Dans Les Filets D'Une Femme Mûre
En septembre 2004, alors âgé de 18 ans, je quittais ma petite ville de province pour poursuivre mes études à Paris. Je ne connaissais personne, excepté une ancienne collègue de travail de ma mère, Carole. La quarantaine, elle était CPE dans un collège de la couronne parisienne. Les premiers jours, elle ma hébergé. Elle vivait alors maritalement avec un homme de son âge.
Ce nétait pas ment une belle femme, bien quelle ne fût pas moche. Elle était de taille moyenne, les cheveux coupés court, un visage quelconque. Néanmoins, elle était plutôt longiligne, et les formes de ses seins et de ses fesses nétaient pas désagréables à observer, ce que je faisais de la manière la plus discrète possible.
De son côté, je crois quelle nétait pas en reste. Elle me disait que jétais un beau jeune homme, mais à ce niveau là, je prenais cela comme de la simple politesse. Toutefois, je sentais parfois son regard se poser sur moi, sur mon torse ou sur mes fesses. Je faisais alors celui qui ne voyait rien.
Le matin de mon départ, alors que je me réveillais à peine, jentendis frapper à la porte. Je dormais à poil, comme dhabitude ; je me levais donc prestement, pour enfiler vite fait un caleçon et un t-shirt, puis ouvrir la porte. Mais mon visiteur nattendit pas mon signal : la porte souvrit, et je me retrouvais alors nez-à-nez avec Carole, le sexe à lair. Pourtant, elle ne jugea pas utile de sexcuser ; elle me salua simplement, puis elle fixa mon sexe que jessayais maladroitement de dissimuler sous mes mains - de manière ostensible, et me dit sur un ton sévère : « eh bien, je vois quon prend ses aises ! Tu crois que ça se fait de me recevoir dans cette tenue. En plus, tu bandes comme un taureau maintenant ! ». En effet, je sentais monter lexcitation, et mon sexe commençait à se dresser, ce qui fit que mes mains ne suffisaient plus à cacher entièrement ma virilité. Elle me regardait avec un mélange de mépris et damusement.
Je devais partir le soir même, puisque ma chambre était censée être disponible. Je partis donc avec toutes mes affaires. Mais en fin daprèm, ma mère mappela pour me dire que le propriétaire lavait appelée, pour lui dire que les travaux nétaient pas encore tout à fait terminés, et pour savoir si je pouvais encore me débrouiller autrement. Ma mère a accepté, et avait déjà appelé Carole pour lui demander si elle pouvait encore me dépanner une nuit, ce quelle accepta. Cette nouvelle me provoqua une bouffée de chaleur, et jétais terrorisé à lidée de la revoir si vite. Surtout, jespérais quelle navait rien raconté à ma mère, car, sil ny avait rien dextraordinaire ou de grave, je ne souhaitais pas que cet épisode fasse le tour de la famille
.
Elle me récupéra à une sortie de RER. Elle maccueillit avec le sourire, de façon très avenante, et engagea aussitôt la discussion, sans faire aucune allusion. Josais alors espérer que ce qui cétait passé était mis de côté. Mais je me trompais
Arrivés chez elle, elle changeât de ton. Elle mannonça dabord que son compagnon ne dormait pas là ce soir, ce qui arrivait 1 à 2 fois par semaine. Puis elle me dit quelle avait accepté de maccueillir encore une nuit pour rendre service à ma mère, mais que cela lui pesait vraiment depuis lincident du matin. Je mexcusais alors, lui disant que je navais pas fait exprès, et que je ne pensais pas quelle entrerait sans que je lui permette. Elle me regarda sévèrement : « allons donc, je suis quand même chez moi, je nai pas besoin dautorisation pour me déplacer ! Et de toute manière, ta mère est daccord avec moi. ». Je pâlis alors, et elle me contempla avec un air satisfait : « je vois que tu ne veux pas que cette histoire sébruite ! Je te rassure, je nai encore rien dit
pas encore ». « Sil vous plaît, ne lui dîtes rien ! ».
Je sentais quelle voulait en arriver là. Javais le choix : je pouvais lenvoyer paître, quitte à e subir les conséquences, sommes toutes limitées, ou entrer dans le jeu. Jétais à la fois effrayé et terriblement excité. Tremblant, je ne pu me résoudre à la première solution, et je la relançais : « et de quelle manière ? ». Elle afficha alors un large sourire, triomphante : « simplement en faisant ce que je te dis ». « Bon, ben daccord alors, mais promettez-moi de ne rien dire » « Promis ! ».
« Bien, pour commencer, tu vas me laver les pieds et me les masser pieds ; tu trouveras le nécessaire dans la salle de bain». Sitôt dit, elle sallongea sur le canapé. Jallai récupérer ce quil fallait, et revint. Elle me fit signe de venir près delle. « Non, pas assis, à genoux, allons !». Je mexécutais, et la déchaussa. Elle ne portait pas de chaussettes, et ses pieds ne dégageaient quune odeur très légère. Une fois lavés, je commençais le massage. « Hum, fit-elle, que cest agréable ! Un régal » ; elle me caressait alors la tête, puis, progressivement, descendit le long de mon dos, pour finalement arriver à mes fesses. « Tournes-toi un peu par ici, que je puisse mieux profiter de ton petit cul » ; je mexécutais, en veillant à bien me cambrer « cest bien, tu es sage, continues comme ça ». Elle entra sa main sous mon jean et mon caleçon, pour caresser directement sur la peau. Je ne métais jamais retrouvé dans une telle situation ; pour autant, après quelques hésitations initiales, je me lâchais progressivement pour jouer le jeu. Pour inhabituelle quelle soit, je trouvais cette situation être aux pieds dune femme terriblement excitante.
Dun coup, elle mordonna darrêter, tout en me félicitant : « la prochaine fois, je veux voir ta langue ! Mais bon, maintenant que je suis relaxée, il est temps que je voie ta bite, non ? Enfin, plutôt la revoir » fit-elle en riant. Elle me fit me lever, et elle porta immédiatement sa main à mon entre-jambe.
« Bon, cest pas mal du tout, dis-moi. Tu es bien foutu mon gaillard» fit-elle après mavoir bien regardé de la tête au pied. Il est vrai quaprès des années de pratique sportive, mon corps était plutôt bien sculpté, et jen étais assez fier. Elle me caressa furtivement le torse, quelle trouvait « viril à souhait », puis me demanda de me tourner, et elle commença à me peloter les fesses. « Et un bon pti cul bien ferme avec ça ! ». Elle me fit encore pivoter, et attrapa mon sexe : « bon, voyons de ce côté-là. Cest une belle queue que tu as ! Elle doit faire 20 cm, non ? » « euh, je ne sais pas
» « quoi, tu as jamais mesuré, attends voir ». Elle alla prendre une règle « allez, bande au max
. voilà, 18 ou 19 cm, cest pas mal. Surtout, elle est bien grosse ». Elle entreprit alors de me branler, lentement. «Tu as déjà fais lamour ? » « Euh, oui, mais une seule fois » « et alors ?» « ben, ce fut pas terrible ». « tu as jouis trop vite ?, fit-elle, en accélérant le va-et-vient. « Un peu, oui, et jétais assez stressé » « ah, cest bien les pti jeunes ça . Ca parle beaucoup, ça fait le malin, mais ça tient pas la route quand il faut. Ah la la, jespère quand même quon arrivera à faire quelque chose de toi
». Ce faisant, je sentis que jallais éjaculer. Elle sen rendit compte, et « capuchonna » mon gland, au moment où je jouissais, de manière à retenir le liquide « allez, va nettoyer ça, et revient, on va manger un bout. Et enfiles un caleçon, ça sera plus poli ».
Le repas fut vite expédié. A la fin, elle mordonna de faire la vaisselle, puis de la rejoindre dans le salon. Lorsque je la retrouvais, elle était allongée sur le divan, en chemise de nuit.
Soudainement, elle écarta davantage les jambes « Alors, tu cherches à voir ma chatte, petit cochon. Eh bien regardes, je te la montre. Allez, vient lhonorer ». Je navais jamais pratiqué le cunnilingus, pourtant je nhésitais pas. Je remontais vers son sexe, et mis ma bouche dessus. Ce premier contact ne fut pas particulièrement agréable, car son odeur était plutôt forte. Elle ne sétait pas lavée. Mais je mattelai à la tâche avec le plus dardeur possible, et je remuais beaucoup la langue. « Allons, ralentis un peu, jai limpression dêtre secouée dans tous les sens. Et insiste plus haut ». Fort de ces conseils « sur le tas », je rectifiai le tir, donnant des coups de langues plus lents et plus précis. Je continuais ainsi pendant un petit bout de temps, mais elle ne jouis pas.
Finalement elle mordonna darrêter « Bon, cest pas lextase, mais cest quand même pas mal pour un débutant. Va falloir apprendre à bien te servir de ta langue ! Mais en attendant, voyons si tu es plus doué avec ta bite ». Elle mordonna de mallonger sur le dos, menfila une capote avec une dextérité certaine, et elle vint sempaler sur mon sexe. « Allez mon salaud, on y va, allez, oui, oui,
». Elle faisait dénergique va-et-vient sur mon sexe, tandis que je veillais à bien tendre mon sexe et, surtout, que je me concentrais pour ne pas exploser trop vite. A un moment, je sentis que ça venait, mais, heureusement, elle sarrêta, et nous fis changer de position, pour adopter un missionnaire classique. « Allez, à toi de bosser un peu, mon gros ». Je ne me fis pas prier. Quant à elle, et me pelotait le cul, passant sa main dans ma raie et me caressant même lanus. A ses gémissements, je pensais quelle prenait du plaisir, mais je ne pu résister très longtemps, et jéjaculais violemment en elle.
Nous restâmes silencieux quelques secondes. Je nosais trop rien dire. Puis elle me fit : « Bon, ben cest pas mal, mais je suis pas rassasiée. Allez, bouge de là, va jeter la capote et revient vite, on remet ça ! ». Aussitôt dit, aussitôt fait, et je me retrouvais à nouveau en missionnaire. « Ah, cest ça qui est bien avec les jeunes, vous récupérez vite !». Il est vrai quà peine revenu dans le salon, je bandais à nouveau. « Bon allez, on change un peu
attends ». Elle me fit sortir delle, et se mis à quatre pattes : « cest ma position préférée, allez, viens ». Je la pris donc en levrette. « Alors, ça texcite de me prendre par derrière mon salaud. Allez, profites-en, vas-y à fond ! ». Je ny allais pas avec le dos de la cuiller, et cette fois, première « session » oblige, jétais plus endurant. Cette fois, elle semblait vraiment prendre son pied. Jéjaculais finalement après 10 bonnes minutes, alors quelle poussait de forts gémissements. « Pfff, ça fait du bien, fit-elle. Quelle chance de tavoir trouvé, ça me change des vieux que je dois me taper habituellement ». Je restais un moment immobile, les yeux fermés, ne sachant quoi dire. Puis elle me fit signe de me dégager, et à nouveau, jallai me nettoyer, et revenait auprès delle, mais elle avait recommençait à regarder la TV, et jattendis donc auprès delle.
Quelque temps après, nous allâmes nous coucher. Alors que jarrivais dans la chambre, elle me fis : « je crois que tu as mérité une petite récompense, mon gaillard. Allonge-toi. ». Une fois fait, elle se coucha en travers du lit, commença à me caresser le sexe, dabord avec la main, puis avec la langue. Cétait la première fois quon me prodiguait une fellation, et je dois avouer quelle connaissait son affaire. Elle alternait les coups de langues lents et des mouvements plus rapides, sur mon gland ou sur ma verge, le tout en me fixant régulièrement dans les yeux. Par moments, elle gobait littéralement mon sexe, et effectuais des va-et-vient avec sa tête. Elle sattarda également sur mes bourses avec beaucoup de délicatesse. Ce traitement était extrêmement agréable, et jessayais den profiter pleinement. A un moment, je sentis sa main me caresser sous les testicules, et entrer dans ma raie. Avec son doigt, elle me caressait délicatement lanus et son pourtour. Je fus surpris de cette initiative, mais cette sensation ne me déplaisait pas, elle mexcitait davantage encore même. Et dun coup, hop ! elle menfonça son doigt dans le cul, et commença des mouvements. A ma grande surprise, jappréciai cela, sans savoir si cela provenait vraiment de mon anus ou de ma bite. Je sentis alors que je nallais pas tarder à exploser, et je la prévins. « Tinquiètes pas, me dit-elle en me fixant ». Là encore, je fus étonné mais je ne dit rien, et jéjaculais alors, dans sa bouche. Elle avala tout, et nettoya ensuite entièrement mon sexe avec application. Quant à moi, je regardais au plafond, sans un mot ; Javais pris un pied énorme.
« ouh ouh, on se bouge au lieu de dormir, et comme ta bite nest pas encore totalement en état, tu vas utiliser ta langue ». Et me voilà donc reparti pour un cunnilingus, qui fut plus agréable que le premier, car elle avait pris une douche avant de se coucher. Je mappliquais le plus possible, et quelle semblait apprécier, même si je savais que je narriverais pas à la faire jouir. Puis, voyant que mon sexe reprenait de la vigueur, elle me fit arrêter.
« Bon, on va passer aux choses sérieuses : tu vas me sodomiser mon pti. Eh oui, je toffre mon cul, faut bien que je profite davoir une bonne belle bite à disposition » fit-elle en voyant mon regard surpris. Elle me mit à nouveau une capote, quelle enduisit de lubrifiant, puis mordonna de lui en mettre sur lanus, puis dy introduire progressivement des doigts, ce que je fis, non sans une certaine hésitation. « Allez, maintenant, viens, mais vas-y doucement ». Japprochais mon sexe de son orifice, y introduisant dabord le gland, doucement, puis progressivement tout le sexe « aaaaah, fit-elle, cest quand même bon ! ». Encouragé, je commençais les va-et-vient « cest ça mon salaud, pète-moi le cul, oui, oui ». Elle gémissait vraiment fort. « hum, cest bon, cest bon,
». Du haut de ma très faible expérience, je fus surpris quelle puisse prendre son pied ainsi, mais bon, jévacuai rapidement le problème, pour me recentrer sur mes mouvements. Elle les accompagna avec beaucoup de vigueur. Finalement, je jouissais à nouveau, pour la 5e fois de la journée. Je me retirais immédiatement, et mallongea les bras en croix : je nen pouvais plus, jétais vidé. Elle semblait également bien fatiguée, mais me toisa quand même « eh bien, tu mas lair épuisé. Y a encore du boulot pour faire de toi un vrai bel étalon
». Je ne répondis pas. Nous nous sommes endormis très vite, et le lendemain, elle me laissait devant lécole avec mes bagages, non sans mavoir dit à bientôt
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