La Fille Frigide
Ma soeur Anne agée de 23 ans, a une amie d'enfance, Dominique. elles ont le même age. Anne est un belle fille. Elle mesure 1m70 , 85b,55,90 pour 60 kilos,Cheveux châtains clair et les yeux noisettes. Depuis toujours nous avons été très proches l'un de l'autre. Nous nous racontons ce qui ne se raconte pas par exemple je lui ai dit la première fois où je me suis branlé. Elle me la dit, sans fausse honte sa première masturbation. Lorsque j'ai eu mon premier rapport sexuel je le lui est dit: il a même fallut que je le lui raconte en détail . Lorsqu'elle a fait l'amour elle ma la dit dès le lendemain, elle n'y avait pas pris beaucoup de plaisir. Je la consolais en disant qu'avec un peu de patiente ça viendrait. lorsqu'elle eut son premier orgasme, elle me la dit. elle m'avouait aussi les relations lesbiennes quelle avaient pas souvent.
Anne et Dominique parlaient devant moi de leur problèmes intimes et Dominique affirmait qu'elle ne sentait strictement rien en faisant l'amour. Anne la questionnait
sur les façon dont elle se donnait, si elle pensait à prendre du plaisir, si elle mouillait avant de baiser. Oui elle mouillait bien mais lorsque le garçon rentrait en elle, elle ne ressentait plus rien de particulier sinon la présence d'un objet étranger dans son vagin.
Anne lui dit que si elle voulait, elle pourrait le faire avec moi. Mais je refusais: je n'avais pas envie de me "farcir" une frigide. Ma soeur qui ne lui n avait jamais rien dit de son gout pour les filles de lui proposait de faire l'amour avec elle Dominique n'a rien dit.
Quelques jours après nous avons été à la plage tous les trois. Les filles se sont mise en string pour mieux bronzer. Je leur demandait puisque nous étions dans un coin totalement désert pourquoi elle ne se mettaient pas totalement nues pour avoir un bronzage uniforme. Elles n'y avaient pas pensé. Nue toutes les deux, je pouvais admirer les corps de ma soeur et de son amie. Je les imitais et nous étions tous trois sans gènes aucune exposés aux rayons du soleil.
Les filles de leur coté se mettaient de la crème solaire. Dominique en tartiné ma soeur qui a son tour se mis à masser avec la créme copine. Je regardais faire ma soeur qui massait d'une façon très douce d'abord sur le dos puis sur les fesses où ses mains s'attardaient plus que nécessaire. Elles les caressaient tendrement. Dominique la laissait faire sans rien dire. Puis Anne lui demande de se mettre sur le dos. Elle continu a ma masser: d'abord le cou puis les épaule avant de descendre vers le seins. Elle les enveloppait l'un après l'autre, puis elle mis e la crème sur le vent et enfin sur les jambes jusqu'au pieds. Elle remontait ensuite vers l'intérieur des cuisses.
Dominique commence à écarter les jambe, puis ma soeur pose sa main sur le sexe, sans que sa copine refuse. Elle en profite pour aller v ers le sexe et y trouve le clitoris qu'elle se met à masser lentement puis introduit son pouce dans le con. Dominique non seulement la laisse faire mais me demande de lui passer une main sur ses seins. Je regarde ma soeur : elle approuve et obéissant je me mets à lui caresser les seins à ma façon: je tourne autour d'eux en forme de huit et j'inverse le sens de mon mouvement . Elle me dit que je sait bien lui faire plaisir. Ma soeur en veut sa part et viens sucer les seins. Elle sait que je bande, mais comme entre nous il n 'y a jamais rien eu elle sait que je ne la toucherais pas. Ce qui est vrai, nous n'avons jamais eus seulement l'idée de seulement nous toucher.
Je la laisse faire avec Dominique qui semble enfin avoir trouvé un semblant d'équilibre sexuel. Anne finalement penche sa bouche sur celle de Dominique et l'embrasse profondément. Dominique réagit d'une façon "particulière" elle prend la tête de ma soeur dans ses mains et ne la lâche pas tant que le baiser dure.
Pour ma part le spectacle des ces deux files m'excite au plus haut point: Je bande de plus en plus, mais n'ose pas me branler devant les deux filles.
Enfin tout en embrassant Dominique, Anne lui met une main au coin et commence à la branler. Elle lui caresse le bouton et lui rentre un doigt dans le cul. Tout le temps de cette caresse, Dominique se laisse faire en fermant les yeux. Je devine qu'elle est en train de prendre du plaisir. Anne se tourne et lui suce maintenant le clitoris. Après un court instant Dominique cri et dit qu'elle jouit. Ma soeur voudrait que Dominique lui rende la pareille. Elle offre son con à Dominique qui e refuse: sucer un fille la dégoute un peu. Je lui dit que moi j'aime faire ça. C'est vrai approuve ma soeur au courant de mes gouts. Après un moment d'hésitation, elle accepte enfin de sucer sa copine Mais Anne se met en position de faire un 69.
Elle se met sur le dos et demande à Dominique de venir sur elle. Dans cette position Dominique et Anne ont un orgasme, ce qui étonne Dominique. Mais sans changer de position elles continent à baiser. Moi, je n'en peux plus, je bande depuis trop longtemps, il me faut un con pour y mettre ma virilité. Le seul disponible est celui de Dominique. J'avertis les filles et je me mets derrière les fesses de Dominique et je rentre dans son sexe. Elle réagit positivement. Ma soeur sort de dessous sa copine pour que je baise mieux. Et là surprise, si je jouis je sens que pour la première fois Dominique a un orgasme monstrueux avec une bite en elle.
Nous avons encore baiser avec Dominique elle m'a demandé de l'enculer: Ma soeur lui avait dit un jour qu'elle aimait cette forme d'amour Dominique ouvrait largement ses fesse pour que j'y pénètre. C'était très excitan et surtout je trouvait un cul tout neuf qui s'ouvrait largement et ous avons jouit . Mais Anne était toute seule en nous regardant mais sans complexe, se branlait devant moi. Je demandais à Dominique de lui faire l'amour, puisqu'elle avait aimé.
Par la suite nous avons partagé la même fille ma soeur et moi. Le plus souvent seul mais quelques fois en trio. Mais je n'ai jamais touché ma soeur.
Plus tard Dominique est venu à la maison avec un garçon qui m'a dessuite plus, ainsi qu'à ma soeur. Elle avait trouver un amant à qui elle allé pouvoir lui apprendre certainement à baiser, sauf que elle le laissait entendre, de temps en temps elle reverrait Anne.
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