Le Corset
Le Corset.
Je suis un homme, sexagénaire.
Jadore les corsets, et les porter, cest sublime. Il y a bien longtemps, javais tout juste dix huit ans ; jétais en vacances : les grandes vacances de fin juin à fin septembre ; chez mes tantes, dans le Nord, près de la frontière belge
Celles-ci commerçantes, tenaient un bazar, un grand bazar. Etant jeune et déjà quelque peu bricoleur, je réparais les quelques jouets
auxquels ils manquaient une roue ou une vis
afin quils soient à nouveau vendables.
La nuit, je la passais très souvent seul dans une chambre quune de mes tantes mettait à disposition. Très confortable, avec vue sur la route principale dun côté et de lautre une vue sur le centre culturel. Mais, je mégare quelque peu
Comme mes tantes étaient très occupées par ce bazar, elles avaient une bonne à tout faire et celle-ci faisait tout aussi bien la cuisine, le lavage et le repassage et même les lits.
Un matin, métant levé et ayant fait ma toilette, comme tous les jours, dans une cuvette, avec un broc deau, à lépoque il ny avait pas de salle de bain ou si peu dans les maisons non plus de toilettes, celles-ci étaient dehors, la nuit on faisait dans un seau hygiénique quon vidait tous les matins. Donc, je me lave, vide leau dans le seau, mhabille et me voilà descendant mon seau vers les toilettes. Je le vide et après rinçage je le remonte à sa place. La femme de ménage était déjà dans « ma » chambre entrain de refaire le lit et me dit :
- Bonjour, tu as bien dormi ?
- Oh oui dis-je.
- Au fait, jai trouvé ce corset sous ton oreiller, tu ne laurais pas mis par hasard
- Euh
Non ! Et me voilà entrain de rougir jusquaux oreilles. Et puis il est bien trop grand pour moi bredouillais-je !
- Alors tu avoues lavoir essayé ?
- Non, non, je vous assure.
- Ecoute, je ne te crois pas, je te propose un marché : jen reste là, mais cet après midi, je ne travaille pas, tu tarrange pour venir chez moi, seul bien entendu.
- Et si je ne viens pas ?
- Oh ! Cest simple, je dis à tes tantes et grand-tante que tu dors avec un de leur corset et tu seras la risée de tout le monde. Donc tu sais ce quil te reste à faire ?
- Oui je vois.
- A tout à lheure ; 14h précises et sois à lheure.
La matinée passe très vite, nous déjeunons puis je dis à mes tantes que je vais voir un ami pas loin
et elles me laissent partir.
Je me rends chez la femme de ménage, je frappe à sa porte et elle me dis dentrer, ce que je fais
- Tu as vu lheure ? Me dit-elle, je tavais dit 14h et il est 14h 30, je vais te punir. Mais avant viens ici, baisse ton pantalon, le slip aussi, remonte ta chemise et ton maillot que je prenne des mesures.
Elle prend des mesures avec son centimètre de couturière, qu'elles inscrits sur son carnet : la hauteur entre les tétons et mon pénis, le tour du torse, le tour de ceinture, et le tour de hanche et le tour des fesses, presque à hauteur du pénis.
- Reste comme ça, viens ici, sur mes genoux que je te donne une bonne fessée pour ton retard.
Je me mets en position comme elle me la dit, elle commence par des claques pas trop fortes, puis accentue la frappe, ça chauffe, il faut dire que ses mains ressemblaient à des battoirs tellement elles étaient grandes, et au bout dune vingtaine de coup je commence à pleurer, à gigoter.
- Reste tranquille, il reste dix coups, mais si tu continue à remuer de la sorte, tu en auras plus.
Jessaye de me retenir, mais trop dur
je nen peux plus, cest plus fort que moi, je remue.
- Puisque cest comme ça on va prendre les grands moyens
tu vas te mettre sur le banc, le derrière en lair, je vais tattacher les mains aux pieds du banc.
Me voilà sur le banc, sur le ventre, les poignets attachés aux pieds du banc, elle sest munie dune sorte de raquette qui servait à battre les tapis elle sassoit sur mes chevilles, je suis immobilisé ; la fessée peut reprendre et hop autant.
Une heure après, elle mappelle, essayage, elle me fait quitter tous mes vêtements, me met le corset quelle a confectionné, elle peut le serrer il y a de la marge
Elle tire sur les lacets, jen perds le souffle, jhalète tellement cest serré.
- Bon dit-elle, tu vas le garder comme ça jusque 16h 30, ensuite on verra. Jattends quelquun et je ne veux pas que tu sois là.
Elle memmena dans une sorte de buanderie, elle me bâillonna, me banda les yeux et me fis entrer dans un placard, dont elle referma la porte à clé.
Au bout dun certain temps, elle vint ouvrir, menleva le bâillon et le bandeau, je revins dans la pièce, puis me demanda
- Comment te sens tu avec le corset ?
- Il est serré, je nai pas lhabitude. Ça fait mal.
- Bon ce nest quun début, avant de partir je vais te le desserrer un peu.
- Je vais le garder pour rentrer ?
- Ben oui il faut bien que tu ty habitue de plus tu le gardes pour dormir
- Je ne pourrai pas !
- Cest à prendre ou à laisser mais noublie pas la promesse que je tai faite je me tais à condition que tu garde le corset jour et nuit.
- Bon je vais essayer.
- A demain matin, je passe te voir en arrivant et gare à toi si tu as retiré le corset.
Le lendemain, comme convenu, elle passa dans la chambre, me réveilla et constata avec satisfaction que javais toujours le corset
- Cest bien dit-elle, tu vois, quand tu veux. Allez lève toi que je le resserre un peu.
- Pas trop, jai eu du mal hier soir pour mendormir
- Je te le desserrerais ce soir vers 18h ne ten fais pas
Jai gardé le corset tout le temps des vacances, étant resserré tous les matins, tous les jours un peu plus que la veille, quand je lai quitté pour rentrer chez moi, il me manquait.
Ensuite je fus un certain temps avant de retrouver un corset digne de ce nom, il ma fallu attendre quelques années au moins quinze ans avant de pouvoir moffrir un serre taille de 71cm, je lai commandé en Angleterre chez Axford, que jarrivais à fermer complètement, javais une taille de 71cm, puis un corset, un vrai qui me prenait en dessous des seins jusquen dessous du ventre toujours un 71cm, celui là javais du mal à le fermer, il était plus baleiné et plus contraignant.
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