Hervé Devait S'Absenter Pour Participer À Un Match De Foot...

Un camarade de classe Hervé, m'avait invité à passer le week-end chez lui. Sa mère, vivant seule dans un appartement me reçut avec beaucoup de chaleur. Une belle femme, la quarantaine, digne, la classe... Hervé m'avait prévenu qu'il devait s'absenter pour participer à un match de foot, mais qu'il reviendrait aussitôt, la fin de la dispute sportive. Il me demanda de choisir ou de venir avec lui assiter au spectacle ou de rester avec sa mère en attendant. Ce sport ne me plaisant pas trop, et sa mère si charmante, je décidais de rester à l'appartement.
Après le repas, Hervé nous quitta, un sac sur le dos et je restais avec sa maman, qui m'offrit le café et quelques gateaux qu'elle avait disposés sur une assiette en porcelaine.
Assis côte à côte sur le canapé du salon, nous parlâmes de tout et de rien, et au fil de la discussion je m'aperçus qu'elle se rapprochait de moi tout doucement et finit par être à touche tout avec moi. Je commençais à être troublé, son parfum subtile m'ennivrait et la vue plongeante sur sa poitrine finit par me mettre dans tous mes états. Elle s'aperçut de mon trouble mais avec délicatesse me mit en confiance. Quand elle posa sa main sur le haut de ma cuisse, je me mis à bander comme un malade, au point d'avoir mal à mon sexe... Quand elle vit la déformation de mon pantalon, tout en continuant la conversation, elle effleura la bosse. Pour ne pas respirer trop fort, j'ouvris la bouche et ferma les yeux. A ce moment là, elle saisit délicatement la petite tirette de mon zip et lentement, progressivement, sans précipitation, elle tira dessus pour la faire descendre jusqu'en bas. Malgré moi, mon bassin avait glissé vers le bord du canapé et je laissais faire mon hôte pleine d'expérience.
Elle caressa mon sexe tendu par dessus le tissu de mon slip du bout de ses doigts. allant de la naissance de mon sexe jusqu'au bout. puis avec deux doigts, elle fit sauter le bouton qui retenait mon futal et glissa entièrement sa main dans mon slip attrapant à pleine main mon sexe raide et chaud.

Elle s'exclama, non pas par sa dimenssion mais parce qu'elle le trouvait à beau. Tendrement, elle le décalotta puis le recalotta plusieurs fois, pour enfin le dénuder définitivement. Elle se pencha et ouvrit grand la bouche pour le gober. Sa bouche chaude pleine de salive glissait bien sur mon membre tendu. C'était doux et la succion légèrement aspirante me procurait un plaisir inouï. J'ai cru que j'allais décharger, mais elle bloqua la montée du suc en appuyant avec un doigt sur mon périnée. Tout en continuant à sucer, elle fit glisser mon pantalon jusqu'aux chevilles, et soulevant un jambe puis l'autre m'en dégageais. Elle fit la même chose avec mon slip qu'elle jeta adroitement sur un fauteuil. J'entendais des petits gémissements de plaisir s'échapper de sa bouche pleine et je m'apercevais qu'elle y prenait beaucoup de plaisir. Toujours en suçant, elle se déshabilla avec souplese et dextérité et se retrouva nue complètement. Sa peau était fine et sentait bon. Ses seins étonnament fermes pour son âge se dressaient fièrement. Un ventre plat au dessus d'une toison assez fournie, elle était parfaitement belle. Elle me fit allonger sur la banquette et se mit à cheval sur moi, frottant son sexe complètement trempé contre le mien. Ses reins commencèrent à se balancer et mon sexe naturellement pénétra son vagin. Elle s'agita, se faisant pénétrer à fond puis ressortit pour reprendre, c'était délicieux et magique. Ses seins qui se balaçaient sur mon visage m'excitaient davatage et je me mis à les mordre et les sucer, ce qui procura à ma maîtresse un délire fou. Elle se mit à hurler et d'un seul coup se cambra et je sentis qu'elle venait d'atteindre l'orgasme. Elle resta un petit moment dans cette position, droite, assise sur moi. Je caressais ses seins tout doucement. Elle attrapa mes mains et les bloqua sur sa poitrine, comme un moment sacré qu'il ne fallait pas estoper.
Elle se dégagea lentement après avoir repris conscience de ses sens et tel un serpent, elle se glissa à genoux sur le tapis et repris ma queue couverte de cyprine entre ses lèvres, et recommença à me pomper.
Je n'allais pas tarder à lâcher tout mon jus dans sa bouche. Elle avala tout au fur et à mesure que les saccades arrivaient et ses lèvres pinçaient mon sexe pour n'en perdre aucune goutte.
Elle m'invita à la suivre jusque dans la salle de bains et me lava elle même avant de se laver à son tour. Nous nous rhabillâmes, échangeant quelques sourires de connivence et rejoignâmes le canapé.
Hervé entra peu après le visage plein de sueur : "alors vous vous êtes bien entendus ?"
Toute ma vie j'aurais ce souvenir dans ma tête, car il ne s'est jamais reproduit...

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