J'Étais Jeune Et Beau
JETAIS JEUNE ET BEAU
Lhistoire que je vais vous racontez nest pas la mienne, mais cest le récit dun homme qui ma fait des confidences, un événement dans sa jeunesse qui la énormément marqué. Etant dorigine étrangère, maitrisant pas trop la langue de Molière, il ma gentiment demandé si je pouvais vous raconter sa propre histoire. Javoue que cette marque de confiance ma touché, je dirais même que jai le trac dessayer de traduire les sentiments quil pouvait ressentir au moment de cet épisode marquant de sa vie. Par contre je me suis accordé le droit de changer les prénoms et lendroit où cela sétait déroulé par souci de discrétion bien sûr.
Je mappelle Yan, en cette année 1969, je suis plutôt beau garçon, enfin je le crois vu le petit succès que jai auprès des filles, jai les cheveux bruns, semi longs, yeux verts et un sourire ravageur sois disant, je pratique le judo avec passion, jai un corps de sportif. Robert mon meilleur pote est avec moi, lui est plus râblé, pas très grand, un physique de déménageur, cheveux en brosse, mais un visage poupin qui le rend malgré tout plutôt sympathique, par contre une réputation de castagneur, faut pas le titiller le Robert, il a corrigé quelque enquiquineurs qui lui prenaient un peu trop la tête. Sergio nous accompagne, lui sest un grand échalas, fin comme un haricot vert, cest un nouvel élève arrivé cette année dans notre classe de terminal, pour moi cest un artiste, déjà il joue de la guitare merveilleusement bien, il a des longs cheveux blonds , yeux bleus, il a un petit côté féminin, dailleurs on peut pas dire que Robert lapprécie beaucoup, mais il y trouve son intérêt quand Sergio joue de la guitare et chante, car il a aussi une jolie voix, pas mal de filles tournent autour de nous, mon copain y trouve son compte. Aujourdhui on saccorde une journée sans révision, on profite, on se balade dans la nature, il fait un temps magnifique, je ne sais pas pourquoi mon intuition me dit que le robert est prêt à faire une connerie, Sergio marche devant nous, mon complice me glisse a loreille
- Si on lui faisait une mise à laire
Je le dévisage en souriant, jacquiesce, toujours partant pour faire des bêtises, nous sommes dans un chemin forestier, lendroit est tranquille, isolé, ni une ni deux on lui saute dessus, mais sa réaction est instantanée, il ne se laisse pas faire du tout, on cherche à le faire tomber à terre, ça crie, ça insulte, on rit aussi, la bataille est gigantesque, on nen revient pas, comment un gars qui parait fragile, soit aussi costaud, malgré tout on arrive à le plaquer au sol sur le dos, robert lui maintient les bras, de tout son poids, moi je suis à califourchon sur ses jambes, il ne peut plus bouger, jen profite je commence à lui baisser son jeans, il crie de colère, gesticule de plus en plus, mais rien ni fait, son vêtement est baissé a mi-cuisse, autour du slip, je regarde Sergio il semble très contrarié, javoue quà ce moment-là, je suis pas très fière, mais Robert mencourage à continuer, je lui baisse son slip, sa verge apparait, il se débat plus, je ne sais pas pourquoi je suis troublé à ce moment-là, il a le pubis très clair et peu poilu, son zizi est recroquevillé, cest incompréhensible jai une envie folle de le toucher, nos regards se croisent, jai limpression quil devine mes pensées, heureusement Robert a obtenu ce quil voulait, il le libère, je lâche prise de mon côté aussi.
Sergio se reculotte rapidement, je le sens franchement vexé, mais sur le chemin du retour, on arrive à le dérider, lamitié reprend le dessus, au moment de nous quitter il me demande même de passer le prendre demain matin pour monter ensemble au bahut.
Me voilà devant chez lui, il sort vite fait on nest pas en avance, il met peu de temps à me reparler de la veille, je suis pas à laise, il mavoue que lorsque je lui avais baissé ses vêtements, il ne lavait pas montré du tout sur le moment, mais il sétait senti délicieusement vulnérable, cette déclaration me laisse sans voix, puis il me parle de la façon troublante que jai eu de le regarder, je ne sais plus ou me mettre, jai limpression dêtre pris en faute, à croire quil a deviné mes pensées les plus intimes, là il me pose la question que jaurais pas voulu quil me pose
- Est-ce que tu as eu envie de me toucher quand tu mas déculotté ?
Jai limpression que le ciel me tombe sur la tête, je suis comme tétanisé, me voyant embarrassé, mal à laise, incapable de répondre quoique ce soit, il me fait une véritable déclaration, il mavoue ses sentiments ambigus, la difficulté daccepter son attirance envers moi, trop choqué je ne veux pas lentendre, heureusement comme on arrivait au lycée, dautre copains venaient vers nous, on a dû couper court à notre conversation, il a eu juste le temps de me proposer de le retrouver après les cours et daller chez lui pour parler de ça, trop choqué je nai pas répondu.
Tout le long de la journée je lai évité, lui dailleurs na rien fait non plu pour venir me voir, en cour je suis à côté de Robert, Sergio est 3 rangs derrière, je suis ailleurs, jai du mal à suivre les profs, mais jai beau tourner le problème dans ma tête, jarrive pas à prendre une décision, dans une heure cest la fin des cours, après avoir murement réfléchi, je décide daccepter son invitation, pourquoi je fais ça, la curiosité sans doute, le désir de découvrir autre chose, ma décision est prise jirais au bout de cette nouvelle expérience.
Dans la cohue de la sortie des cours, je ne trouve pas Sergio, Robert lui ne me quitte pas dune semelle, pour une fois je le trouve pot de colle, tout à coup je laperçois, discrètement par signes je lui fais comprendre que jirai le rejoindre chez lui, son visage sillumine, il me sourit.
Merci à Thérèse, grâce à elle jai pu me débarrasser de mon meilleur pote, il a le béguin pour cette fille, alors quand elle lui a demandé de la raccompagner, il ma laissé tomber comme une vieille chaussette, je ne lui en veux pas du tout, bien au contraire.
Me voilà chez lui, plutôt angoissé, je sonne, Sergio mouvre immédiatement à croire quil montait la garde derrière la porte, un large sourire sur les lèvres, je suis surpris, il menlace, me sert fort, me remercie vivement dêtre venu, me raconte le grand soulagement que cela lui avait procuré quand je lui avais fait signe, il me regarde
- Jai peur pas toi ?
- Moi aussi
Il me prend par la main, on monte dans sa chambre.
Il est face à moi, debout, il me dévisage, je reste devant inerte, incapable de prendre la moindre initiative, il déboutonne sa chemisette, tout doucement, son torse juvénile apparait, sa chemisette tombe au sol, il a la peau très blanche, il me fixe toujours, il semble heureux, il dégrafe son pantalon, tout en délicatesse il le baisse, le retire complètement, le voilà en sous-vêtement, il est craquant dans son slip blanc, je suis sous le charme, jai honte mais ce garçon mattire, il minvite à faire pareil, jai comme une angoisse, mais je mexécute, son regard me trouble, je vois que son slip est gonflé, un garçon bande pour moi, cest étrange. Il sapproche, prend mes 2 mains les posent sur ses frêles pectoraux, sa peau est dune douceur incroyable, je le caresse, il ferme les yeux, il se colle à moi, sa bouche se pose sur la mienne, nos langues se mélangent, je sais plus qui je suis, je sais plus ce que je fais, jaime ce baiser, sa bouche descend dans mon cou, sur mon corps, sur mon ventre, jai des frissons de plaisirs, il passe sa joux sur le tissus de mon slip tendu, il doit deviner la forme de mon sexe, il en veut plus, impatient il me le retire, je suis tout nu, il prend ma tige tendu, me masturbe avec tendresse, avec délicatesse, masse mes petites bourses, les soupèsent, je gémi, cest la 1ere fois quon me touche, difficile dexpliquer le plaisir que je ressens, mon jeune sexe est tendu comme jamais, complètement décalotté, le gland rougissant, il dépose des baisers dessus, il le prend en bouche, sen est trop pour moi, la pression est trop forte, je le préviens que je vais jouir, il sécarte, serre fortement ma tige entre ses doigts, je gémi au moment où ma liqueur jaillit, elle se répand sur son menton, son cou, il me surprend, avec sa main il essuie le sperme quil a reçu et lèche ses doigts, je suis stupéfait.
- Attend je reviens
Je le vois partir en slip vers la cuisine, jentends leau coulé, curieux, je mapproche, il a hotté son sous-vêtement, il est tout nu de dos, ses fesses toutes blanches sont magnifiques, on dirait de la porcelaine, il se lave au gant de toilette, la vision de ce garçon tout nu, mélectrise, mon sexe se tend de nouveau, je mapproche, lenlace, ma verge tendu frotte le long de sa raie, il grogne de plaisir, il se retourne me fait face, on sembrasse fougueusement, nos verges se touchent, ma bouche descend le long de son corps, je titille son nombril, mes mains semparent de sa bite, jadore la finesse et la douceur de sa tige, je le masturbe, je décalotte au maximum son gland, il souffle, jai une envie folle de gouter son sexe, ma bouche sen empare, cest fou il tremble, il gémit de plus en plus, il me crie
- Attention attention !!
Jai juste le temps de mécarter son sperme abondant atterrit sur le carrelage, on est comme anéanti, sans force, on vient de vivre un moment intense, il me regarde interrogatif
- On le refera ?
On la refait
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