Les Fantasmes D'Isabelle N° 13

LES FANTASMES D ISABELLE N° 13

LE WEEK END AU CHATEAU DE LORD SIMPSON

De retour au château, je déposais le vélo à sa place réservée et les larmes encore aux yeux je remontais vers ma chambre. Ce soir c’était la réception des amis de Richard et je me dis qu’il valait mieux que je me refasse une santé et un bon moral.
Je me dis qu’il n’ y avait pas de logique dans ce séjour au château et que depuis hier, j’avais été le centre d’un certain nombre d’évènements dont certains que je n’avais pas maîtrisés.
L’aventure avait commencé avec le palefrenier, puis il y a eu cette parenthèse avec Allen dans ma chambre, la soirée avec cette inconnue qui m’avait divinement fait l’amour et ce viol avec Allen et son copain Mathieu…même si certains souvenirs excitaient mon esprit et ma libido, certains autres ne m’avaient rien apportés en plaisirs.
Perdue dans mes pensées, je croisais dans l’escalier Jeanne, quelque peu surprise de me voir presque ébouriffée.
-madame Isabelle, vous allez bien ?
-Oui Jeanne, très bien…à quelle heure est le repas ?
-Vers 13 heures.
-Monsieur Jessey est rentré ?
-pas encore, ils devaient passer chez des amis de Monsieur Richard déguster une de leurs spécialités. Ce sont des producteurs de vin.
-bien bien je vais me reposer un peu cette tournée en vélo m’ a quelque peu fatiguée
-J’ai refait votre lit et je me suis permise de ranger votre valise !
-Vous avez bien fait Jeanne à tout à l heure
-A tout à l’heure Jeanne.
En montant les escaliers je m’aperçus que j’avais un sérieux mal aux fesses, la sodomie infligée laissait ses traces
J’appréciais l’odeur de vanille qui agrémentait ma chambre. Je la trouvais belle et superbement décorée.
Je m’assis sur le coin du lit et me déchaussais. Il y avait une éternité que je n’avais pas vu Jessey. Que penserait il de tous ces évènements ? Devais je le mettre au courant ? J’étais hésitante, si oui je le ferais après notre retour chez nous.

Laissons le temps au temps me dis-je.
Je décidais de me faire couler un bon bain et profiter de l’équipement balnéo au maximum.
Le bain me fit le plus grand bien et éloigna les affres de cette matinée. Il était presque midi.
J’allumais la télévision et je me relaxais sur mon lit. Je constatais que Jeanne avait fait disparaître la grosse tâche disgracieuse de cette nuit. Se doutait elle de toutes ces histoires ?
Je m’endormis et c’est le téléphone qui me réveilla c’était Jessey qui m’appelait
-Chérie que fais tu ? il y a une éternité que je ne t’ai pas vue !
-Je dormais, tu es rentré de ton escapade ?
-Oui nous avons fait une heure de balade à cheval, génial !
-Tu aurais pu m’emmener ! lui dis-je assez sèchement pensant que cela m’aurait évité l’évènement de la berge.
-Je voulais te laisser te reposer. Tu as passé une bonne nuit ?
-Excellente !
-Tu me raconteras ?
-Si tu es sage ! Et toi ?
-Nous avons papoté avec Richard jusqu’à une heure du matin, nous avons fait un billard et je suis monté me coucher ?
-Seul ?
-Seul bien sûr ! et toi ?
-Imbécile…
-jeanne m’a dit que tu avais été faire du vélo…c’est bien.
-Si on veut, j’aurais préféré faire une balade à cheval
-la prochaine fois ma chérie. Tu descends on t’attend pour déjeuner.
-Je m’habille et je descends.
-Richard propose que l’on fasse un tennis cette après midi. Cela te dit ?
-Si je suis en forme. On verra. J’ai mal aux fesses et aux jambes.
-Le vélo est un excellent sport.
-Il n’ y a pas que le vélo !
-Bon on t’attends grouilles toi !
-Ok chéri…je ne me maquille pas, je n’en ai pas envie.
-réserve toi pour ce soir.
-Hum, j’arrive, commandes moi un Martini Gin.
-C’est comme si c’était fait.
En arrivant sur la terrasse ensoleillée, je découvrais Richard en short et polo et Jessey en tenue blanche comme lorsqu’il était à Maurice.
-Ton verre t’attend mon cœur, me dit il en se levant et m’embrassant tendrement.

-il y a longtemps que je n’ai pas eu le goût de tes lèvres mon cœur !
-Cela ne tient qu’à toi ma chérie. Assieds toi à côté de moi, tu es ravissante dans cette jupe !
-Tu la connais pourtant, c’est toi qui me l’a achetée à Namur.
-Parfaitement. Nous avons prévu un repas léger pour midi, cela te convient ?
-Génial !
-Nos amis commenceront à arriver dès 15 heures…précisa Richard en se levant et se dirigeant vers la table dressée sous un immense parasol vert. Je vous invite à me rejoindre.
-J’ai faim précisais je ! Le vélo ça creuse !
Durant le repas Richard parla de tout et de rien, de ces projets futurs et de son prochain voyage au Viet Nam du Nord. Je l’écoutais avec attention raconter ses aventures. Jessey semblait en pleine forme. De temps en temps il posait sa main sur ma cuisse, comme pour me faire sentir qu’il était là, même si les évènements nous éloignaient. J’avais envie de ses bras, me réfugier sur son épaule. Il me surprit à le regarder.
-J’aime quand tu me regardes comme cela mon cœur !
-Tu sais que je t’aime mon Jessey d’amour et que tu me manques.
-Isa tu aimes ta liberté, mais c’est un bonheur lorsque tu reviens.
-Au fait, comment as-tu trouvé cet élixir hier soir Isa, me demanda Richard
-Très agréable. Mais je reste sans réponse à tes questions, puisque tu sais très bien dans quel état j’étais !
-Cet élixir a des vertus extraordinaires !
-Ton amie Tatiana a-t-elle déjà goûté cette potion magique ?
-Oui elle en raffole ! D’ailleurs tout à l’heure elle pourra t’en parler !
-C’est un aphrodisiaque euphorisant !
-Ah bon ! ironisa Richard. Peut on savoir quels ont été les effets sur toi ?
-Torrides !
-As-tu apprécié ses vertus ?
-Quand…dans ma chambre ?
-Oui. Si tu veux bien nous en parler.
Je regardais jessey, me demandant si je devais ou pas en parler…savait il ce qui m’est arrivé avec cet inconnu ? Pouvais je en parler sans choquer ?
-Parles, racontes !demanda Jessey en me caressant la cuisse par-dessus ma jupe.
Dis nous tout !
- J’ai dormi et j’ai fait un rêve érotique !
-Non ! racontes nous
-Je ne m’en souviens plus très bien, mais ce que je sais c’est que cela m’a donné un plaisir immense, une sensation d’être au Nirvana.. ;avec des petits anges blancs et un sexe magique.
-C’était un rêve mon cœur :
-peut être une réalité qui sait !
-En goûteras tu ce soir ?
-Je ne sais pas, on verra. Mais vous vous en avez bu comme moi et vous n’avez pas été au Nirvana ?
-Il y a une bouteille pour les dames et une bouteille pour les hommes. En fait il n’ y a que toi qui en a bu hier soir.
-Quel hommage !Vous vous étiez concertés ?
-Jessey était curieux d’en connaître les vertus. N’est-ce pas cher ami ?
-En effet ! Je savais que tu apprécierais celles-ci mon cœur !
-Comment avez-vous trouve ce petit repas les tourtereaux ?
-Agréable, léger, je suppose que ce soir nous allons donner un coup de canif à ce régime ?
-Mon chef vous a réservé une surprise régionale.
-Nous allons prendre notre café dans les transats près de la piscine si vous le voulez bien ! proposa Richard en se levant de table. Viens Isa te reposer.
Nous nous dirigeâmes vers la piscine, suivi par le maître d’hôtel en charge du plateau de cafés.
Je décidais de m’assoupir confortablement installé sur ce transat super confortable, laissant mon corps se chauffer aux rayons du soleil.
-Cet endroit est magique dis je à Richard. Ces grands arbres sont majestueux.
-C’est mon havre de paix ici ! diit il en allumant son éternel cigare. Tu en veux un Jessey ?
-Non si tu le permets, je vais faire un somme, je vois qu’Isa est déjà partie.
Je me suis endormie, bercée par le bruit de la cascade qui se jetait dans la piscine à débordement. J’étais bien, la main de Jessey posée sur mon bras. Je fus réveillée par des voix venant du château. Je jetais un coup d œil à ma montre il était plus de 16 heures. J’avais dormi plus de deux heures chauffée par ce soleil agréable.
Jessey et Richard étaient de l’autre côté de la piscine en pleine discussion d’accueil avec une femme et trois hommes. Jessey voyant que je m’étais réveillée m’interpella.
-Tu es réveillée chérie, viens que nous te présentions.
Un peu vaseuse d’être restée ainsi endormie au soleil, je rejoignis le groupe. Richard m’accueillit en me présentant aux trois hommes qui dépassaient tous la cinquantaine, avec un fort accent londonien puis à la femme, Tatiana son amie. Elle était d’une beauté à vous couper le souffle. Je me dressais vers l’oreille de Richard pour lui dire :
-Je reconnais bien ton goût pour les belles plantes, elle est vraiment superbe.
-Mais j’envie aussi Jessey ma chérie ! tu n’es pas des moindre !
-chacun ses goûts mon cher !
-tu vois ce grand blond qui entre dans le salon…
-oui
-c est l attaché de presse d’un ministre de sa royale majesté
-je n aime pas les blonds !
-une des plus grandes figures en vue de Londres
-bof
- son prénom c’est Hamsey
-va pour Hamsey je ne veux pas être désagréable
-veux tu boire quelque chose ?
-non merci ! mais j’aimerais pendant que nous sommes tous les deux te poser une question !
-que puis-je pour toi ?
-hier soir, tu es certainement au courant…qui était cet homme que tu m as envoyé dans ma chambre ?
J’ai senti que Richard était pris au dépourvu à sa façon de toussoter
-ma chérie qu’importe qui était cet homme.
-il fait partie du château ?
-non et tu n as pas à le connaître, tu as certainement du passer de bons moments ponctués de plaisirs…Non ?
-cela vieux cochon je ne te le dirai pas. Mais avec ton élixir tu m as bien eu !
La petite communauté discutait entre elle, les groupes se faisaient et se séparaient. Je restais à l’écart appuyée contre les balustres de la terrasse.
A ce moment je vis Allen venir par la contre allée et me faire signe.
-Qu’ y a-t-il ? lui demandais
-On m’a chargé de vous dire que l’on aimerait vous voir à l’écurie !
-Tu vois bien que je suis occupée !
-Venez, c’est important
Intriguée je posais mon verre sur la table en teck et suivis Allen. Je pris en passant congé d’un Hamsey qui essayait d’engager la conversation avec beaucoup de maladresse…
-Vous revenez vite ?
-Bientôt buvez un verre à ma santé ! dis-je en reprenant le sentier derrière Allen
-Par ici…
-Que mijotes tu encore petit cochon ?
-Rien, venez suivez moi !
Je me sentais bizarre …le cœur battant j’arrivais devant la porte de l’écurie.
-Il n’ y a personne Allen, c’est une farce
-Non venez me dit il en me tirant par la main, il me conduisit à l’entrée d’un box
-Bonjour, Mademoiselle ! surprise je me retournais et je vis le palefrenier appuyé sur une rambarde en bois.
-Bonjour répondis je presque intimidée
-Vous êtes belle ! pour ces bourges ?
-Entre autre !
Il s’avança vers moi en écrasant sa cigarette sur le sol
-Viens j’ai envie de toi !
Je ne répondis pas me laissant entrainer dans le box.
- je te présente Prince, un alezan de 10 ans, il aime les femmes !
-Ah…je te vois venir
- regardes il bande rien qu’à te voir !
J’étais fascinée par le sexe du cheval qui pendait, en semi érection.
-Il est beau, dis je en caressant son flanc
- Tu as envie de t’amuser ? me demanda t’il en passant ses mains sous ma jupe
-Cela dépend !
-Pourquoi mets tu un string ?
-Question d’hygiène !
-restes nue me dit il en abaissant en bas de mes jambes mon string.
Je sentais un désir particulier m’envahir, cette odeur de paille, de sueur de cheval, cette lumière vascillante, les mains du palefrenier posée sur mes hanches. Instinctivement je me cabrais.
-caresses le !
-Tu crois ?
-Il aime cela, vas y on est entre nous.
Je regardais par-dessus le box, Allen à priori était repartie.
-Viens, me dit il en me prenant la main et en la posant sur le membre du cheval…je me mis à frémir.
-Je n’ose pas !
-Tu n’as pas fait autant chichi hier, baisses toi et regarde
Je posais ma main fine sur le membre rose du cheval, qui se mit à hennir, que
-Prends le en main !
Ma main n’était pas assez grande pour en faire le tour, je sentis son sexe durcir et se raidir. J’avais son gland, brun sous les yeux et l’excitation me gagnait. Je sentais mon sexe se mouiller et se préparer. Me retournant vers le palefrenier, je m’aperçus qu’il avait baissé son pantalon et me présentait son sexe.
-Suces moi ! dit il en tenant avec sa main son membre qu’il caressait. Je n’eus pas le temps de réfléchir qu’il heurta ma bouche de son gland gonflé.
-Prends moi, j’en ai envie dit il en se cambrant afin de se rapprocher encore plus. Ma main était cramponnée au membre du cheval, j’osais le caresser sur toute la longueur. Fermant les yeux j’ouvris la bouche. Il sentait l’urine, mais j’étais tellement excitée qu’il coulissa sur ma langue jusqu’au fond de ma gorge. Je faillis avoir un haut le corps. Son sexe était dur et noueux, épais, il posa sa main derrière ma tête et donna le rythme à la fellation qu’il me demandait de lui faire. Ma main remonta jusqu’au gland du cheval que je pris dans le creux de ma main, elle fut inondée de liquide. Excité lui aussi le cheval, giclait un mélange d’urine et de liqueur séminal. Ma deuxième main enserra le sexe du palefrenier, le faisant encore plus durcir dans ma bouche. Il besognait mon palais en poussant des han han han han.
-Tu suces bien ! c’est cela décalottes moi, c’est bon continues !
Je le sentais buter le fond de ma gorge à chaque poussée, je prenais gout à cette situation, ma culotte trainait sur la paille, mon sexe s’inondait de désir, une odeur de sperme, résultat des derniers ébats remontait de mon entre jambe. Pourtant je m’étais bien lavée pensais je, en accélérant le rythme de ma bouche sur le sexe du palefrenier…
-Attends me dit il en se retirant.. ;suces le !
- Non !
-Si suces le !
Je retournais vers la tête, ma main caressait inconsciemment le membre du cheval
-Non !
Le palefrenier me prit la tête dans ses mains et me poussa vers le sexe du cheval. >je faillis tomber en avant tant la poussée était forte.
-Non laisses moi, t’es cinglé ! je veux partir
-Allez suces le, je rêve de voir une nana comme toi se faire Prince !
-Nonnnnnnnn dis je en me débattant. Ma joue était contre le membre de Prince. Inconsciemment j’en avais envie, ce cheval était beau. Le palefrenier me retourna et me remit son sexe dans la bouche, au bout de quelques vas et viens je sentis qu’il se contractait, il appuya plus fortement sa tête sur son sexe le faisant entrer presque entièrement dans ma gorge, au moment ou son gland arriva au bord de mes lèvres je sentis une onde parcourir les cuisses de l’homme, puis une giclée presque salée coula sur ma langue suivie d’un déferlement de sperme qui m’envahit la totalité de ma bouche. Je sortis le sexe de ma bouche afin de reprendre mon souffle la bouche pleine de sperme mi acide, mi salée
-avales moi…avales
Hésitante je ne savais plus si je devais recracher ou déglutir alors qu’une nouvelle giclée gluante s’étala sur mon menton.
-Allez avales !
Je me dis que je n’avais plus le choix, je pris mon courage et j’avalais d’un trait la semence gluante, laissant dans mon palais une odeur et une sensation étrange, puis je repris en bouche son sexe qui perdait de sa vigueur et je suçais les dernières gouttes qui perlaient de son méat à présent d’un rouge vif.
-lèves toi et tournes toi
Il m’appuya sur la cloison en remontant ma jupe.Il glissa sa main entre mes cuisses vérifia l’humidité de ma vulve d’un doigt puis le présenta à l’entrée de mon puits d’amour et d’un coup sec il l’enfonça, ce qui me fit pousser un cri de surprise et de douleur.
-Tu vas te régaler, dit il au même moment j’entendis la porte du box se refermer dans un claquement métallique
Je voulus tourner la tête mais le palefrenier me la maintint fermement dirigée vers la cloison m’empêchant de voir qui venait de rentrer
-Vas y Dédé elle est chaude prends la ! dit il à l’inconnu en m’écartant les jambes et en me faisant cambrer le dos.
- tu es un salaud ! qu’as-tu manigancé ?
-Mon pot Dede ne s’est jamais payé une pouliche comme toi
-Putain ce qu’elle est belle dit la voix ! Je n’ai jamais vu un cul aussi beau
-Allez Dédé vide toi les couilles en elle…elle est serrée tu vas voir.
L’homme pris mes fesses dans chacune de ses mains, elles étaient calleuses ; il m’écarta au maximum et je sentis son souf,fle chaud contre ma vulve qui devait être béante sous ses doigts.
L’homme appliqua sa bouche contre mon sexe en enfonçant sa langue entre mes lèvres gonflées.
-Diable quelle est bonne !
-Bois la…tu n’en auras jamais plus l’occasion
Je sentais le bout du nez de l’inconnu contre mon anus alors que sa languie explorait chaque recoin de mon intimité. C’était bon, peu importe qui me faisait cela, j’en prenais un réel plaisir, excitée par² cette situation, puis la langue caressa mon petit trou en cherchant à le pénétrer
-Tu la bouffes hein ? Dédé
-Son cul est génial commenta t’il et je sentis son index pénétrer mon anus et s’enfoncer profondément…
-Baises la maintenant…
Je ne savais plus sur quel nuage j’étais, j’entendais les voix des deux hommes comme au loin, dans une sorte d’écho, le gout du sperme dans ma bouche me donnait presque la nausée, il était fort, je cherchais ma respiration quand je sentis le sexe de l’inconnu contre ma vulve et sans perdre de temps, il entra en moi d’une seule poussée…
-putain elle a la chatte serrée elle est bonne !
L’inconnu à présent me chevauchait à coups violents, faisant claquer ses bourses contre mes fesses…je sentais le plaisir monter en moi, mes jambes s’échapper sous moi, le palefrenier m’écartait les fesses pendant que l’homme entrait et sortait en moi, il respirait fort.
-Bon dieu je vais jouir…je vais prendre mon pied dit il en accélérant de plus en plus vite ses doigts plantée dans mes fesses… je savais que je n’allais pas jouir et j’avais à présent envie qu’il en finisse le plus vite possible.
-Bon dieu ça monte…ça monte ahhh ahhh ahhh
Il ralentit son rythme et je sentis dans mon ventre ses giclées glisser entre mes chairs, c’était presque chaud…abondant…L’homme secoué de spasme violents se vidait en moi.
-Putain je n’ai jamais pris un tel pied.. ;elle est bonne cette gonzesse !
Je sentis qu’il se retirait de moi, son sexe à présent se ramollissant. Il frotta son gland entre mes fesses tout en relâchant l’emprise de ses doigts qu’il avait plantés dans mes fesses menues.
-Tu ne la prends pas ? demanda l’homme au palefrenier
-Elle m’a fait une super gâterie tout à l’heure chaque chose en son temps !
-Elle est mignonne la petite !
Je me redressais les reins cassés par cette étreinte sauvage. Je me retournais vers l’homme le visage rougit. Il avait tout du bon paysan du coin, le visage buriné par l’air des champs, les cheveux gris, à peine rasé.
-Putain que c’était bon, dit il en se rhabillant…
-pas pour moi, lui dis je
-M’enfous ton cul ma donné du plaisir…
Je sentais le sperme couler sur mes jambes s’échappant de ma chatte labourée. Me voyant génée par cette situation le palefrenier me tendit un chiffon..
-Allez essuies toi…tu peux pas rentrer comme cela
-Montres moi ton minou me demanda l’homme en soulevant ma jupe
- Elle est épilée Dédé…t’en a jamais vu comme ça ?
-ben non…c’est joli elle est bien foutue
-Bon foutez moi la paix à présent, je veux rentrer
-Tiens Dede je te donne sa culotte en souvenir !
L’homme prit ma culotte en la portant à son nez..
-ca sent bon une femme !
-cadeau souvenir dit le palefrenier en poussant l’homme hors du box
Je remis de l’ordre dans mes vêtement, puis après avoir bien essuyé tout le sperme qui me collait presque entre mes jambes je repris le chemin du château les jambes flageolantes, je me dis que moi qui aimait tant faire l’amour je venais tout simplement de me faire…baiser. Mon sexe n’avait pas été satisfait…


SUITE DANS LES FANTASMES D’ISABELLE N°14

nous vous invitons à lire nos 12 précédentes aventures et à nous écrire

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