Deux Serveurs Pour Moi ...
Je venais de passer la soirée dans un bar latino où javais mes habitudes. Jy venais si souvent que je connaissais les prénoms des serveurs, à qui il arrivait de moffrir des verres. Quelquefois aussi, comme ce soir, je les attendais à la fin du service et nous discutions avant daller prendre un petit déjeuner.
La soirée sétait passée dans un brouillard de danse et de séduction, si bien que je maffalai sur un canapé pendant que Luis et Mateo faisaient le ménage, torses nus à cause de la chaleur.
Alors que Luis finissait de passer la serpillière, Mateo apporta trois verres de Cuba Libre et sassit à côté de moi. Trop fatiguée, jouvris à peine les yeux et lui fis un sourire. Il passa la main dans mes cheveux, puis me caressa la main. Nous avions toujours eu des rapports tactiles, toujours sur la brèche entre complicité et séduction. Sa main caressa ma paume, mon poignet, mon avant-bras. Je le laissai faire, les yeux mi-clos. Luis arriva et prit place à son tour. Nous levâmes nos verres et bûmes. Un glaçon simmisça dans ma bouche et je le recrachai dans le verre. Luis se mit à rire : « Vous navez jamais joué à la chaîne des glaçons quand vous étiez ado ? »
Aussitôt dit, aussitôt fait, il prit un glaçon entre ses lèvres et me fit signe dapprocher. Je le pris, mattardant un peu plus longtemps que nécessaire sur ses lèvres. Puis je le passai à Mateo. Sans me quitter des yeux, il le prit. La chaîne était finie, mais nous nous étions rapprochés. Mateo prit le glaçon dans la main et me le passa sur lavant bras. Je frissonnai et fermai les yeux.
- Mirala ! dit-il à Luis.
- Eh ! On a dit, pas de messes basses en espagnol, sinon je men vais, grognai-je.
- Il ma juste dit de te regarder, dit Luis, en me posant la main sur le ventre pour mempêcher de me lever ce dont je navais en réalité aucunement lintention.
Mateo continua à me passer le glaçon sur le bras, le remontant jusquà mon cou.
Mais tout sarrêta. Luis se leva, les mains de Mateo mabandonnèrent. Je restai sur le canapé, les jambes écartées, cambrée, tout mon corps tendu vers eux.
- Oh non, continuez !
- Tout à lheure, cest à nous maintenant.
Et ils ouvrirent leurs jeans, faisant apparaître deux belles queues en érection.
- Suce-nous un peu.
- A genoux !
Jobéis. Je me mis à genoux devant eux et, timidement, avançai les mains vers leurs bites. Je les effleurai du bout des doigts. Je pris en bouche celle de Luis, puis celle de Mateo, branlant à chaque fois lautre. Je les suçai lun après lautre, et, par moment, ensemble. Puis Mateo me saisit par les cheveux et mempêcha de quitter sa queue, mimprimant une cadence soutenue. Je jouais de ma langue, je le branlais de ma main, pendant quil faisait aller et venir ma bouche à son gré. Luis vint se mettre à genou derrière moi et mentoura de ses bras. Il était nu maintenant. Je sentais sa que contre mon cul et jen fus terriblement excitée. Il me caressa les seins dune main, et le clito de lautre. Je me cambrai pour mieux le sentir. Il meffleura les lèvres, et glissa un doigt dans ma chatte toute mouillée. Mateo gémissait, son corps se tendait, il jouit dans ma bouche. Au même moment, je sentis Luis me pénétrer. Javalais le jus de Mateo, il me lâcha la nuque, et je retins sa bite entre mes mains, la léchant encore, pendant que Luis me donna de doux coups de reins. Mateo sécarta, et Luis me retenait à genoux, le dos contre son torse, son visage au creux de mon cou. Je lentendais soupirer pendant que je bougeais mon bassin sur sa queue qui me remplissait la chatte. Mateo revint, et me tendit mon verre. Pendant un instant nous éclatâmes tous trois de rire, je pris le verre pendant que Luis arrêta ses mouvements. Il me tenait par la taille et resta immobile pendant que je buvais. Et moi, je contractai aussi fort que possible ma chatte.
- Dépêche-toi de boire, petite salope, tu vas voir, susurra-t-il à mon oreille. Je pris quelques gorgées sous le regard complice de Mateo, puis lui rendis le verre.
Jeus la surprise de voir quil bandait toujours ou à nouveau.
Puis Mateo se recula un peu. Luis se retira. Je me jetai sur Mateo, mempalant sur la queue que javais si longuement sucée. Il mit ses mains sur mes fesses et guida mes mouvements ; nos lèvres se trouvèrent, nos langues se mêlèrent et je me sentis comme emportée par des vagues, tant nos mouvements étaient naturels. Nos souffles suivaient une même cadence, et nous gémissions en même temps. Luis sagenouilla derrière moi et caressa mon dos et mon cul.
- Tu aimes ça, petite cochonne ?
- Oh oui
- Tu aimes avoir deux hommes rien que pour toi ?
- Oui.
- Dis-le.
- Jaime avoir
deux hommes
pour moi. Jaime vos queues.
- Tu voudrais encore sentir la mienne ?
Mateo se retira et Luis planta sa bite dans ma chatte. Puis il laissa à nouveau la place à Mateo. Il plaça sa queue toute mouillée de moi sur mon petit trou.
- Tu voudrais quon te fasse vraiment lamour tous les deux ? demanda Mateo.
- Oui, défoncez-moi, ne pus-je mempêcher de crier.
Luis commença à enfoncer sa grosse queue dans mon cul. Mateo me regarda, les yeux mi-clos, me caressant le clito. Luis venait en moi, millimètre par millimètre, et je haletais de douleur. Mais la situation mexcitait tant que je lencourageai : « va-z-y, défonce-moi, prends-moi, je veux sentir ta queue au fond de moi, déchire-moi !». Ils se mirent à bouger en moi, tous les deux. Je cachai mon visage au creux du cou de Mateo. Je navais jamais ressenti un tel plaisir, leurs bites me remplissaient toute entière, je les sentais à chaque mouvement, à chaque respiration, ils poussaient des gémissements dexcitation, et moi, je hurlais.
- Cest bon pour toi ? soupira Mateo, la voix rauque de plaisir.
- Oui, soufflai-je.
- Tu en veux encore ? demanda Luis.
- Oui, je vous en supplie.
- Dis-nous que tes une bonne petite pute.
- Je suis votre pute, je suis à vous. Je vous appartiens, haletai-je.
- Excite-toi sur nous, fais-toi plaisir, sens-nous.
Jétais bercée entre leurs corps, entre leurs bites, leurs mains étaient partout, nous étions couverts de sueurs, mon corps glissait entre eux, je mouillais sur leurs queues et le ventre de Mateo frottait mon clito. Je criais, je soufflais, je sentais mon corps méchapper, des frissons menvahirent toute entière et je fus prise dans un tourbillon de plaisir.
- Oh oui va-z-y lâche toi, jouis sur nos bites, petite salope.
- Regarde-moi, oh oui, tes belles quand tu jouis, lâche-toi, crie !
- Putain tu mexcites trop je vais jouir.
Les cris de Luis se mêlèrent à mes hurlements de jouissance. Je meffondrai sur Mateo, pendant que Luis déchargeait en moi. Après un moment, il se retira. Mateo mallongea sur le dos et me baisa il navait plus rien de doux- me donnant de gros coups de bite.
- Quest-ce que tes mouillée, tas aimé te faire prendre par tous les trous !
Je ne pouvais plus bouger, je le sentais me baiser, je le sentais venir. Son plaisir déclencha le miens et jouis une deuxième fois, griffant ses épaules, emportée par lexquise douleur. Et lui, incapable de parler désormais, jouit dans ma petite chatte.
Nous finîmes par nous détacher lun de lautre. Nous nous relevâmes. Luis me tendit la main, maida à me mettre debout et membrassa. Mateo menlaça par la taille et posa un baiser sur mes lèvres. Tremblante, chancelante, je me serrai contre eux. Luis se mit à rire :
- Ah non, cocotte, on ne va pas recommencer maintenant, tu nous as vidés
Puis il me glissa à loreille :
- Petite cochonne !
Il me souleva et me porta jusquau canapé, où ils maidèrent à me rhabiller. Puis ils me servirent un dernier verre, et shabillèrent à leur tour.
Mateo me lança un regard rieur :
- Jétais sûr que tu étais une sacrée coquine.
Ce fut les derniers mots quils prononcèrent à ce sujet. Nous sortîmes du bar et allâmes prendre notre petit déjeuner.
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