Dans La Chaleur D'Un Sauna Gay.
J'étais dans un sauna gay où je me rends parfois pour me changer de ma vie conjugale.
Couché nu sur la banquette en bois de sapin, je me reposais longuement dans le sauna finlandais dont la chaleur était somme toute très supportable. Je regardais les autres hommes qui entraient ou sortaient, laissant indifféremment ma bite bander quand elle en avait envie.
À un moment où je me laissais aller les yeux fermés, quelqu'un commença à me caresser la cuisse. J'ouvris les yeux : c'était un homme de plus de 50 ans, assez épais, les cheveux courts. Il avait un air de vieux militaire. Sa poitrine était belle : des pectoraux bien ronds, avec des poils poivre et sel ni trop drus ni trop longs, et de beaux tétons sombres. En descendant je découvris un ventre un peu saillant sans être vraiment gros, et une bite pas énorme mais dont le gland joliment rose pendait avec beaucoup de charme sous une toison épaisse.
Moi, j'ai 36 ans, et ma silhouette restée mince et finement musclée plait en général à ce type d'hommes. Je me laissai donc caresser avec délectation en fermant les yeux. Ma bite se durcit assez rapidement, ce qui encouragea le type à continuer ses caresses.
Il s'approcha un peu plus près de moi, dans l'angle de la banquette, ce qui me permit d'attr son pénis en allongeant le bras. Je malaxai un peu son gland pendant qu'il continuait de parcourir mon corps de ses mains. Je le sentis se gonfler un peu dans ma paume : j'adore ça.
Il me caressa le visage et, forçant le passage, il fit pénétrer des doigts dans ma bouche. Je les suçais et les mordillais avec bonheur. Les doigts ainsi mouillés, il entreprit d'explorer mon anus. J'accueillis ce geste avec les soupirs de satisfaction que ce genre de caresses me fait toujours pousser. Il revint plusieurs fois à ma bouche pour ré-humecter ses doigts. À chaque fois, je les suçais avec délice pour les sentir replonger un peu plus profond dans mon cul.
Je n'aime pas me faire enculer par des queues trop épaisses, ou énormes, ou trop courtes. Or la sienne était vraiment moyenne comme je les aime. Aussi, je ne voulais pas laisser passer l'opportunité. J'ai toujours quelques préservatifs avec moi, et je lui en tendis un d'un geste soumis. Il le déballa et l'enfila tranquillement. Pendant ce temps, tout engourdi d'excitation, j'ouvris maladroitement un petit sachet de gel et lubrifiai un peu mieux mon anus.
Il me fit mettre à 4 pattes sur la banquette en bois, et, un pied à terre, l'autre genou sur la banquette derrière moi, il me pénétra sans grande difficulté. Sa queue glissait vraiment bien. Son bassin était large et lourd, mais malgré ça, il contrôlait bien son mouvement et ses va-et-vient devinrent rapidement si souples que je ne sentis plus du tout d'à-coups et eus l'impression d'une caresse continue et interminable dans mon anus. C'était étourdissant, et entre mes bras appuyés sur les coudes, je laissais pendre ma tête avec volupté, les yeux fermés et la bouche ouverte.
À ce moment-là, une main me saisit par les cheveux et redressa ma tête. J'aperçus d'abord le gland sombre d'une bite au repos entre deux cuisses velues, puis, levant encore les yeux, un visage qui me regardait dans les yeux en souriant amicalement. Je le reconnus : c'était un type qui m'avait sodomisé dans une cabine une demi-heure plus tôt. Il m'avait dit s'appeler Didier, je crois, et il était assis devant moi à califourchon sur la banquette, me tenant par les cheveux.
Je sentais toujours avec délice le souple mouvement de pénétration du vieux militaire, et maintenant, j'avais, à quelques centimètres de mon visage, cette autre bite qui avait été en moi quelques instants auparavant.
Le visage enfoui entre ses cuisses je me délectai de sentir ses poils contre mes joues, dans mon nez et sur mon front. Sa bite grossit un peu, mais ne banda pas. Cela m'émut beaucoup, car ça semblait signifier qu'il avait été satisfait par ce qu'il m'avait fait précédemment dans la cabine. De plus, le contraste entre la queue bien dure du militaire dans mon cul et celle-ci, repue et satisfaite, me procura des sensations bouleversantes.
Le vieux militaire finit par jouir dans mon cul avec des spasmes très brutaux et très bruyants qui contrastaient fortement avec la douceur de ses va-et-vient. Je me sentis secoué et cogné de partout. Quand il eut fini, il se coucha lourdement sur moi qui avais toujours le visage enfoui entre les cuisses de Didier. Nous sommes restés longuement imbriqués ainsi tous les trois, dans la chaleur agréable du sauna, tout en baladant parfois nonchalamment une main sur le corps de l'autre, à tâter ses cuisses, ses pectoraux, ses couilles duveteuses ou ses cheveux.
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