deux; il y en a pour trois
."
Voyant que je serrai peureusement mon manteau contre moi; Gilles me signifia :
"Arrête un peu de faire ta chochotte ! Nous savons tous pourquoi nous sommes là ! Allez fais leur voir comme tu es belle !"
Comme hypnotisée et dans un état un peu second je rouvris mon manteau. Devint moi les deux hommes s'approchèrent. L'inconnu posa une main sur un de mes seins et fit un sifflement admiratif. Jean-Pierre qui avait fait la même chose confirma :
"Tu vois, je te lavais bien dit il y a de quoi peloter !"
C"est bien ce qu'il firent
d'autant que Gilles m'avait débarrassé de mon dernier rempart vestimentaire et lui, me caressait les fesses. C'est aussi lui qui toujours derrière moi posa ses mains sur mes épaules et y pesa. Je compris vite que j'allais devoir adopter une position soumise face au deux hommes. Je m'agenouillais
. Deux pantalons s'ouvrirent, deux queues apparurent. J'en pris une dans chaque main et embouchais celle de Jean-Pierre à qui je mis à faire une pipe digne de l'enseignement que j'avais reçu. Un "Ah oui, c'est nettement mieux" salua mes progrès. Pas égoïste pour deux sous, Jean-Pierre demanda :
"Penses un peu à Sébastien !"
Va pour Sébastien !... fort bien membré et que je pris à son tour sur ma langue malgré la honte que j'éprouvais à faire cela à un jeune homme qui aurait presque pu être mon fils.
"Mmmmmm
quelle est bonne ! Tu me combles ! En plus on croirait se faire sucer par CC
quel pied ! Allez actives-toi salope !"
Gilles qui lui aussi c'était mis nu entra dans mon champ de vision, désireux de participer à la fête. Dès lors, j'avais un sexe dans chaque main et un dans la bouche
et je faisais de mon mieux malgré leurs changements de place. Gilles me trouva superbe avec un queue dans la bouche (je compris qu'il voulait dire avec la queue de quelqu'un d'autre
). Puis les hommes plaisantèrent grassement en disant que je serais certainement aussi superbe avec une queue ailleurs. Ils tombèrent d'accord, en pouffant, sur le fait que je serais à mon summum en en ayant une enfoncée dans le cul jusqu'au couilles. Ils s'échauffèrent tellement qu'ils me firent relever et je me retrouvais allongée sur le dos, au bord du lit bas jambes écartées. Ce fut Sébastien, le premier qui se présenta entre elles et s'agenouilla. Vu l'état où je me trouvais il entra en moi comme dans du beurre m'arrachant un long gémissement. Je fermais les yeux de bonheur. Je les rouvris sentant le lit bouger. Jean-Pierre et Gilles s'y étaient agenouillés de part et d'autre de mon visage. Visiblement, je n'avais qu'une chose à faire : ouvrir la bouche. Gilles me renseigna en guise de programme :
"Fais bien ta cochonne ! On va te prendre par tous les trous !"
Cela me fit frémir. J'avais eu un aperçu de la difficulté de faire deux choses à la fois en matière de sexe
mais là trois
. Je pense que malgré mon statut de novice en polissonnerie, je ne me débrouillais pas trop car mes trois amants (rendez-vous compte trois
) avaient l'air content de moi. Pendant que je prenais les coups de pine d'Sébastien, je pompais alternativement les deux autres. Tour à tour, je les aspirais bien profond et je ne pouvais plus articuler aucun son, ni aucune parole d'encouragement ni de satisfaction pour celui qui me baisait. Tout juste pouvais-je émettre des "oui
oui
" étouffé ou des "humpf
. humpf
han
han" inarticulés. Lentement je sentais la vague monter en moi. Autant que je pus à ce moment là j'allais au devant du sexe qui me pourfendait. Tétanisé, je repoussait celles que je suçais et complètement arquée sur ce lit je montais au septième ciel pour la première fois de l'après-midi. Redescendue sur terre, ce fut pour entendre que Jean-Pierre désirait, comme prévu par Gilles, "me prendre le petit". Les hommes me mirent en levrette et me "préparèrent". A la fin de cette opération, Jean-Pierre vint s'agenouiller derrière moi et lentement, précautionneusement me sodomisa. Quand il eut prit la mesure du conduit, il s'y activa en douceur puis, constatant que j'allais au devant de lui, de plus en plus intensément. Comme il m'avait évoqué, Gilles vint s'agenouiller sur le lit face à moi et fit me goinfrer de sa queue. Il prenait un malin plaisir à me l'enfoncer dans le gosier, me maintenant par les cheveux sachant, très bien, qu'en plus les coups de reins d'Sébastien me faisait pénétrer sa bite encore un plus loin dans la gorge. Ils se moquèrent de mes bruits de gorge lorsque je tentais d'avaler ma salive. Pour la première fois que je réalisais que les actrices de porno étaient vraiment des pros. J'avais toujours eu un jugement très sévère pour elles. Je me rendis compte cette fois combien il était dur d'offrir une fellation très sensuelle cependant que l'on se faisait bourrer l'arrière train. C'était beaucoup plus difficile que de sucer mécaniquement
.
Sébastien s'était rapproché et se mit à participer aux réjouissances en pianotant sur mon clitoris et en s'occupant de mes seins qui ballottaient sous moi. Il les empoigna très fermement; presque trop car il n'avaient pas (encore) l'habitude d'être un peu rudoyés, et les manipula résolument sans oublier leurs mamelons qu'il prit fit rouler à la limite de ma faire un peu mal. Ceci d'ailleurs me fit remuer encore plus, couronnant le tout
. Après de long va et viens je sentis Jean-Pierre se contracter et sa verge se raidir et gonfler. Je savais à présent, d'expérience avec mon amant que bien enserrer une pine entre les muscles intimes contribuait augmenter la puissance de la jouissance. Je le fis et Jean-Pierre tonitrua en m'inondant les boyaux. Cette fois je n'avais pas pu accéder au plaisir. Ce ne fut que partie différée car Sébastien voulut immédiatement occuper la place laissée vacante. Sans laisser un temps de répit à mon anus qui sortait d'en prendre, il s'y engouffra. Mon conduit avait été abondamment "travaillé par son prédécesseur. L'intromission fut expéditive et il se rua en moi apparemment ravi de l'aubaine offerte par Gilles. Je peux vous dire qu'il y allait carrément. Je pensait a cette époque savoir désormais ce que " se faire casser le cul" voulait dire. J'étais loin du compte
la suite me l'apprit
pour mon plus grand plaisir. Gilles arriva au terme de sa résistance et au volume dont il me gratifia le gosier, je compris qu'il avait prit beaucoup de satisfaction, non seulement à cause de ce que je lui faisais, mais aussi en raison du spectacle de ma débauche. Il était apparemment ravi de voir se maîtresse se faire baiser, enculer par ses amis et les sucer.. J'étais loin de me douter combien il aimait cela et aurais l'occasion de le constater maintes fois encore. Allant et venant maintenant on ne peut plus librement dans mon rectum, Jean-Pierre, comme l'aurait dit vulgairement mon amant, me défonça la rondelle
et me fit jouir
cette fois
. en bredouillant des grossièretés et en concluant que "j'étais, aussi, bonne du cul !" il m'expédia une deuxième salve de foutre dans les intestins, me laissant inerte sur le lit.
Il y a une chose à laquelle, je n'avais pas encore songé par manque d'habitude. C'était la faculté de récupération masculine. Effectivement, lorsque l'un venait de jouir, il avait devant lui le spectacle porno de ma personne en train de subir les assauts des autres. L'excitation ressentie le remettait vite "en forme" prêt à remettre le couvert. Ce fut le cas pour Gilles qui alla s'asseoir sur une chaise et me pria (ou plutôt m'ordonna) de venir sur lui. Je me levais et une fois devant lui, écartais mes jambes pour laisser passer les siennes au milieu. Une fois à l'aplomb de son membre viril, comme je vis qu'il n'avait pas l'intention de faire un mouvement et qu'il semblait attendre, je m'en emparais et fléchissant les jambes, je me l'introduisis jusqu'à ce que mes cuisses reposent sur les siennes. Ce qui revient à dire, jusqu'à ce que je me le sois enfilé jusqu'à la garde. Il prit chacune mes fesses dans ses mains et me souleva
et me laissa retomber
et recommença
. Pas égoïste pour un sou il convia ses amis à venir se faire tailler une petite pipe. C'est ainsi que face à mon amant, je lui offris le spectacle en gros plan de ma bouche en pleine activité de suceuse. Je découvris à cette occasion mon plaisir à offrir cette caresse (et aussi à en recevoir les fruits). En une fraction de seconde je me pris à vouloir m'en gaver désormais et je me mis à plaindre celles qui ne souhaitent pas mener intégralement l'affaire jusqu'à son terme. Montant et descendant sur Gilles, je jouis encore une dernière fois avant que ce dernier n'explose dans ma chatte repue et que les autres me gratifient d'une double rasade d'un foutre tiède et épais. Après une rapide ablution en guise de remise en état nous quittâmes l'hôtel, somme toute un peu négligés, sous l'il égrillard du réceptionniste qui nous lança un "A bientôt" prometteur. J'eus même l'impression qu'il disait cela particulièrement à mon intention.
Jean-Pierre et Sébastien, après un dernier patin, nous laissèrent. Immédiatement nous regagnâmes le parking et une fois en voiture, Gilles reprit le contrôle des opérations.
"Tu as aimé ?"
Timidement et en rougissant certainement je me résolus à concéder ce qui n'était que pure vérité. Oui j'avais aimé
oh que oui ! Avec Gilles et Jean-Pierre déjà j'avais eu un léger aperçu de ce délicieux libertinage que de se laisser aller en compagnie de deux hommes, mais là c'était bien autre chose, bien pire
bien meilleur
. Emmenée nue sous un manteau dans un hôtel, visiblement un peu borgne, pour y être offerte en pâture (sodomie avec un inconnu en prime) m'avait parut d'un érotisme époustouflant et j'avais souscrit à toutes ces turpitudes avec bonheur. Je peux bien avouer que j'espérais en moi-même que Gilles s'en était aperçut et qu'il m'offrirait un jour l'occasion de recommencer. Il m'annonça qu'il avait beaucoup aimé me voir baiser. Il me demanda comment j'avais trouvé l'hôtel et si je voudrais bien y retourner à l'occasion. Je répondis que bien que l'avoir trouvé un miteux, j'accepterais d'y retourner en sa compagnie. Cela changeait de son appartement ou du mien
en plus graveleux bien sûr
.
Cela le fit rire. Puis il m'expliqua :
"Tu as remarqué la glace au mur ?"
"Heu
oui, pourquoi ?"
"A ton avis il y avait quoi derrière ?"
"Heuuu
le mur
non ?"
"Hé non ! Derrière le miroir, il y avait l'autre chambre et dans celle-ci trois voyeurs je crois qui devaient se branler comme des malades entrain de te mater derrière la glace sans tain
."
"Tu n'as pas fait ça ?"
"Mais si, mais si
et même pour que ce soit crédible j'ai touché la moitié de ce que le patron demande à ces types."
"Mais tu es un véritable salaud !"
"Absolument ! Comme cela on fait bien la paire ! Petit un, si je te l'avait dit tu n'aurais pas marché. Petit deux, maintenant que tu sais libre à toi de décider si tu veux que je t'y remmène
et je pense que tu accepteras. Je me trompe ?"
"Nnnn
non, non Gilles
"
"Tu vois ! Par contre, je te jure que pour Sébastien, je n'étais pas au courant. Mais j'ai pu constater que cela ne t'avais pas contrarié outre mesure
au minimum
."
Je dus en convenir. Le temps de notre petite discussion, nous étions arrivé à notre résidence. Il me convia de venir rechercher ma robe laissée à son appartement. Toutefois avant de me la redonner il me fit mettre à quatre patte à même la moquette de son entrée et, sous le prétexte qu'il n'y avait pas goûté de l'après midi, il m'encula comme un forcené et encore un fois j'y pris un plaisir infini.
Mon mari, en rentrant se désola de ma rechute
puisque j'étais de nouveau alitée
et cette fois brisée, moulue et
l'anus brûlant
et
bien
merveilleusement bien
assouvie
.
Ma nuit fut saccadée mes rêves se mêlaient à des moment d'insomnies ou des flashes de mon après-midi revenaient sans cesse. Jean-Marie en conclut que je devais être fiévreuse. Des qu'il fut parti, je me convoquais au fond de mon lit douillet. Il fallait que je fasse le point d'urgence. Je pense que Jocelyne et d'autres se sont également face à ce dilemme shakespearien
stop ou encore
.
D'un coté, retour à la vie confortable, bien tracée et sensée. De l'autre, une aventure inconnue qui m'échappait et dont une tierce personne ne tirerait les ficelles. L'éternel conflit entre le vice et la vertu m'était proposé. Si je renonçais, je sauvais mon ménage et s'en étaient fini des plaisirs que je venais de découvrir (à moins que Gilles n'exerce sur moi un "ignoble" chantage pour me contraindre à accepter des lubricités). Si je persistais je mettais en péril mon mariage (je n'osais même pas imaginer Jean-Marie découvrant son infortune) et de surcroît, je m'offrais pieds et poings liés, aux manigances de mon voisin. En vérité les dés étaient pipés. Je ne comptais pas vraiment emprunter le chemin de la vertu. Celui du péché m'attirait davantage même si j'en ignorais le tracé. Gilles me "tenait" par les sens. S'était-il rendu compte de ma totale capitulation devant ses exigences. Secrètement j'espérais que oui
et qu'il m'en proposerait de nouvelles. Il m'avait fait découvrir combien j'aimais sucer, combien j'aimais que m'éjacule dans la bouche, combien je me délectais lors de l'absorption de ce délicat élixir
eh bien ma bouche était à lui ! Il m'avait fait découvrir les plaisirs cachés de la sodomie
eh bien mon cul était à lui, même s'il le partageait avec lui.
Ma décision était prise. De femme adultère, j'allais passer à catin
.
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