La Visite
LA VISITE
Marina mavait prévenu quune de ses copines allait passer à la boulangerie avant la fermeture de midi. Elle avait ajouté que je risquais dêtre étonné « tant elle était canon et un peu
spéciale » avait elle ajouté avec un sourire évocateur. Elle navait pas voulu men dire plus malgré mon insistance.
Javais remarqué une Porsche Carrera se garer de lautre côté de la rue dix minutes avant la fermeture, mais personne nen était encore sorti et je métais dit que son conducteur devait attendre quelquun.
Ma boulangerie a une réputation sulfureuse. Je suis un chaud lapin, jaime le sexe et les jolies femmes surtout quand elles ont le feu aux fesses et il mest un jour venu lidée de concevoir des pâtisseries et des pains à la forme très suggestive, qui très vite, ont attiré un certain nombre de femmes. Beaucoup se sont mises à venir sans leur mari ni leurs s, le plus souvent à des heures de mi-journée, pour regarder et choisir, voire consommer sur place mes petites créations.
Mes éclairs font un ravage ! Ils ont sur le bout la forme dun gros phallus avec un trou qui laisse échapper une crème au goût que jai créé légèrement salé. Je les ai rebaptisé « glands au café » ou à la vanille pour madapter aux fantasmes de mes clientes. Ceux au chocolat sont un peu plus gros et plus longs aussi ; vous aurez deviné pourquoi. Le « Super Gland » à la faveur de beaucoup de mes clientes, mais je nen distribue quun seul par jour. En fait, je le donne à ma cliente habillée la plus sexy chaque jour. Et le verdict est parfois difficile à rendre
Lheureuse élue est par contre obligée de déguster son Super Gland dans larrière boutique sans jamais me quitter des yeux et en y mettant le plus démotion possible. Javoue que cette trouvaille est pour moi exceptionnelle, car parfois la situation dé totalement. Cest pour cela que jai installé un petit canapé qui me permet de tringler la plupart de mes lauréates.
Marina fait partie de ces clientes. Cest une jeune femme blonde et grande avec des seins très lourds. Elle a une grande bouche et adore faire des pipes. Elle est folle du sperme et passe deux fois par semaine à la boulangerie alors quelle habite à plus de cinquante kilomètres. Elle machète juste un petit pain au chocolat pour « cacher le goût du foutre épais » se plait-elle à justifier avant de repartir.
Ce que jai omis de vous dire, cest que jai été moi aussi gâté par la nature. Je fais 1,91m, ai une musculature très fine suite à vingt cinq années de cirque et suis surtout doté dun sexe très long et particulièrement épais. Au cirque, les filles du trapèze me surnommaient « le cheval » et aimaient me sucer parfois à plusieurs après leur numéro pour se déstresser. Mais cest surtout depuis que jai ouvert cette boulangerie que je baise beaucoup. Jai des histoires incroyables à raconter coté cul, mais jamais encore je navais rencontré une fille comme la copine de Marina
Je venais de fermer la porte à clé, encore excité par ma dernière cliente, une salope qui venait deux ou trois fois par jour uniquement pour me montrer ses gros nichons à peine cachés par un décolleté toujours provocant, lorsque je vis souvrir la portière conducteur de la Porsche. Par curiosité, je regardais, déjà prêt à aller me branler à cause de lautre cochonne aux gros seins.
La fille qui sortit du coupé sport portait une minijupe et des bas-résilles magnifiques mais particulièrement provocants eu égard à la taille de la minijupe qui couvrait avec peine le bas des fesses. Elle était très bronzée avec des cheveux bruns coupés très courts. Elle me semblait dorigine maghrébine ou italienne. Jai tout de suite vu que ses seins étaient siliconés, car elle exhibait, sous une veste en cuir ridiculement courte, un bustier tendu à lextrême et qui laissait deviner deux mamelons bien durs. Ses yeux étaient dun vert magnifique et sa bouche maquillée dun rouge vif. Elle faisait à la fois jeune femme fatale très salope, mais plutôt classe.
Mon sexe a grossi dun coup lorsquelle sest approchée de lentrée. Elle ma regardé, sest arrêtée un instant, puis a frappé délicatement à la porte. Jai ouvert en ne pouvant mempêcher de mâter aussitôt ses gros seins à peine cachés. Ma queue me faisait mal et je faisais attention de ne pas montrer mon excitation car jétais, je lavoue, assez impressionné par cette cliente.
« Cest fermé ? » me demanda-t-elle dune voix tendue et un peu déçue.
« Heu
Oui ! Enfin non ! Vous pouvez entrer, mais je dois refermer derrière vous dans ce cas pour que personne dautre ne puisse nous voir ! Enfin je
Je veux dire que ce serait plus simple si personne dautre ne venait après vous, sinon je ne marrête jamais. »
« Ah ouais, il parait que vous avez beaucoup de succès à ce quon ma dit
» dit-elle en roulant démesurément des fesses jusquau présentoir des pâtisseries aux formes les plus osées.
« Et qui vous a dit ça ? » demandais-je en louchant sur son petit cul musclé, bien mis en valeur par sa minijupe moulante.
Son cul était fabuleux
Un peu rond mais très ferme, du genre à enculer bien profond. Elle se pencha légèrement et je pus voir la base de ses fesses. Elle tourna alors la tête vers moi et dut surprendre mon regard appuyé. Mais elle sourit et me dit le plus simplement du monde, en désignant mes gâteaux :
« Cest quoi tout ça ? Ca smange ? Marina avait raison de mfaire venir ici. Jcrois que ça va me plaire. Je vais me régaler avec ces belles choses ! Quest ce que vous me conseillez ? » demanda telle, en me montrant cette fois sa poitrine fantastique. Un de ses mamelons sétait à moitié découvert lorsquelle sétait penchée mais elle ne sen offusqua pas. Elle passa au contraire la langue sur ses lèvres pulpeuses.
« Humm ! Elles sont si grosses vos friandises
»
« Vous aimez quel genre de gâteries ? » demandais-je à mon tour, en souriant et gonflant le torse, sans plus cacher, ni ma musculature ni ma formidable érection engoncée dans mon jean moulant.
Elle regarda ma bosse longuement, puis me fixa avec un regard de cochonne. Elle bomba sa poitrine elle aussi et son deuxième mamelon sortit complètement du petit tissu. Elle fit mine de ne pas sen apercevoir.
« Jai envie dun gros gland ! » annonça telle en souriant de façon suggestive. « Marina ma dit quelle en dégustait un bon ici chaque semaine quand elle gagnait une sorte de concours. »
« Hmm
Je crois quaujourdhui cest vous sans aucun doute qui avait gagné !
Vous avez le droit de déguster le Super Gland. Cest ce gâteau, là ! » dis-je
en montrant la chose.
« Ouaouh, génial !!! Oh, mais dites donc, ça porte bien son nom. Cest quoi ctruc ? » demanda telle en montrant lexcroissance au bout du gâteau.
« Ca vous fait penser à quoi ? »
« Heu
Attendez que jregarde bien ! »
Elle se pencha franchement et je pus voir cette fois la moitié de ses fesses. Cétait extraordinaire. Elle portait un mini string blanc en dentelle fine avec une petite ficelle qui lui rentrait carrément dans le cul. Elle conserva la pause et écarta un peu les jambes. Je fis alors exprès de laisser tomber les clés de la porte derrière elle et mempressai de les ramasser en mexcusant. Elle me regarda faire mais ne bougea pas. Javais mon visage à quelques centimètres de son entrejambe. Je pus deviner quelle sétait rasée la chatte. Ses petites lèvres apparaissaient sous la fine dentelle et je devinai son petit trou culier aspirer la ficelle dans cette position. Il me fallait la baiser absolument, lui enfoncer ma queue bien à fond
Jeu envie de la violer sur place mais le jeu qui sinstaurait entre nous me plut et je me relevai lentement pour dominer son décolleté. Elle repositionna doucement son bustier, mais les petits tétons gonflés me faisaient autant deffet sous le tissu léger. Ses seins étaient vraiment très gros et durs.
« Ca mfait penser à une grosse bite ! » répondit-elle finalement avec une voix dadolescente.
Jentendis alors un bruit sur le sol qui lui fit pousser un petit cri.
« Oh, jai fait tomber mes clés de voiture ! Désolé ! » dit-elle en me regardant et en sagenouillant sur le sol.
Elle tendit les mains vers ses clés, tombées derrière mes pieds et positionna sa tête à moins de deux centimètres de mon sexe tendu à mort. Elle faisait mine de ne pas trouver les clés et je ne bougeai pas pour ne pas lui faciliter le passage. Elle me regarda et avança un peu jusquà avoir la bouche contre mon gland. Elle avait entrouvert les lèvres et cherchait avec ses mains. Mon gros sexe se mit à tressauter. Elle ferma un instant les yeux et je pus sentir sa langue humidifier ma bite. Je voyais ses lèvres collées sur mon sexe et ses seins, vus de haut, semblaient prêts à faire exploser son bustier visiblement trop petit dune taille. Elle était en équilibre instable sur ses hauts talons, mais plutôt que de reculer pour lui faciliter la tâche, je lui pressai la tête plus fort contre mon gland pour me faire du bien.
« Attendez ! Vous allez tomber comme ça. Voilà, je vous tiens bien. Prenez votre temps
»
« Humm, merci, vous êtes trop bon ! » parvint-elle à murmurer avant de reprendre sa position, bouche ouverte, cette fois, sur mon gland qui menaçait de faire exploser mon jean. « Oh ouais, vraiment bon ! »
Jétais prêt à jouir tant mon sexe palpitait et elle le sentit. Elle dut elle-même avoir un léger orgasme, car je lentendis couiner légèrement tandis que sa deuxième main lui caressait franchement le sexe, entre ses jambes bien écartées. La vitre du présentoir derrière elle me renvoya limage de sa main qui sactivait sur sa chatte et un doigt était même à lintérieur, me semblait-il, car sa minijupe était totalement roulée sur ses fesses magnifiques. Je vis aussi que sa première main avait attrapé ses clés mais quelle faisait semblant de les chercher encore. Au moment de son micro orgasme, je sentis une légère morsure sur mon gland et je crus jouir moi aussi sous cette petite attention.
Elle se releva enfin, les seins complètement à lair. Elle rajusta dabord sa minijupe sur ses fesses, puis son bustier sur ses gros nichons, avant de me sourire comme une fillette espiègle.
« Excusez moi encore, je suis impardonnable ! »
« Oui, cest vrai ! Je crois que vous méritez même une grosse punition
»
« oh, espèce de gros coquin ! Tu mavais promis une récompense et maintenant voilà que tu veux me mettre une grosse fessée
Oh mince jai mis un peu de rouge à lèvres sur ton pantalon. Javais pas vu que mes lèvres le touchaient » mentit-elle en se mordant la lèvre inférieure. « Vous permettez, je vais réparer ça ! »
Elle se mit à frotter de la main à lendroit où mon gland déformait mon jean.
- « Oh zut ! Ca ne part pas ! » dit-elle, en continuant dappuyer sur ma bosse.
Elle prit alors un verre deau qui se trouvait sur le comptoir et en versa un peu sur mon jean, à l endroit où ma grosse bite pointait le plus, avec un sourire de convoitise.
« Hé, attention ! Cest froid ! » lançais-je, en faisant un pas de retrait.
« Oh, quil est sensible ! Attendez, jvais essayer dfrotter comme ça ! » ajouta telle, en se penchant de plus belle vers mon gland.
De nouveau, ses seins émirent une pression dangereuse sur le fin tissu et jeu une vue imprenable sur ses miches. Quant à la vitre, elle me montra cette fois les trois quarts de son cul, quelle bougeait en rythme tout en frottant le jean à hauteur de mon sexe. Elle réussit à coincer le haut de ma verge, serra plus fort et se mit à me branler plus quelle me nettoyait, la bouche encore ouverte comme en pleine concentration. Je nen pouvais plus
Elle se releva juste au moment où jallais saisir ses nichons à pleines mains et me regarda droit dans les yeux.
« Désolé, cest tout mouillé maintenant ! Vous risquez dattr un gros rhume avec ce jean tout trempé. Il faudrait mieux le retirer. Venez ! » ajouta telle en me prenant par la main pour mattirer vers larrière boutique, montrant quelle connaissait parfaitement les lieux.
Elle sempara aussi du Super Gland quelle comptait visiblement déguster aussi. La belle se remit à genoux, écarta totalement les jambes pour sapprocher le plus près de ma fermeture éclair et me retira ma ceinture, puis mon pantalon. Elle tira très fort, si bien que je dus retenir mon caleçon pour ne pas que ma bite gicle de sa prison de fortune. Elle parut déçue de ma réaction.
« Attendez, lui dis-je pour lénerver un peu, sentant quelle voulait absolument voir ma grosse queue. Je vais le faire. »
« Pas question ! » lança telle en fronçant les sourcils. « Jai fait une grosse bêtise et je tiens à réparer ma faute. Après, si vous voulez », ajouta telle en gonflant encore ses seins qui pointèrent encore de son corsage, « vous pourrez me mettre vot grosse punition si vous décidez que je la mérite. Jaccepterai tout comme de façon bien soumise
Jai lhabitude de réparer mes erreurs quand jen fais une et croyez moi, je tombe parfois sur des messieurs très pervers, qui profitent de ma gentillesse en me faisant faire des choses par toujours très belles. Ces gros cochons sy mettent souvent à plusieurs, vous savez
» conclut-elle en me fixant intensément. « Bon toi jsais pas si tes pervers, mais tu caches un sacré morceau la ddans ! » reprit-elle en caressant du doigt ma queue sur le caleçon moulant, qui enserrait ma grosse pine comme il le pouvait.
« Marina mavait raconté des trucs mais là, ça ressemble vraiment à un gros saucisson en plus long. Et ça, ça doit bien peser une tonne ! » ajouta telle en soupesant mes couilles à pleines mains. « Ca déforme complètement ton caleçon aussi. Regarde moi ça comme elles sont arrogantes, ces grosses oranges ! Bon, allez soyons sérieuse maintenant, il faut que je sèche ton caleçon, il est tout trempé. Tu veux, dis ? »
« Vas y ma belle ! » répondis-je en souriant. « Après tout, cest vrai que cest toi qua fait ça. »
Elle se repositionna sans remonter son bustier qui maintenant découvrait un sein en entier, retenant lautre par miracle, et avec un air de grand contentement, sempara délicatement de mon membre. Sa bouche sapprocha de mon caleçon et elle se mit à souffler délicatement dessus pour le faire sécher. Son souffle était chaud car très proche de mon gland et ma bite se mit à tressauter sous sa main.
« Hé, arrête !!! Comment tu veux quje te sèche si tu fais gigoter ton gros machin ? »
« Ok pardon, jessaie de me concentrer mais fais vite stp
»
« Oui daccord. »
Elle se rapprocha encore de quelques millimètres et tout en me regardant de façon particulièrement cochonne, souffla de nouveau en me branlant légèrement, dune façon qui se voulait anodine. Elle se mit à me branler plus franchement et mon gland sortit dun centimètre de mon slip. Elle se mit à sourire de contentement et je lui mis la main sur la tête pour la rapprocher de ma bite. Javais trop envie de me faire sucer cette fois. Ses lèvres touchèrent de nouveau mon slip et elle se recula dun coup.
« Oh regarde ce que tu as fait. Jai tout tâché ton caleçon maintenant ! Ya du rouge là ! » dit elle en montrant du doigt la base de mon gland. Cest de ta faute, grand coquin
»
« Si tu mavais pas branlé comme ça, ça nserait pas arrivé ! » râlais- je pour la forme.
« Oh texagères ! Cétait juste pour faire sécher plus vite. Mais bon comme jsuis gentille, jvais réparer ça tout dsuite. »
Elle sempara alors de mon sexe délicatement à deux doigts bien écartés et se mit à lécher mon slip à lendroit de la tâche rouge. Sa langue sortait complètement comme si elle suçait une friandise.
« Regarde-moi bien ! » dit-elle. « cest comme pour une grosse glace. Tu vois ? »
Elle avait une vraie bouche de pipeuse de film porno dans cette position. Elle sortit la langue de plus belle.
« Hmm
» gémit-elle en appuyant sa langue sur mon caleçon totalement trempé de salive. « Ton gros bazar est plus dur encore quun gros esquimau ! Mais tu vas voir comme jvais bien le nettoyer. »
Elle se remit à bouger des fesses en me masturbant et en se chatouillant la moule de plus belle. Mon gland sortit complètement deux ou trois fois et je sentis le contact de sa langue appuyée sur le bout. Elle jouit carrément sous le contact du méat et jallais balancer la purée si elle ne sétait pas relevée dun coup en laissant mon gland à lair. Je le remis, déçu, dans mon caleçon totalement trempé de bave et propre, je devais lavouer. Elle remit de nouveau sa minijupe en place dune main que je devinais poisseuse et replaça ses nibards sous le corset de plus en plus déformé. Son regard était de feu.
- « Ben dis donc, ta femme, elle doit se régaler avec un machin pareil ! » lança telle en regardant goulûment ma grosse bosse. « Elle doit sen prendre plein lcul tout le temps, cette salope ! » ajouta telle presque méchamment avant de détourner la tête.
« Ton copain doit srégaler aussi » répondis-je en regardant ses formes avec envie.
Elle se mit de profil et cambra ses reins.
« Oh, tu trouves ? » répondit-elle en faisant la mijaurée. « Mes seins sont pas trop petits ? » lança telle en les pressant à pleines mains jusqu'à les faire ressortir à moitié de son bustier.
« Ils sont magnifiques ! » avouai-je en les mâtant.
« Et mes petites fesses, tu penses quelles plaisent, dis ? » Elle sétait cambrée et la courbe de son cul dépassait sous sa minijupe qui nen finissait plus de remonter.
« Je pense que la plupart des hommes ont envie dy fourrer leur grosse bite ! » répondis-je à brûle pourpoint, en prenant à mon tour la mienne à pleine main.
Elle se mordit encore la lèvre en regardant ma main sur mon gros sexe.
« Oh, si jétais pas si fidèle, je répondrai bien à tes avances, tu sais. Jme suis jamais tapée une bite aussi grosse. »
Tout comme moi, elle nen pouvait plus je le voyais, mais elle voulait pousser le jeu le plus loin possible. Javais envie de la mettre à lépreuve encore un peu avant de la défoncer sur le canapé, car je métais maintenant promis de me faire son petit cul et de la faire gueuler de plaisir.
- « Alors, ratt-toi sur ta récompense. Il faut manger ton gâteau, mais tu dois le faire en me regardant tout le temps et en faisant le plus de bruit possible, sinon, cest la punition
»
Elle se retourna vers la friandise et ses yeux lancèrent des éclairs de contentement.
« Oh jai si faim. Je vais ldévorer ce gros gland, tu vas voir ! Il faut le prendre par le gros bout là en forme de bite ?
« Oui, tu dois le faire rentrer dans ta bouche et aspirer la crème pour faire dégonfler le gland. Je pense que tu connais le principe
»
« Ahahah
» gloussa telle, ouais, ça me rappelle un truc. Elle sempara du gland et le regarda avec envie. « Cest vrai quon dirait une grosse bite comme la tienne. Elle ouvrit alors grand la bouche et se mit à aspirer en me regardant. Hum, ya du jus dedans ! Cest un peu salé comme du sperme, on dirait. »
« Pour que ça vienne plus fort, il faut faire aller la friandise davant en arrière. »
« Comme cha ? » ajouta telle en branlant le gâteau dans sa bouche, en une pipe extraordinaire.
« Plus vite allez ! Ca va venir ! » lencourageais-je en serrant ma queue à pleine main.
Elle accéléra le mouvement et reçut une pleine giclée de crème à la vanille salée.
« Ohhh, jen ai plein la bouche ! » gloussa telle, après avoir retiré le gâteau. « Regarde ! » ajouta telle en tirant la langue, pleine dune crème qui commençait à couler sur son menton. Elle en répandit un peu sur le sol. « Oh non, jen ai mis par terre ! Oh, cest tellement bon ! Jveux pas en perdre une goutte. »
Elle posa alors la pâtisserie et se mit à quatre pattes, les fesses totalement en arrière, puis ouvrit la bouche pour poser sa langue sur le sol à lendroit où la crème était tombée.
« Humm, elle est booooonne. Jaime ça quand y en a plein ! » Elle me montra de nouveau la crème sur le bout de sa langue, puis avala en forçant son action avec un air de salope. Puis elle se retourna, toujours à quatre pattes et continua son manège, cette fois en me montrant son cul, sa jupe totalement relevée. Elle écarta les jambes et je pus voir la ficelle disparaître puis réapparaître en fonction de ses bruits de succion et des mouvements imprimés par son bassin. La petite dentelle était rentrée au plus profond de ses fesses. Sa petite rondelle sentrouvrait de temps à autre et je crus que jallais la sodomiser immédiatement à même le sol. Elle tourna alors la tête vers moi et après mavoir regardé de manière suggestive, me lança, sur delle :
« Tas envie dmenculer ou quoi ? Tas vu comment tu mâtes mon cul, gros cochon ?
Mon gland dépassait encore de mon caleçon. Les 30 centimètres de mon sexe étaient tendus à lextrême et je lui répondis avec la même assurance
« Et toi, tu la veux cette grosse bite, hein petite salope ? »
Elle me fixa quelques secondes encore et comprenant que les masques étaient tombés pour de bon, me rétorqua :
« Oh, allez ! Maintenant montre la moi toute entière ! Après jte promets, tu pourras mbaiser comme tu veux !!! »
« Si jte la montre, je pourrais tenculer à fond ? »
« Ouais, tout cque tu veux ! Jsuis venue pour ça à cause de cette salope de Marina. Jen peux plus dses histoires de grosses bites, dses grosses giclées quelle se prend à chaque fois quelle vient ici. Jsuis là pour men prendre plein lcul aussi. Allez montre ! » supplia telle, en se rapprochant.
Je baissais doucement mon caleçon en la fixant. Son regard shypnotisa sur mon gros gland violacé qui sortit complètement de mon slip. Puis le reste glissa, centimètre par centimètre, de sa prison et je finis par mes deux grosses couilles lourdes et pleines comme toujours, depuis mon adolescence.
Elle me regarda les yeux étonnés, puis lâcha :
« La vache, quelle grosse queue ! Tas des couilles de taureau en plus. Ya combien dlitres de foutre la ddans ? Hmmm, tu vas mdéfoncer avec un truc pareil ! » ajouta telle envieuse, tout en retirant sa minijupe et son bustier. Elle se retrouva en bas résille avec ses talons hauts et sapprocha de moi. Elle se mit à genoux et sans me regarder cette fois, prit mon gland à pleine bouche en marmonnant des bruits dextase. Je lui pris la tête à deux mains et lui baisai la bouche sentant que le foutre montait déjà. Elle prit une grosse giclée en grognant et continua de me pomper en jouissant tandis quune seconde salve lui inondait la gorge. Je retirai en hurlant ma bite de sa bouche et lui arrosait le visage de trois giclées supplémentaires.
« Tiens salope ! Bouffe-moi ça tout de suite ! Jsuis pas près ddébander avec cque tu mas fais subir. »
Le foutre coulait de sa bouche quelle tenait ouverte et je la vis retenir le sperme épais dans ses mains, avant de se les lécher aussitôt et davaler ce quelle pouvait.
« Ouiii ! Putain tout cquy a !!! Vas y encore, donne moi tout ton gros foutre ! Cest tellement épais ! » cria telle en suçant mon gros gland baveux qui laissait encore échapper un peu de semence dans sa bouche avide.
Lorsque jouvris les yeux, je la vis sucer avec application mon gland tuméfié qui rentrait maintenant difficilement dans sa bouche. Un gros paquet de sperme était collé sur son nez et menaçait de tomber par terre. Elle se mit à jouer avec et laspira, puis me regarda de manière espiègle avec tout le paquet gras sur la langue. Puis elle tapota mon gland dessus, samusant du clapotis quelle provoquait.
« Taurais pu attendre avant de balancer ta grosse purée, salaud ! Ca te plaisait pas davoir ton gros sexe dans ma bouche ? » me reprocha telle en continuant de branler doucement mon sexe qui continuait dêtre bandé.
« Au contraire, ma chérie. Cétait juste la mise en bouche, si je puis dire. Si tes bien cochonne, ten auras encore. Maintenant jvais moccuper de ta chatte et de ton cul. Enfin, si tes daccord
» dis-je, en branlant ma grosse bite devant ses yeux.
« Oh oui, jla veux, jla veux , jla veux !!! Baise-moi comme Marina ! » Elle me suppliait et jaimais cela. Javais envie de la rendre folle.
« Alors excite-moi. Jadore les salopes. Les vraies !
« Oh, quest-ce tu veux quje fasse. Dis-moi, allez ! Tu veux mon cul tout dsuite ? »
« Ouais bonne idée. Mais donne-moi envie de te lniquer. Et motive-moi bien surtout. »
Elle me sourit longuement, puis se retourna. Elle se mit alors à danser en bougeant ses fesses langoureusement, me regardant avec des yeux de cochonne.
« Tu vois ce ptit trou ? » me demanda telle en écartant ses fesses au maximum, me livrant ainsi sa petite lunette foncée. « Il a envie dune grosse langue baveuse ! Tu sais pourquoi ? »
« non, jvois pas
» répondis-je en magenouillant et en fourrant mon nez dans sa rosette pour bien minspirer de son odeur intime.
« Parce que ma rondelle a encore envie de sfaire trouer ! »
« Tu tfais niquer lcul souvent, Salope ? » demandais-je avant de fourrer ma langue dans son anus.
« Ooooh, oui. Oh vas-y, bouffe-moi fort le cul. »
« Réponds ou jarrête ! »
« Non, surtout pas ! Ouais, jme fais enculer tous les jours. Jpasse mon temps à mfaire baiser et entretnir. Mon passe-temps préféré, cest dprendre des bites et dexciter les mecs, surtout quand jsais quy zen ont des grosses. Et toi, mon cochon, ten as vraiment une super grosse et jpartirai pas dici avant dmêtre fait bien défoncée, tas compris ? »
Je lui aspirais le clito complètement, quelle avait totalement humidifié à présent. Son odeur forte mexcitait et ma bite était dure et droite. Elle me la branlait comme une forcenée en passant la main entre ses jambes.
« Allez, mets la moi ta grosse pine ! Fourre la moi à fond ! »
« Je nsais pas si jai encore envie finalement » dis-je, lair sérieux.
Elle se retourna comme une furie, des éclairs dans les yeux.
« Tu veux quoi, Salaud ? Jte plais pas ou quoi ? Ptêt que tu veux ramner des copains pour que jtexcite en mlaissant baiser comme une chienne ? Jle fais si ça tplait
»
« Ah ah ah ! Non jcrois que jsais cque jveux finalement » dis-je en serrant ma bite dans ma main.
« Quoi ? » supplia telle
« Jvais tbaiser comme une pétasse ! »
« Tu vas mfaire quoi ? » demanda telle, joueuse et sûre delle, de nouveau.
« Jvais tenculer debout contre le mur. Allez debout Salope, si tu la veux profond ! »
« Ouais, tout dsuite ! » Elle se positionna en écartant les jambes, puis me regarda, sérieuse. « Comme ça, cest bien, dis ? »
Son cul était cambré et humide. Avec ses bas et ses hauts talons, elle avait lair dune jeune pute de luxe, prête à se faire démonter la rondelle pour un beau paquet de fric. Ses seins pointaient en avant et elle écartait ses fesses rondes, à deux mains, bien concentrée.
Je mapprochais delle et positionnait mon gland violacé et humide contre sa rondelle.
« Tu veux cette grosse queue vraiment ? » lui soufflais je à loreille.
« Ouais, allez, encule-moi bien comme jle mérite ! » Elle se mit à bouger frénétiquement les fesses, enserrant mon gland entre ses globes, en riant daise. « Putain, quest-ce que jvais prendre, hein ? » souffla telle en tournant les yeux vers moi, perverse.
« Ca, tu vas ten souvenir ! » je forçai littéralement ma queue dans son trou du cul.
Elle fut surprise par mon allant et se mit à grimacer.
« Putain , tu mdéchires salaud ! »
« Tu veux qujarrête ? »
« Non, non ! mets-moi tout. Tas promis dme niquer. Ca va rentrer, tu vas voir, jai lhabitude des bites dans lcul. Jveux ta grosse maintnant. Jveux qutu mfasses jouir du cul !!! »
Je retirai ma bite, lui refourrai ma bouche et ma langue à lintérieur, prit un paquet de salive dans ma main et me lappliquai sur toute le long de la queue, avant dessayer de nouveau. Cette fois, ignorant ses grimaces, je rentrai les trois quarts et attendit.
« Pffou !!!! la vache, cest gros ! Oh, mon cochon, tu mremplis bien lanus. »
« Tu lsens bien mon gros paquet, hein ? Ten veux plus ? »
« Jte dis qujsuis vnu pour ça. Encule-moi ! Prends-moi bien mon ptit cul. Jsuis ta salope, ton trou à bites !!! »
« oh, continue Salope, tu mexcites ! » dis-je en la ramonant plus fort.
« Aiieaie, Salaud va ! tu mbourres bien !!! Jsuis ton garage à pines, ta bouche à foutre, ton cul à grosses bites. Donne-moi tes gros coups et ton jus dgland. Inonde moi lcul. »
Elle continua comme cela pendant que je la laminais contre le mur en lui pressant ses grosses mamelles à pleines mains.
Elle se mit à hurler et je la défonçai sans plus aucune retenue. Ma bite se mit à sortir, puis à rentrer quasiment à fond. Elle était dans un état second et je voyais son anus totalement dilaté, déjà rempli de sécrétions anales. A un moment, je retirai ma queue de son fondement, dont le trou était impressionnant et je la retournai violemment pour la forcer à sagenouiller et lui présentai ma queue souillée.
Son visage était rouge et elle regarda ma bite sale avec un regard hallucinant.
« Tu veux mrefourrer ta grosse bite au fond de la gorge, hein gros cochon ? »
Avant que je puisse lui répondre, elle fourra mon gland sale dans sa bouche et je sentis le contact de sa gorge. Elle me pompa comme une forcenée.
« Tes vraiment la reine des pipeuses toi !!! »
« Jai lhabitude de sucer. On arrive à tout avant une langue gourmande et un petit cul quaime se faire fourrer tout ltemps, tu sais. »
Je sentis le foutre arriver encore.
- « Bon allez fais moi gicler ! Suce-moi comme une bonne pétasse ! »
Elle me sourit de façon coquine, tandis que limage de son cul troué métait renvoyée par la vitre. Cette vision mélectrisa et tandis que son trou culier dilaté dansait en cadence, je vis sa bouche en cul de poule exercer des bruits de succion obscène. Elle prit un air de pétasse et lorsquelle sentit ma bite vibrer, elle la sortit, tendit la langue et me regarda, faussement absente, attendant que les gros paquets de sperme gras lui recouvre langue et lèvres.
Javais joui terriblement fort et elle continua à me fixer la bouche ouverte et recouverte de foutre.
« Zte plais comme ça, dis ? » zozota telle avec le même air de pétasse.
« Ouais, beaucoup. »
« Tu veux quzavale tout lpaquet ou zcrache ?
« Avale tout, Cochonne » dis-je en souriant.
« Hummm. Merci ! Cest bon du gros foutre, surtout bien gluant comme ça !» insista telle en se léchant les lèvres fortement. « Encooore, sil te plait ! Encore du jus dgland, huummm » insista telle.
Sa bouche puait le sperme et elle mexcitait encore. Elle tira la langue, soumise, en attente de ma décision, puis se releva finalement et me présenta son trou du cul totalement dilaté.
« Tas vu cque tu mas fait Salaud ? Jai la rondelle en chou fleur, cest malin ! Jai jamais eu mon trou du cul ouvert comme ça
Regarde, mon pouce rentre facilement. Si mon copain me trouve comme ça, quest-ce que jvais lui raconter ? »
« Comment il le verra ? »
« Y mbaise toujours en rentrant
Lui ou ses copains ! »
« Ses copains te baisent aussi ? »
« Ouais, mon mec cest un métis black. Sa queue est moyennement grosse, mais il aime bien ramener des copains à la maison pour me faire baiser. »
« Et toi, tu dis rien ? »
« Non, pourquoi ? »
« Jtrouve ça bizarre
»
« Jaime bien baiser. Et lui, ça lexcite de mfaire niquer par tous ses potes. Y mtraite de tous les noms parfois, mais je sais quil me baise bien après. Tout lmonde y gagne ! » conclut-elle avec un sourire entendu. « Ptet que tu pourrais passer un dces jours. Il aimerait sûrement me voir me faire défoncée comme tu viens de faire
» ajouta telle, cajoleuse en se serrant contre moi, les miches sous mon nez, et en enserrant mon gros gland dans ses doigts.
« Oh, elle est tellement grosse ta bite !!! » Elle se remit à me branler comme une folle. « Mets la moi dans la chatte, jai mal au cul là !!! jai encore envie qutu mbourres profond. Tu veux dis ? »
« Excite-moi encore ! Ca marchera peut-être. » répondis-je, joueur en la serrant dans mes bras.
« Tes super musclé quand même, et pas que dla bite ! » dit-elle en faisant courir sa main sur ma poitrine. Puis elle se baissa les seins dans les mains. « Mets ton gros paquet entre mes nichons. Jvais tfaire une petite cravate. Jai encore envie dton gros poireau dans ma bouche. Après jte lécherai le trou du cul aussi. Je sais qules mecs adorent ça, mais bon souvent ça les encourage à menculer plutôt quà me prendre la chatte. »
Je plaçai ma bite rigide entre ses gros seins siliconés et elle lenserra en les pressant contre mon gland. La vision de ma grosse queue ondulant entre ses seins énormes était ahurissante. Consciente que ça me plaisait, elle plaçait de nouveau sa bouche en cul de poule et à chaque mouvement de mon gland vers le haut, elle le gobait entre ses lèvres avec un gros bruit de succion. Ma bite était redevenue de bois et ma bienfaitrice sexcitait terriblement surtout lorsque je pressai sa tête vers le bas et forçant mon sexe dans sa gorge.
« Bouffe-moi ça, petite pute ! » lançai-je crument, en gardant ma queue dans sa bouche déformée.
Elle me regarda, soumise, et me lança dune voix faussement suppliante :
« Tu vas mfaire mal encore avec ton gros machin ? Cest ça qutu veux hein ouais ? Mniquer à fond. Rentrer tout lpaquet
»
« Allez, lève-toi Salope, va te mettre à quatre pattes sur le canapé, jvais tfaire gueuler maintnant avec ma queue. »
« Oh non
. » Supplia telle, lair pourtant ravie. « Pas encore des gros coups. Ca fait trop mal ! »
« Allez dépêche !» ordonnais-je en lui claquant les fesses de ma grande main.
« Aiie !!! »
Je la pénétrai dun coup sec et profond
« Oouuuh ! cest trop gros. Jsuis toute remplie ! »
« Jai pas encore tout rentré, tu sais ? » je sentais ma queue enserrée par sa chatte qui se dilatait sous ma pénétration.
« Ooooh oui ! Putain jvais jouir !» Elle se mit à miauler longuement sous mes coups plus prononcés.
« Quest-ce que tu veux maintnant ? » lui demandais-je
« Remplis moi la chatte ! Non fais moi des trucs cochons
jai envie dêtre à toi. Jveux tout avec ta grosse bite de cheval ! »
Petite chienne
»
« Vas-y, encore ! » supplia telle en tourna un regard implorent vers moi
Elle voulait de toute évidence se faire dominer. Je sortis mon gros gland dans un gargouillis démonstratif, puis la pénétrai à fond au moment où elle suppliait de la lui remettre.
« Aaargh ! »
Je me mis à lui presser les miches à lui faire mal, et la pilonnai pendant une bonne minute.
Elle se mit à hurler sous mes coups de boutoir, les jambes flageolantes puis je retirai ma queue de nouveau pour lenculer de plus belle. Elle poussa un cri de douleur, mais jétais décidé à lui éclater le cul violemment.
« Aiaieiaieiaie ! »
Pour la première fois, je la sentais résister à mes coups intenses ; mais je la bourrai sans merci.
- « Ta gueule pétasse ! Tes là pour en prendre plein le fion, alors je vais te le défoncer comme jamais, tas compris ? »
« Oui, ouille ! Ooh putain, tu tapes au fond là, jai jamais eu ça !!! Aaahh ! »
Je stoppai mon mouvement soudainement.
« Taimes ça Salope ou jarrête ? »
Ses fesses continuaient de bouger en rythme.
« Noon, jen veux plein lcul encore. Fais-moi un gros trou ! »
« Tu veux mon foutre dans la rondelle, dis moi ? » lui demandai-je en lui caressant le dos
« Oui, vas-y, remplis moi le fion avec ton sperme ! Jle garderai dans lcul tout ltemps, mais pas maintenant. Nique-moi encore ! Jveux être ta pute, mon amour ! »
Je me mis à la défoncer de plus belle en lançant mes dernières forces, car mes cuisses me faisaient mal ; mais quétait-ce sans doute au comparé de ses cris que jétouffai de ma main ; elle eut deux orgasmes presque consécutifs en me mordant et je finis par jouir moi aussi dans un grand cri de jouissance. Mon gland sortait de son trou démesuré et la première giclée de sperme atterrit sur ses fesses, avant que ma queue ne senfonce totalement et répande le reste au fond de son cul. Je plantai ma bite le plus profond possible en enserrant ses seins à lui faire mal, puis donnai des coups violents pour balancer ma dernière semence en lui collant la tête sur le divan que je maintins avec mon pied. Elle grimaçait de douleur et de plaisir à la fois et alors que je restai quelque temps dans cette position de domination, elle se mit, les yeux fermés, à lécher le sol de façon gourmande.
Je lui saisis alors les cheveux et amenai sa bouche vers mon gland sale de ses sécrétions. Elle ne posa aucune question et lenfourna tout de go, mais je forçai un peu sa gorge. Elle grimaça, puis je présentai le gland turgescent et sale devant ses yeux. Elle me regarda, moqueuse, puis mit deux doigts dans son cul, quelle ramena sale de ma semence ; elle les posa sur mon gland, et en me regardant, se mit à me sucer amoureusement.
Une fois quelle sembla lassée de son délicat nettoyage, elle retrouva soudain son allant, puis se releva en regardant sa montre. Elle réajusta son bustier avec un sein à moitié à lair, regarda son cul dans la glace, puis se mit à rire.
« Han, tas vu ça ? » gloussa telle. « Tas vu mon trou du cul ? Ys ferme plus
Quest-ce que tu mas mis !!! » Puis elle se rhabilla tranquillement, vint se coller à moi, membrassa longuement, avant de me déclarer, les yeux fatigués : « Tu mas vraiment bien défoncée de partout, tu sais ! Cétait bon ! On rmet ça demain ? »
Sans attendre ma réponse, elle repartit vers sa Porsche en roulant démesurément des fesses ; cest alors quelle croisa ma première cliente, la nana aux grosses miches venue le matin. Elles se toisèrent un instant, puis ma dernière conquête la regarda en souriant, se retourna et souleva sa jupe doucement ; elle entreprit décarter ses fesses quelle lui planta sous le nez. Son trou du cul était totalement défoncé et du sperme sen écoulait encore.
« Tu vnais pour le gros gland, Connasse ? Cest encore possible. Tas quà lécher mon trou du cul ! Puis elle partit sans plus se retourner sous le regard ahuri de ma cliente.
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