Berlin

Je vais vous raconter une aventure qui m'est arrivée cet été.
Pour me récompenser de la réussite du bac avec mention, mes parents m'offrirent une séjour d'un mois dans un pays de mon choix. Ils furent fort surpris d'apprendre que mon choix se porta sur Berlin.
- Mais tu ne sais pas parler allemand et tu ne connais personne dans cette ville !
Ce qu'ils ignoraient c'est que quatre mois auparavant j'avais rencontré un berlinois et je suis tombé fou amoureux de lui.
Aussitôt arrivé, je l'appelais pour lui annoncer que je ne suis pas très loin de chez lui. Il fut surpris et désappointé. Je compris plus tard qu'il s'est emménagé avec un autre garçon et qu'ils sont fou amoureux l'un de l'autre... Me voilà bloqué dans une ville inconnue sans connaître personne. Hans et son copain firent tout pour rendre mon séjour agréable. Ils me présentèrent à ses copains gay célibataires mais je n'avais pas la tête à une amourette. Ma pensée est encore obnibulée par cette douloureuse rupture. Je venais d'avoir 17 ans et, en dehors des amourettes de passage, je n'avais jamais aussi investi que dans cette relation. Il faut dire que l'intensité de notre brève histoire d'amour puis l'éloignement, l'absence, les mails ont cultivé ce fantasme. La déceprtion n'est que plus douloureuse.

Ce soir là, Hans avait organisé un diner chez eux avec des amis. J'avais beaucoup bu et, vers minuit passé, comme je n'avais pas le coeur à faire la fête, je décidais de rentrer. Hans se proposa de me ramener en voiture mais je refusais, prétextant qu'une petite marche me fera du bien, me désoûlera. En sortant de chez eux, j'ai marché un long moment avant de prendre le métro.
A cette heure tardive, il n'y avait personne dans la rame. A une station, un homme monta à l'autre bout du train. Il me regarda un long moment, marqua un temps d'hésitation avant de se diriger dans ma direction. Il vint s'installer, comme par hasard, en face de moi, plaçant ses jambes de part et d'autre des miennes.

Je fis semblant de lire mon magazine, tout en jetant un regard discret vers ses chaussures. En effet, les chaussures sont, à mes yeux, le reflet de l'hygiène des mecs. Un homme peu soigné peut s'habiller correctement mais a toujours des chaussures mal entretenues. Les siennes étaient parfaitement cirées.
Profitant d'un arrêt, je levai mes yeux comme pour vérifier la station. Nos yeux se croisèrent. Il me fit un charmant sourire que, par politesse, je lui répondis. Il commença par me parler en allemand.
- Je ne parle pas allemand, lui répondis-je en anglais.
Il est vrai que mon physique pouvait prêter à confusion. Né d'un père suédois et d'une mère française, j'ai hérité du côté paternel ce physique nordique. J'ai les cheveux blonds, longs jusqu'aux épaules, et les yeux bleus. Je mesure 1m75 pour 55 kgs. Je venais d'avoir 17 ans deux mois auparavant mais physiquement je parais beaucoup moins. Il est vrai que je joue beaucoup sur cette ambiguité. Mon aspect de petit garçon sage a toujours attiré les regards dans la rue et même au lycée.
Il engagea une conversation en anglais, conversation somme toute banale. Je lui répondai poliment mais assez sèchement, car il n'est pas du tout mon type de mec. J'ai toujours adoré les jeunes garçons de 20 ans, alors qu'il devait avoir un peu moins de quanrante ans. De plus, son look de cadre supérieur, son costume en lin beige à fines rayures tennis blanche, sa chemise de même couleu et sa cravate en soie, est tout ce que je n'aime pas. Sans compter les poils qui transparaissaient à travers sa chemise et son petit ventre naissant. Vraiment, il n'est pas du tout mon genre, même pour un soir...
Malgré mes réponses courtes, il continua à parler tout en se caressant très discrètement sa poitrine. Cela n'avait rien d'érotique et me répugnait même.
Au moment où je baissai les yeux, je fus surpris de voir l'énorme bosse qui se dessinait à travers son fin pantalon bien coupé et suffisemment près du corps. Il ne devait pas porter de sous-vêtement car son sexe est parfaitement perceptible, dans les moindres détails anatomiques. J'étais très gêné et, en même temps, très excité. Cette vision accentuait la grande confusion dans mon esprit. Il sentit mon émoi et serra son monstre dans sa main pour mieux me le montrer, pour mieux me faire évaluer sa grosseur. L'ambiance devenait électrique.
Puis, tout d'un coup tout s'accéléra. Il posa sa main sur ma cuisse. J'avançai la main pour le repousser quand il saisit violemment par les deux poignées et me tira fortement vers lui. Il avait une force incroyable. Il faut dire que sous l'effet de l'alcool et de la suprise, je n'étais pas de taille à lui résister. Je tombai à genou entre ses cuisses qu'il serra très fort, me tenant ainsi prisonnier. Il me tira par les cheveux, appuya fortement mon visage contre son sexe qu'il frotta violemment. Je fis un ultime effort pour m'en extraire mais impossible de bouger.
Il m'ordonna d'un ton viril :
- Lèches, je suis sûr que tu n'attends que cela!
J'aime sa manière autoritaire et dirigiste de prendre les choses en main. J'ai eu un flash sur une aventure similaire avec un de mes professeurs de première. Le souvenir m'excita. J'ouvris la bouche et croqua son sexe à travers le pantalon. Il me tira par les cheveux, ses yeux me regardèrent sévèrement, sans prononcer une seule parole. Il se souleva pour approcher son sexe de ma bouche. Je suis vaincu. Je commençai par lui lècher longuement, par le mordiller gentiment. Il commençait à gémir...
Il me repoussa, me fit asseoir par terre et se leva pour que je puisses continuer à le lècher. Son pied gauche s'appuya sur mon sexe qui bandait dur.

L'arrivée à une station l'obligea à d'arrêter. Il m'ordonna de me rasseoir. Un jeune allemand d'une vingtaine d'année monta avec sa bicyclette. Il resta à l'autre bout du wagon. De sa place, il ne pouvait que me voir, Selim lui tournait le dos. Il me regarda sans me regarder. Je tentai d'attirer son attention mais vainement. Selim remarqua mon regard. Il se leva, m'ordonna de me déplacer et s'assit à ma place. Il écarta ses cuisses de manière à bien montrer son sexe mouillé par ma salive. L'autre, visiblement gêné, ne détourna pas cependant son regard. Selim prit cela comme un encouragement, il prit ma main pour la poser sur son entrjambe.
- Caresses moi, m'ordonna-t-il.
Je regardai l'allemand qui me souriait. Une idée me vint à l'esprit. Avec son aide, je pourrai sans problème m'enfuir des mains de Selim. Je fis donc tout pour l'exciter. Je caressais sensuellement le turc sans le quitter du regard. Selim lui dit quelquechose en allemand. L'autre fit non de la tête, tout en caressant son sexe.
Selim descendit sa fermeture éclair et montra son sexe d'au moins 20 cm et de 5cm de diamètre. Il s'empara de mes cheveux et m'obligea de le sucer. Malgré mon expérience, j'avais du mal à avaler cette masse qui manqua de m'. Il me maintient la tête de ses deux mains et donna le rythme. Les va-et-vient se font de plus en plus vite, de plus en plus profondément dans ma bouche. Il me pillonna la bouche jusqu'au fond, j'étais à deux doigts de vomir. Mi suppliant les yeux pleins de larmes, J'arrivai à peine à respirer, j'étouffai sous ses coups de butoir, je le suppliai de me libérer, les yeux pleins de larmes. Plus je le suppliai, plus, il me l'enfonçait jusqu'au fond du gosier, intraitable, cruel mais si érotique. Je me rendis compte que plus je bavai plus cet énorme bite passait mieux. Je lui fis donc une pipe très mouillée, ma salive coulait sur son sexe. Malgré cela, je tentai de donner à cette fellation e un air de jouissane pour éveiller le désir chez l'allemand en le regardant langoureusement comme une salope. L'autre se contentait de se masser à travers le short, puis de sortir son sexe pour se masturber sans bouger de sa place. Selim était aux anges. Il gémissait de plus en plus fort. Il retira son sexe et jouit sur mon visage. L'allemand jouit lui aussi, remonta son short et descendit à l'arrêt suivant. J'allai descendre quand il me retenait :
- Restes là, dit-il d'un ton sec, de son autorité naturel. Je n'ai pas fini avec toi.

La suite une prochaine fois peut-être, si vous le souhaitez !!!