Histoire Sans Titre

Tous les ans nous nous retrouvons au bord de la mer. J'ai la chance que mes grands parents pssèdent une villa assez grande et où nous pouvons nous joindre presque tous les étés. J'ai seize ans, ma soeur a deux ans de plus et mes cousins ont sensiblement le même âge que nous. Tous les ans nous nous adonions à tous les jeux pratiquable au bord de la mer, mais cette année, nous trouvions qu'il pouvait en être autrement et qu'il y avait d'autre chose à faire. Ma libido réveillée, je trouvais Rémi, mon cousin, très mignon. Je trouvais qu'il s'était développé favorablement et qu'il ressemblait à un homme.
Un jour, je me réveille et en arrivant dans la cuisine, je vois un mot :"Ma petite jennifer. Comme tu dormais et que nous pensions que ça ne t'interessait pas, nous sommes partis pour la journée faire une excursion dans la campagne. Il doit y avoir à manger dans le réfrigérateur. Bonne journée. Bisous....
Je faisais chauffer mon café, préparais mes tartines et commençais mon petit déjeuner après avoir allumer la radio. Au son de la musique j'allais chercher ceci, et cela laissant ma robe de chambre complétement ouverte, en dansant sur le rythme des tubes de l'été.
Alors que j'allais récupérer l'ultime tartine qui grillait dans le grille-pain, je vis le regard amusé de Rémi qui m'observait.
- Quest-ce que tu fais là ? je croyais tout le monde parti ! dis je rougissante et confuse.
- Ben non, tu vois, je n'ai pas voulu y aller, j'étais trop fatigué.
Je refermais ma robe de chambre un peu honteuse et lui propoais de patager mon festin.
-tu peux laisser ta robe de chambre ouverte, tu sais, je te trouve très jolie à poil ! ! !
- Eh dis donc Rémi, tu voudrais que je me mette à poil et toi tu resterais en pyjama ?
- Si tu enlèves ta robe de chambre, proposa t-il, j'enlève mon pyjama !
- Tu rigoles Rémi ?
- Non Jennifer, (rires)
- Pourquoi ce ne serait pas toi qui se mette à poil et moi après si ça me chante ?
- Comme tu veux Jennifer !
Il se leva, enleva le haut de son pyjama, et sous mon regard quitta le pantalon de pyjama, se retrouvant debout complètement nu au milieu de la cuisine.

(rires)
je n'allais pas me dégonfler et avec geste très théatral je fasais glisser ma robe de chambre à me pieds, me retrouvant à l'instant entièrement nus face à Rémi.
Nos rires s'estompèrent vite et Rémi s'approcha de moi lentement, puis me prit dans ses bras. Mes mamelons dejà dressé par l'excitation se frottaient sur sa poitrine imberbe et je sentais son sexe se raidir et heurter mon ventre. Son corps était chaud et il m'étreignait. Mon corps épousait son corps et la fièvre montait peu à peu. Il s'écarta légèrement et m'embrassa sur la bouche. Mes lèvres s'entrouvrient et nos langues se mèlèrent profondément. Très doucement, ensuite il me poussa vers un fauteuil dans le coin de la cuisine. Je m'y assis. Délicatement, il écarta mes cuisses et à genoux il commença à me lècher le ventre, les seins, les épaules, les cuisses avec des gestes mesurés et doux. Puis attirant mon bassin vers le bord de l'assise, il écarta les lèvres de ma chatte et agita la pointe de sa langue de la base de mon vagin en remontant vers le clitoris. Je sentais ma chatte couler et il s'en régalait. N'y tenant plus je laissais aller mon plaisir et j'atteignis l'orgasme avec beaucoup d'agitation, échappant un flot de cyprine dans sa bouche. Quel délice !!!
Une fois notre fièvre légèrement retombée, il me prit par la main et toujours nus m'attira dans sa chambre au fond du couloir.
Il me coucha sur sa couche, et reprit ses baisers multiples sur tout mon corps. Il était sur moi et descendait au fur et à mesure que le corps était cuvert de ses baisers. Il continua à l'intérieur de mes cuisses puis vers mes genoux. Le plaisir remonta dans mon corps et je décidais de lui offrir. Je remontais mes jambes les écartant assez largement et je sentis son sexe commencer la pénétration. Je sentis son gland franchir le premier cap et venant ce freiner vers ma bague, doucement. Il appuya, je sentis avec douleur un déchirement dans mon ventre. Il s'arrêta, resta un moment immobile, m'embrassa, puis au bout de quelques minutes continua sa progression. La douleur avait disparu et son sexe lentement commença à faire des va et vient. Le plaisir reprit peu à peu et il le remarqua car ses coups de boutoir furent plus violents et soudain son corps se cambra et il échappa un cri de jouissance avançant son bassin au plus près. Il venait d'atteindre le coït. Il resta un instant sur moi, continuant à m'embrasser avec délice et douceur. Puis il roula à côté de moi m'attirant vers lui pour que je puisse poser ma tête sur sa poitirne. Nous échangeâmes quelques mots sans importance. Puis il se tourna vers moi et dit :"J'ai trop envie"
Il glissa au fond du lit et remonta entre mes cuisses et se remit à me lècher la vulve dégoulinante de cyprine et de sperme. Et comme je l'avais vu faire dans les films X, je décidais d'aller le sucer en même temps; Nous nous retrouvâmes en position 69. Je découvrais un sexe d'homme que je gobais naturellement et le sucais avec délicatesse et que je trouvais bon, au fur et à mesure que la suce se prolongeait. Mon bassin commença à onduler sous l'impulsion de sa langue et au plaisir montant, J'allais encore jouir, son sexe allait et venait dans ma bouche et je me régalais, son corps à son tour ondulait et au même moment nous atteignîmes le 7eme ciel. Je ne sentais plus mon sexe enveloppé dans le plaisir. On entendait le floc floc de l'agitement de nos sexes dans la bouche l'un de l'autre. Son sperme arriva dans ma bouche par saccades et je l'avalait avec gourmandise. Je pinçais bien les lèvres pour n'en perdre aucune goutte.
Nous avons refait l'amour plusieurs fois avant le retour de notre famille.
Nous nous sommes jurés de nous revoir dans l'année, malgré la distance...