Un Plaisir Partagé Est Un Plaisir Double (6)

Un plaisir partagé est un plaisir double (6)

Depuis trois jours je n'ai pas encore eu de nouvelles de ma copine, cela m'inquiètes un peu vu qu'après notre sortie au restaurant, André n'a pas voulu rester chez nous pour dormir. Il faut que je sache ce qu'il en est, aussi je me décide à l'appeler.

« - Bonjour comment vas-tu ma chérie ? Je suis chagrinée de ne pas avoir de tes nouvelles. André n'avait pas l'air content que Bob t'exhibe devant ces deux voyeurs. »

« - C'est vrai, il m'a fait la tête pendant une journée, mais je l'ai secouer en lui disant qu'il fallait qu'il évolue dans sa manière de penser et d'agir, qu'il était de l'ancienne école et que je n'étais même pas sure qu'il te donnait du plaisir alors qu'il me disait toujours "ta copine doit être bonne en parlant de toi" je l'ai piqué au vif en lui disant qu'il n'était même pas capable de te faire jouir, mis à part de te peloter, de se faire sucer la queue et de mettre son nœud dans ta choupinette, tu ne sais faire que cela, crois moi elle attend beaucoup plus de toi. Même moi je ne prends plus aucun plaisir avec toi. Au moins avec Bob et Chantal je m'éclate, ils me font jouir eux »

« - Elle ne me suce même pas à fond »

« Tu ne t'es jamais posé la question pourquoi son mari a le sexe aussi lisse qu'une coquille d’œuf. Et crois-moi c'est bien agréable pour une femme d’avoir un sexe lisse dans la bouche. Elle déteste les poils, et elle a des hauts de cœur lorsqu'elle est en contact avec ta pilosité. »

« - Tu exagères, tu n'aurais pas du lui dire des choses pareilles enfin le principal c'est qu'il ne te t'empêche pas de se voir. »

« J'espère que cela va le faire réfléchir et ne t'inquiète pas ma chérie, je suis tellement bien dans tes bras qu'il ne pourra jamais me priver de te voir, qu’est-ce que tu fais en ce moment ? »

« - Rien, je suis de repos aujourd'hui, tu peux venir me voir si tu es libre.

»

« J'arrive. » Et elle a raccroché.

Après un quart d'heure ma tendre amie était dans mes bras, nous nous sommes embrassés comme si cela faisait une éternité que nous n’étions pas vues.

« - Tu es jolie comme un cœur, c'est une nouvelle robe que tu as ? »

« - Oui, elle est un peu transparente et j'ai hésité à l'acheter. »

« - Tu n'as rien à cacher, j'adore tes seins, tes cuisses sont superbes et tes petites fesses sont à croquer. »

« - Tu as vu, j'ai le string rouge que tu m'as offert ? »

« Comment veux-tu que je le voie si tu ne me le montre pas ! »

Elle souleva sa robe pour me dévoiler ses dessous, son string rouge était transparent, ses petites lèvres débordantes étaient collées au tissu et rentré dans sa fente, montrant la forme de son pubis. L'expression "tendu comme un string" avait ici tout son explication.

« - Un rien ne t'habille ».

Elle s'est mise à rire.

« - Tu penses que ce petit morceau de voile transparent en dentelle me suffit pour que je sois fringuer ? Alors je me demande bien pourquoi j'ai acheté cette nouvelle robe. »

« - Ton mari n'est pas là ? »

« - Non il travaille, tout le monde n'a pas la chance d'être en repos comme moi et puis nous sommes bien entre femmes. »

J'ai posé ma main sur son entre jambes par-dessus sa culotte.

« - Arrêtes, tu vas me faire mouiller ma poule. »

« - Alors c'est que tu as envie de moi ? »

« - Bien sur que cela me démange de t'avoir nue dans mes bras. »

« - Je te sers un café et nous allons monter dans la chambre. »

Serrés l'une contre l'autre, j'ai descendu la fermeture éclair de sa robe jusqu'à ses fesses et j'ai posé mes mains sur ses deux hémisphères, elle en a fait de même avec ma jupe qui est tombée à mes pieds. Elle déboutonna un à un les boutons de mon chemisier pour me le retirer.
J'étais face à elle en string et soutien gorge noir et en bas. A mon tour je fis glisser sa robe de ses épaules pour la voir en dessous, elle avait mis un soutien gorge assorti à son string mais toujours un peu petit pour envelopper son opulente poitrine et des dim up. Nous nous sommes allongés sur le lit sans retirer nos chaussures, tellement nous étions pressées de se caresser et de s'embrasser. De ses mains douces, Annie effleurait mon corps, je lui ai dégrafé son soutien gorge pour me blottir contre ses seins. Sa main glissa sur mes bas pour atteindre le haut de mes cuisses, elle écarta mon string et glissa un doigt dans ma fente. Ma fleur s'est ouverte comme une belle de jour sous l'effet du soleil. Son index titilla mon pistil jusqu’à la faire baver, ma sève qui s'échappait de ma corolle. De mon côté, j'avais écarté la ficelle de son string pour plonger ma main dans sa raie des fesses, mon doigt s'arrêta sur sa petite pastille brune. Je sentais ma copine se détendre et son œillet s'ouvrit comme par enchantement. Je n'ai eu aucun mal à lui enfoncer mon doigt dans sa porte de derrière. Nous étions mouillés à souhait toutes les deux, en un clin d’œil nous avons quitté nos chaussures, nos bas et nos dessous et nous sommes installées tête bêche la tête dans le cul l’une de l’autre. Nos cuisses se sont ouvertes, comme deux danseuses faisant le grand écart. Son petit bouton rose planté au beau milieu de sa fleur s'offrait à moi, attendant de se faire taquiner. Du bout de ma langue je lui ai découvert son petit capuchon pour lui exciter le clitoris. Annie, me léchait la moule en aspirant le jus qui s'en dégageait, elle me faisait terriblement de bien, la douceur de cette caresse buccale éveillait mes sens au plus haut point. Je lui appuyais de mes deux mains sa tête sur mon mont de vénus pour qu'elle intensifie son étreinte. Elle fit coulisser un, puis deux, puis trois doigts dans ma boite à mouille en les faisant pivoter. Je décidais de lui faire la même chose en lui enfonçant profondément mon doigt dans son anus.
Notre plaisir était arrivé à son paroxysme, d'ailleurs il ne nous à pas fallut bien longtemps pour que chacune de nous, ne puissions plus résister à cet embrasement de délices. Annie dans un râle de jouissance est partie la première en me coinçant la tête entre ses cuisses. J'ai continuer à me branler le clito et en peu de temps après ce fût mon tour de partir au septième ciel. Nous avons mis un moment pour retrouver nos esprits.

« - Tu es délicieuse ma chérie et je t'aime. » Me dit-elle en me serrant très fort dans ses bras.

« - Moi aussi je t'aime ma chouchoute, je suis bien toute nue contre toi et sentir la chaleur de ton corps. »

« - Regardes dans ma table de nuit. »

Elle ouvrit mon tiroir et elle à pu découvrir mon arsenal de godmichets qui s'y trouvait.

« - Que fais-tu avec tout cela ? » me demanda t-elle.

« - Ce sont mes jouets pour me faire jouir quand mon mari est absent. »

« - Moi j'en ai qu'un et encore il est démodé lorsque je vois tous ce que tu as. »

J'en ai pris un à tête rotative pour lui montrer.

« - Ecartes tes cuisses ma belle, tu vas l'essayer, tu vas voir, il est super. »

Annie s'exécuta en ouvrant son antre d'amour.

« - Tiens prends-le, pour la vitesse de vibration c'est le bouton de gauche et celui de droite, c'est le vibrato et la rotation, commence doucement et vas-y crescendo. »

Elle mis le gode en fonctionnement et se l'appliqua sur son clitoris, pendant que je l'embrassais. Elle passa rapidement à la vitesse supérieure, je sentais son corps frémir et sa respiration s'accélérer.

« - Tu crois que.. je peux... »

« - Bien sur mon amour, tu as bien vu la forme de l'engin »

Elle enfourna pratiquement l'appareil complet dans son vagin, elle commençait à s'agiter, son corps se contractait sous l'effet de la tête chercheuse rotative dans son fourreau. Elle se crispa, se contorsionna dans tous les sens pour enfin convulser en murmurant des :

« - Aaah ouiiiii.
aaaaaaahhhhhh que c'est booooon. »

Elle croisa ses jambes enserrant l'appareil encore en fonctionnement dans sa nénette, incapable de l'arrêter. C'est avec du mal que je lui ai retiré le gode trempé de sa pépette. Elle s'est écrasé en croix sur le lit comme une vieille carpette. Je n'osais plus la toucher sachant très bien que moi je ne supporte plus aucune caresse après avoir jouie. Après un bon moment je l'ai entendu dire :

« - Tu vas ma faire mourir, ma chérie, j'ai le clitoris en compote. Je ne sais pas si je vais supporter de remettre ma culotte ? «

« - Tu n'as pas encore essayé tous mes godemichets, regardes celui là. »

Je lui montre un engin énorme noir plus vrai que nature avec les veines apparentes, et un gland comme celui de nos hommes mais en plus gros le tout surmonté d'une poire.

« - Non, je ne peux plus, peut être une autre fois, voilà déjà deux fois que tu m'envoie au septième ciel, c'est assez pour aujourd'hui. »

« - Tu as tord, tu sais, tu aurais l'impression d'être prise par un black avec une grosse et longue queue, et là ton clitoris ne sera pas mis à contribution. Tu es trempée, il rentrerait comme dans un flanby, fais-moi ce plaisir essayes-le, ça va être un peu froid au début et différent d'une vrai et énorme bite, mais tu auras au moins la sensation »

« - Cela veut dire quoi ? »

« - Je t'expliquerais. »

Elle engagea ce gros calibre noir dans sa foune sans trop de mal. Quand j’ai vu qu’il était bien en place, je me suis mise à le gonfler à l'aide la poire.

« Ha oui !!! C’est bien différent que celles de nos hommes, tu peux encore la grossir ? »

L'engin prenait une place énorme dans son vagin écartelant ses muqueuses comme si elle venait d’être fistée par un black.

« - Alors qu’est-ce que tu en penses ? »

« - C'est superbe, mais une queue comme cela ça n'existe pas ? »

« - Détrompes-toi ma chérie, reste là je vais te chercher l'ordinateur. »

« - Assieds-toi ma belle je vais te montrer quelque chose. »

Annie avait retiré l'énorme gode, nous avons posé le portable sur nos cuisses. Je me suis connecté sur un site payant sur lequel nous sommes.

« - Tu vas voir, ici nous pouvons allez voir toutes les cams en direct ? Il y a de tout, des homos, des couples bi ou hétéros, des lesbiennes et beaucoup d'hommes seuls qui recherchent une aventure en montrant leurs bijoux de famille, des travestis, des hommes habillés avec les dessous de leur femme etc.... Si tu veux nous pouvons mettre notre cam en route et tous ceux qui sont sur le site pourront nous voir et nous pourrons converser avec eux. »

« Mais non, nous risquons d’être reconnues et toi tu t'exhibes en cam avec ton mari. »

« - Oui cela nous arrive, nous faisons même l'amour, d'ailleurs c'est comme cela que nous avons rencontré Doan, un jeune noir superbement membré que Bob invite de temps en temps pour me faire plaisir. »

« - Et vous faites l'amour ensemble ? »

« - C'est surtout pour moi que nous le recevons, il est très gentil, performant avec une longue et grosse queue et comme j'ai toujours eu envie de faire l'amour avec un black, mon chéri me l’offre de temps en temps. »

« - Et lui pendant ce temps que fait ? »

« - Il me regarde prendre mon plaisir, il lui est arrivé aussi de nous filmer ou de nous photographier. »

« - Tu as des photos et des vidéos de vous deux ? »

« - Oui, je te les montrerais une autre fois. »

« - Regardes, il y a un noir qui se masturbe à l'écran, tu vois que cela existe une jolie queue de la longueur de mon gode. Un jour nous essayerons de nous gouiner en direct devant la cam, tu verras c’est excitant, nous le ferons avec un loup sur le visage. »

« - Ce sera mieux avec le visage caché, j’ai peur que quelqu’un puisse me reconnaître. »

« - Si tu veux nous pourrons le faire une prochaine fois. »

« - Je peux aussi inviter Doan, si tu as envie de goûter à une véritable biloute noire, mais dis-le-moi avant pour que je puisse prendre le rendez-vous avec lui. »

La porte de la chambre s'est ouverte, c'était mon chéri qui était revenu du boulot, nous étions trop occupés toutes les deux à discuter et à regarder l'écran que nous ne l'avons pas entendu rentrer. Nous découvrant toutes les deux assisent sur le lit, collées l'une contre l'autre, les nichons à l'air et l'ordinateur sur les cuisses il nous dit :

« - Alors mesdames on s'exhibe, combien avez-vous de voyeurs qui vous matent ? »

« - Ce n'est pas ce que tu crois, c'est nous qui matons, s'il n'y a pas une belle queue qui ferait notre bonheur à toutes les deux. »

« - Tu as Doan ton amant qui est superbement membré, cela ne te suffit pas ? Il est doux, gentil, jeune, aimable, bienveillant, efficace et surtout performant, a moins que tu ne veux pas le prêter à ton amie ? »

J’ai haussé les épaules surtout que je venais juste de lui proposer.

Annie est sortie du lit pour se rhabiller

« - Je dois partir André va bientôt rentrer lui aussi et il va se demander où je suis. J'ai passé une merveilleuse après midi avec toi ma chérie et j'ai appris plein de nouvelles choses, rien que du bonheur. »

Bob avait remarqué qu'Annie n'avait pas remis sa culotte et le tenait dans sa main.

« - Il ne te va pas le string que nous t’avons acheté ? » Lui demanda-t-il.

« - De quoi tu t'occupes, je t'expliquerais. »

Elle a embrassé Bob puis me serrant fort dans ses bras, nos lèvres n'arrivaient plus à se décoller. Elle me dit tout bas :

« - A très bientôt mon amour, j’ai envie de goûter au libertinage, tu as encore plein de choses à m’apprendre. Je t’aime. »








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