Leslie, Transexuelle Chapitre 19
CHAPITRE 19 Les femmes qui aiment les femmes.
En club lesbien, rencontre avec Roxanne.
Ce soir la, pour mamuser, confiante de leffet que je faisais à mon entourage, je décidais de me rendre dans un club lesbien, lendroit où les filles se rendre lorsquelles veulent faire des rencontres avec dautres fille et les emmener finir la soirée dans leur lit. Mayant faites belle, comme chaque fois, je me suis rendue dans cet endroit feutré ou les conversations se faisaient à mi voix, de peur de déranger les voisins ou dêtre surprise en grande confidence de désirs lesbiens.
Enfin me voila seule assise à une table, enfoncée dans un canapé, attendant, comme une proie attend son prédateur.
Une femme sapprocha de ma table, une belle grande blonde avec un corps de rêve, une très belle lesbienne que je me ferais bien me dis-je, mais pour linstant cest elle qui me demandait :
- Puis je minstaller avec vous à cette table et vous payer un verre.
- Volontiers, je nattends personne et je mennuyais un peu, lui répondis-je.
- Cela métonne pour lattente, mais pour lennui je vous crois, mais maintenant je suis là.
- Oui et cela menchante de faire la conversation à une jolie femme.
- Flatteuse, je mappelle Roxanne et vous ?
- Leslie.
- Jadore, me dit-elle.
Et me voila brancher, elle est belle et elle me branche bien, cela va mal se finir, enfin ou bien dans son lit.
Nous sirotons nos boissons dans cette ambiance feutrée et nous parlons de nous, et petit à petit je sens quelle se rapproche de moi, la conversation se fait plus précise sur les goûts de chacune et bientôt ce sont de nos goûts sexuels dont nous parlons, elle si près de moi que je sens son parfum, et son souffle caressé ma joue, elle pose une main sur ma cuisse et me dis :
- Leslie, jai envie de toi, maintenant.
- Waouh, cest direct mais ça a la chance dêtre clair.
- En te rendant ici, tu savais ce que tu venais chercher, alors ne fait pas la mijaurée et suis moi.
Nous voila partie vers son appartement tout près de la, dans lascenseur elle me caresse et membrasse à pleine bouche, cest une gourmande à coup sûr, mais je fais bien attention que ses mains ne saventurent pas sur mon pubis, du moins pas maintenant, pas de suite. A peine la porte de son appartement sest elle fermée derrière nous quelle me reprend dans ses bras et meffeuille de mes vêtements, ne me laissant que ma culotte, elle me fait des compliments sur mes tatouages et le piercing, je suis flattée, puis elle se dévêtit elle-même, me complimente sur ma petite poitrine quelle dévore à pleine bouche me tirant de petits cris, et nous voila nues, poitrine contre poitrine, la sienne est plus volumineuse que la mienne, mais ferme aux bouts arrogants qui se dressent fièrement, sont sexe a une joli toison taillée, nos mains caressent nos culs, nous nous pelotons comme des avides de sexe, nos pubis se touchent et la, elle sent contre sa motte mon sexe dur que je ne peux plus contenir.
Elle baisse ma culotte et mon sexe se dresse fièrement devant elle.
- Tu es une petite cachotière, mais ce nest pas grave, je te désire, me dit elle tout en enlevant sa culotte.
Nous sommes lune contre lautre, je lentends respirer, son cur cogne contre ma poitrine. Mon sexe est enfin en contact avec son bas-ventre. Elle moffre sa bouche, je lembrasse. Jétreins ses fesses, les malaxe.
- Allons dans la chambre, dit-elle, toujours chaussée elle me précède dun pas décidé dans la pièce sombre.
En entrant à mon tour et je la vois au pied du lit plier les genoux, sagenouiller, cambrer les reins en me regardant par-dessus son épaule avec un regard remplit de désirs.
- Viens, me dit-elle.
Je mapproche et lui baise le cul, elle se cambre et le tend vers mes lèvres.
- Viens chérie, je suis toute à toi. Viens ...Viens, dit-elle dune voix sourde, suces moi chérie, suces moi et prends moi.
Je passe ma langue sur tout son périnée.
- Oh, oh oui encore, Leslie, Leslie, je ten prie ...prends moi maintenant par derrière.
Je fais comme si je navais rien entendue, je continue daller et venir dans son sexe trempée de son plaisir.
- Oh Chérie, je ten prie, viens derrière moi... encules-moi !
Je continue et pilonne sa chatte, je veux encore lentendre me demander.
- Leslie, jen peux plus, encules moi, encules moi jen ai tellement envie, prends mon cul.
Je mextrais de sa vulve, japproche ma queue tendue de cette cible désignée et la met sur son illet plissé. Mes gestes sont lents, je pousse doucement. Je sens distinctement la chair anale palpiter contre mon gland. Roxanne contracte et décontracte volontairement son anneau rose, je la tiens aux hanches et exerce une poussée continue. Je vois ma colonne de chair progresser entre les deux globes fessiers et rentrée dans son trou du cul, le gland passe non sans difficultés, mais il reste toute la longueur de mon sexe à rentré.
- Ohhh, chérie, cest gros.
Lanneau me serre délicieusement le gland.
- Oui, je suis ton enculée chérie.
Roxanne shabitue à mon gland dans son illet, ce nest certainement pas la première fois quelle se prend un objet dans la rondelle, je reste immobile en elle.
- Oh comme cest bon, mais ne bouge pas de suite, il est épais, je me sens toute étirée, tu risque de me déchirer, Ohhh lala, quest ce que je me prends dans le cul.
Je suis terriblement serré par son anneau, je reste immobile incrustée en elle.
- Comme cest gros, jaime, oui jaime ça chérie, les godes de mes amantes navaient pas de telles dimensions. Tu peux bouger maintenant, mais va doucement, sil te plait, ton sexe est tellement gros, je nai pas lhabitude de telles dimensions.
Je fais de tous petits allers et retours, doucement pour la dilater au maximum. Je retire doucement mon gland et revient au milieu du sphincter, faisant soupirer Roxanne, à chaque poussée je gagne un peu de terrain, elle se cambre encore plus, abaisse ses épaules, moffrant davantage ses fesses, sa chatte est chaude et humide contre mes couilles.
Je reprends ma progression, et commence à faire des allées et venues sous les soupirs de Roxanne
- Ohhh, Ohhh, oui, Ohhh jaime.
Nous changeons de position, je mallonge sur le dos, Roxanne passe sa cuisse sur moi et la voici à cheval sur mon sexe, elle va sempaler elle-même, je la contemple dans son plaisir, elle passe sa main dans son dose et prend mon sexe en main, elle le positionne sur son anus, puis elle sempale entièrement puis commence à monter et descendre sur mon membre, ses seins ballottent aux rythme de ses mouvements, elle sencule sur mon sexe et crie sa jouissance.
Je la retourne sur le dos, je pose ses jambes sur mes épaules, je saisis mon sexe dune main et le guide vers son anus encore ouvert et mintroduit jusquau bout sur toute la longueur. Roxanne gémit :
- Ohhh, quest ce que je prends, mon petit trou est en feu.
Je la sodomise sur toute ma longueur de mon sexe, jentre au fond et ressors presque tout, recommence ainsi une fois et une autre fois, encore et encore, jusquà jouir aux tréfonds du cul de Roxanne.
Les cris de Roxanne qui remplissent la pièce me confirment quelle à jouit avec moi.
Nous avons fait lamour avec Roxanne, bien quétant une pure lesbienne, le fait que je sois transexuelle ne la pas dérangée, nous nos quittons sans espoir de se revoir, mais très heureuses davoir passées ensemble un agréable moment.
Les deux lesbiennes et les maris.
Je venais de finir ma tournée de shopping, sous vêtements, chaussures et robes sexy, dans mes magasins préférés et avant de rentrer, en cette fin daprès midi, je décidais daller boire un coup dans un grand café de centre ville.
Installée à la terrasse et sirotant ma boisson, je fus abordée par deux femmes assises à la table près de la mienne, belles soit dit en passant, à première vue elles ne paraissaient pas être dans le besoin, lune delle me dit :
- Excusez, mon impertinence, mais nous vous avons vues arriver et ne sommes pas insensibles à votre beauté,
- Ah, dis-je, merci du compliment mais que puis-je pour vous.
- Voyez vous, dit lautre, vous avez remarqué certainement que nous sommes lesbiennes, nos maris respectifs, deux frères, ont une bonne situation, mais soit dit en passant, ils nous délaissent un peu, vivant sous le même toit nous nous donnons mutuellement du plaisir et parfois ils nous arrivent dinvité une comparse pour pimentée nos ébats.
Elles étaient claires et directes dans lapproche, nayant certainement pas trop de temps à perdre.
- Comme nous vous trouvons très belle et seule, nous nous sommes dit quil se pourrait que vous avez un moment à nous consacrer, nous habitons juste à côté et si cela vous chante nous emmenons de suite.
- Euh, oui, dis-je essayant de rester calme.
- Prenez un peu de temps, juste quelques minutes de réflexion, regardées nous, et dites nous votre point de vue.
En premier lieu, elles me branchaient bien, une blonde et une brune, la quarantaine toutes les deux, avec de jolis visages et des poitrines superbes, élancées, lennui entre ces deux créatures ne devait pas être courant, comment des hommes pouvaient-ils délaissées deux bombes comme celles-ci, respirant le désir et lamour.
- Eh bien, dis-je, malgré votre côté direct, je pense me laisser embarquée par de belles créatures.
- Super, dirent-elle en même temps, mais ne perdons pas de temps, et elles se levèrent.
Tout en marchant, elles me dirent :
- Moi cest Brigitte, dit la blonde.
- Et moi Monique, dit la brune.
- Moi cest Leslie, répondis-je.
Très rapidement nous arrivons à destination, petite maison cossue et bourgeoise, direction le salon, Brigitte et Monique sembrassent demblée afin de bien montrées quelles ne sont pas là pour enfiler les perles, les habits tombent et les voila complètement nues devant moi, elles se retournent, Monique la Brune à un corps de rêve un peu potelé, une poitrine lourde et possède une jolie toison brune, Brigitte la blonde est fine, une poitrine pas très grosse et est épilée, et elles sapprochent de moi, jen ai une de part et dautre, elle commence à caresser mes seins et mes fesses par-dessus le cuir, cest très bon, elles savent y faire. Brigitte sattaque à mon pantalon, pendant que Monique menlève le spencer et déboutonne mon corsage mettant à nue ma poitrine, je sens mon pantalon souvrir laissant mon sexe se dresser, la réaction est immédiate de la part de Brigitte :
- Monique, regarde, cest une transexuelle que nous avons ramenée, cest encore mieux que ce nous pouvions imaginées, en plus regardes lengin comme il est beau et gros, Leslie va nous conduire au septième ciel avec cet outil la.
- Oh oui, Brigitte, dis Monique, nos hommes pourraient prendre exemple.
- On la suce, chacune notre tour, ok.
Elles sagenouillent et démarre une fellation à deux bouches, je les sens gourmandes et avides de sexe, elles me pompent comme des reines et je suis aux anges, quelle bonne idée jai eue ce soir en allant au café. Brigitte se met dans le fauteuil et pose ses jambes sur les accoudoirs, mouvrant ainsi son intimité.
- Lèches moi Leslie, me dit-elle.
Dans les rapports elle doit plutôt dominée, mais je mexécute en me mettant à genou face à elle, et plonge dans son intimité fournie de polis bruns, elle à un gout délicieusement sucré, je sors la langue et lape sur toute la longueur de sa fente, elle gémit, avec mes deus doigts jécarte les grandes lèvres pour faire apparaitre son clitoris, de bonne taille en passant, je laspire entre mes lèvres, elle glousse, entretemps, Brigitte et passée sous moi et me pompe frénétiquement, sa bouche est chaude et douce, impriment de légers coups de reins je lui baise le bouche, elle soupire, elle aime.
Lambiance est des plus chaude et la pression monte, Brigitte sabsente pendant que je continue à moccuper de la vulve de Monique, elle revient harnachée dun gode ceinture de belle facture et mannonce :
- Leslie, je vais te sodomiser, pendant que tu prendras le cul de Monique, puis nous inverserons les positions.
Elle menduit le cul et son gode de gel puis me passe le pot pour que jen fasse autant à Monique, je positionne mon gland sur lanneau de Monique et je pousse dans son fion mon sexe, je rentre dun seul coup sans e, le chemin est déjà prêt et je ne suis pas le premier à investir son fourreau, Brigitte pousse mes épaules en avant pour me faire cambrée el cul, et menfile sans ménagement en une fois, jimprime le rythme, me sodomisant moi-même sur le gode quand je sort du cul de Monique et sortant du cul je membroche sur le gode de Brigitte, les soupirs et le gloussements sont de la partie, puis elles échangent les positions et nous recommençons, puis jalterne entre la chatte et le cul pour chacune delle, elles sont aux anges.
Maintenant elles décident de se gouiner, et à tour de rôle elles senfilent mutuellement par les deux côtés pendant que moi-même je prends celle équipée du gode par ses deux trous, la pièce sent la sueur et le sexe, cest torride.
Le temps à passé sans que nous y prenions garde, trop affairées à nos occupations sexuelles, et là sur le pas de la porte se tiennent deux hommes en costumes découvrant leurs femmes senfilant et étant en même temps enfilées par la drôle de créature que je suis, ils sexclament :
- Ah les putains de femmes, vous ne perdez pas votre temps, nous allons nous occuper de vous et de votre compagne.
Ils se mettent à poils et tendent leurs bites aux bouches avides de leur compagnes, qui nen demandaient pas tant et sexécutes sur le champ, je continue mes pénétrations dans les trous conjugaux ouverts par mes assauts. Les bites des maris durcissent et se bandent, ils sont près à laction.
- Je vais tenculer salope, éructe le mari de Monique à sa femme.
- Non chéri, pas par là, je ne veux pas, ce nest pas correct.
- Pas correct, salope, alors que tu offres ton cul aux autre, tu me le refuses.
Bien que moins membré que moi, il saisit sa femme par les hanche et lui plante son mandrin de le cul
- Non, non, non dit-elle en se mettant à sangloter.
Il redouble de violence et lui défonce lanus, lautre mari fait de même avec Brigitte, toute ravie de prendre son homme dans le cul en lui demandant de la pilonner au plus profond delle, je suis tombée sur des obsédés du trou du cul, cela me va bien. Entre deux sanglots Monique me dit :
- Leslie, encules se salopard qui me prend le cul, pour lui montrer comment ca fait.
Je me fais pas prier, je me place derrière le mari de Monique et lui enfile mon sexe dans le cul, il gueule.
- Oh, mon dieu elle me défonce, salopes vous vous êtes faites enfiler par cet engin.
Je le pistonne, et Brigitte me demande de faire de même avec le cul de son chéri, ainsi la soirée se passa en orgie, les hommes jouirent dans la bouche de la femme de lautre les obligeant à tout avaler, et je me répands dans le cul de Monique comme pour marquer mon territoire dans son cul.
Avant de se quitter, ils me remercièrent, comme si javais changée et bouleversée leur vie sexuelle, ils firent promettre à leurs femmes de continuer les parties à quatre entre eux et daccepter la sodomie régulière, moyennant quoi leurs bissexualités ne les dérangeaient pas et quelles pouvaient continuer à ramener des copines à la maison, puis ils me demandèrent de revenir bientôt avec une amie de même nature que la mienne, de suite je pensais à Caro qui serait daccord, je répondis par laffirmatif et nous prîmes rendez-vous pour le samedi soir.
A suivre
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