Françoise
Je faisais en 1952, mon service militaire au Maroc. Je prenais une permission pour la Tunisie où j'avais ma famille maternelle. Je devait rejoindre ma grand mère en banlieue de Tunis. Mais elle était veuve et elle servait pour toutes sortes de choses dans la famille. Cette fois elle devait "garder" la fille d'une belle soeur à une dizaine de kilomètres de Tunis j'étais donc obligé de rester dans la ferme, mais en arrivant j'ai vu la fille à garder. Elle avait mon age, était très bien faite: belles figure entourée de longs cheveux noirs et une poitrine qui me laissait des envie d'y mordre. J'ai eu l'impression que je ne lui déplaisait pas non plus.Le lendemain j'avais des courses à faire à Tunis et je lui demandais si elle voulait venir avec moi. Avec plaisir, ça me sortira d'ici.
Le lendemain donc nous prenons le premier train pour
Tunis où mes courses étaient vite faites. Nous décidons alors de nous attarder et de ne prendre que le dernier train de soir. Nous avons acheté de quoi faire un peu de quoi faire la cuisine et sommes allés chez ma grand mère. Il était tôt Françoise se mettait à préparer un petit "frichti" et ayant le temps je lui dit que j'allais prendre un bain puisque depuis mon incorporation je n'en avais pas pris un seul.. Dans la salle de bain je faisais couler de l'eau et me déshabillait en rentrait dans l'eau. Je commençais à me laver lorsque le porte s'ouvre et que Françoise rentre, vient vers moi en me demandant si je veux qu'elle me frotte le dos. Sans réfléchir je lui répondait bien sur. elle vient me laver le dos et me disait tu n'est pas le premier garçon que je vois nu. Je me rendais compte alors qu'une jolie fille me regardait sans pudeur: je me mis à bander et elle voyait ma bite se dresser. Elle enlevait ses vêtements pour venir dans la baignoire avec moi. Je pouvais enfin voir sa poitrine au seins en forme de poire qui semblaient me narguer, son triangle au bas ventre qui me donnait une furieuse envie d'aller y mettre mon pieu.
A ce moment là nous n'avions pas même échanger un baiser. Nous nous sommes levés pour aller manger: ,Nous étions tout deux nu. Et c'est dans cette tenue que nous avons grignoté: moi assis normalement, elle sur mes genoux. A chaque bouchées nous échangions un long baiser. elle me caressait la bite, je lui mordillais les seins. Elle tenait à faire le peu de ménage qu'il y avait à faire. Nous sommes allés dans une chambre, et là je la prenais dans mes bras pour l'enlacer complètement, je lui caressais les seins, les embrassais, lui mordillais les tétons durcis; pour aboutir à mettre ma tête sur son bas ventre. Elle ouvrait les jambes et je pouvais enfin lui sentir le sexe entouré des lèvres que je léchais lentement je trouvais le clitoris que je suçais avec dévotion. Elle ne bougeait pratiquement pas: elle me disait plus vite, moins vite, mets ta langue dans mon con
Bientôt je sentais les spasmes de sa jouissance dans son sexe. Je la laissait un moment pour la calliner, lui embrasser encore les seins.C'est elle qui ma demandait de la baiser, d'un ton catégorique. Je me mettait sur elle, mais elle voulait se mettre sur moi pour se faire renter ma bite dans son con comme elle le voulait. Elle faisait tous les :mouvements de plus en plus vite jusqu'à ce quelle jouisse. Son plaisir passait avant le mie. Pour se faire pardonner elle me proposait de me sucer. Elle le faisait tellement bien que moi aussi je jouissais en elle. Après avoir avaler mon sperme, c'était le premier qu'elle goutait me disait-elle.
Nous avons flemmarder au lit, toujours collé l'un contre l'autre. puis ma pine sest levée et je lui demandais comment elle voulait que je la baise; elle répondait encule moi. Elle se mettait en levrette , se mouillait le petit trou avec sa salive et me disait: vas-y enfonce moi ton engin dans mon cul.
Nous avons refait l'amour dès que l'occasion se présenter, même l'après midi, lorsque ma grand mère faisait la sieste et bien sur les nuits.
Pour la dernière nuit à la fin de nols étreinte elle répondais à ma question: depujs quand et combien. Elle baisait depuis l'age de 14 ans avait joui un peu pmlus tard et avait perdu le nombre d'amants.
Nous nous sommes revus deux ans plus tard et avons à nouveau baiser pendant plusieurs heures
je la baise. Elle repondait: en,cule moià l'autre. Puis ma pine s'est levée. J'avais encore besoin d'un calmant qui était juste à mes cotés. Je
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