Le Journal De Ma Femme 2Ème Partie

« Ce n’est pas le fait que le journal de Manon soit manuscrit, surement par peur qu’il soit trop facilement trouvable sur ordinateur, mais par la découverte de son hypersexualité, son addiction au sexe. Je n’étais pas au bout de mes découvertes. »
1er juin 2004
Je viens de décrocher mon premier job de commerciale en agence immobilière. Ce n’est pas tout à fait ma branche mais ça va me permettre d’avoir un peu d’argent et d’avoir mon indépendance. Je commence le 5 juillet prochain. Un mois plus tard, après ma période d’essais, je pourrais prospecter pour me trouver mon premier appart. Objectif, libérer ma chambre de chez mes parents en septembre. En attendant, j’ai un mois de vacances. Je n’ai pas les moyens de partir et je vais en profiter pour voir mes amis et faire la fête. J’ai des parents trop cool. Ils ont pris 15 jours de vacances au Mexique, me laissant ainsi la maison pour moi toute seule, avec comme unique consigne, qu’elle soit clean à leur retour.
4 juin 2004
Ça fait deux jours que mes parents sont partis. Mes deux meilleurs amis, Christophe et Cédric qui habitent Marseille, viennent trois jours chez leurs parents et passent me voir ce vendredi. On s’est connu au lycée et on s’entend parfaitement depuis sans aucune ambigüité. J’avoue que j’ai pensé plus d’une fois de coucher avec eux mais par peur de briser une telle amitié, je n’ai jamais franchi le pas.
Après 3 heures à nous raconter nos vies devant d’abord un café puis devant une bouteille de vin, nous décidons d’aller dans ma chambre. Comme souvent par le passé, nous nous chamaillons. Qui arrivera à chatouiller les pieds d’un autre, sensation que je déteste. Ce n’est pas du jeu, ils sont plus fort que moi et en plus, ils se liguent contre moi. Je me retrouve sur le lit avec Christophe à califourchon sur moi en me tenant les bras le long du corps et Cédric qui retire mes chaussures. Je me débats et je ne réussis qu’à les faire rire. Christophe déplace mes bras au-dessus de ma tête si bien que je ne peux plus bouger le haut de mon corps.

Cédric, ne me chatouille pas les pieds mais la cuisse là où la peau et la plus fines. J’ai arrêté de me débattre lorsque j’ai senti sa tête passer sous ma jupe. J’ai regardé Christophe avec des yeux interrogateurs. J’aurais pu protester, leur rappeler notre pacte mais j’ai laissé faire. Ma culotte écartée, j’ai apprécié la langue de Cédric s’occuper de mon clitoris et ma vulve. Christophe a alors lâché mes mains et s’est dégrafé. Je me suis retrouvée sans culotte savourant le cunnilingus et un sexe dans ma bouche que je suçais avec plaisir. Nous nous sommes retrouvés nus et ce fut un festival de caresses à quatre mains et deux bouches sur mon corps. Cédric fut le premier à écarter mes jambes et me prendre. Je lui caressais les fesses pour qu’il me baise plus profondément. Christophe a pris le relais et j’ai eu un premier orgasme. Alors que je chevauchais Christophe, Cédric c’est détaché de ma bouche pour passer dans mon dos. J’ai alors connu mon premier anulingus. Puis un doigt s’est introduit dans mon p’tit trou. J’ai gémi de plus belle. Christophe a écarté mes fesses et Cédric a pris le sexe de Christophe pour le présenter à mon anus. Il a poussé lentement et j’ai senti ce sexe s’enfoncer et connaitre ma première sodomie. Putain, malgré la douleur, très supportable, j’ai pris mon pied. Je n’étais pas mécontente que ce se soit passé avec eux. Cédric a voulu aussi me donner du plaisir par cet orifice. Je ne savais pas si j’ai plus apprécié le sexe classique ou par derrière mais j’ai découvert que la douleur faisait aussi partie du plaisir anal. Puis, ce fut l’apothéose lorsque en chevauchant Christophe, Cédric s’est introduit entre mes fesses. Ils alternaient leurs mouvements et je criais de plaisir à faire trembler les murs de la maison. Ils ont tous les deux jouies dans leurs préservatifs et malgré le latex, j’ai senti leur éjaculation.
Décidément mes dépucelages ne ce seront pas passées de façon classique.
Nous avons pris une douche puis je leur ai préparé à manger. Ils ont passé la nuit avec moi et je peux dire que je n’ai pas beaucoup dormi et j’ai renouveler, à ma demande, une double pénétration. Je les ai gentiment réveillés avec un petit déj et une pipe complète chacun. Je suis certaine et sereine sur notre amitié. En plus d’être mes meilleurs amis, ils sont devenus des sexe Friends. Ils sont repartis voir leurs parents et ils n’ont pas eu le temps de passer me voir avant de rentrer chez eux.
12 juin 2004
Dernier week-end avant que mes parents reviennent. Sophie organise une sortie entre filles à trois avec Maud. D’abord un petit resto avec repas au champagne. J’ai l’impression que le champagne a un drôle d’effet sur moi en exacerbant un désir sexuel. Nous voilà en boite et Sophie a dû gagner au loto car elle commande une autre bouteille de champagne. On se déhanche sur la piste et je mate tous les mecs. Un grand métis s’approche de moi et derrière moi, m’att par les hanches. Il se colle à moi et me fait sentir, à travers ma robe légère, son désir. Tout en dansant, collé serré, il m’entraine dans un coin sombre de la boite à l’opposé de mes copines. Avant de m’embrasser, il me dit que mes yeux appellent au sexe. Je réponds à son baiser. Franchement, il aurait même pu être moche, seul ce qu’il a entre les jambes m’intéresse. Déjà, sa main est passée sous ma robe alors que je lui ai dégrafé son jeans. Ma main sur son sexe, la sienne dans ma culotte, je l’embrasse avec un certain plaisir. Lorsqu’il a appuyé sur mes épaules, je me suis exécutée. Comme nous étions derrière un poteau et que personne pouvait nous voir, je l’ai sucé envie. Je lui ai mis le préservatif qu’il m’a tendu et me suis relevée. Il m’a adossé au poteau qui nous cachait, a relevé ma jambe sous son coude, écarté ma culotte et pénétré. Quel pied de se faire sauter par une belle queue efficace. Pour ne pas se faire remarquer, je l’ai même mordu au moment de mon orgasme. Je ne connais même pas son prénom.
Je ne pensais que quelques bulles me mettraient dans cet état.
J’ai raconté ça aux filles qui comme d’habitude, ne m’ont pas jugé mais m’ont empêché de partir avec 3 mecs qui m’avaient dragué et que j’étais prête à suivre.