La Correspondante

Nous avions vecu plus d'une dizaine d'années dans le Sud de la FRANCE; quand nous en sommes partis les s etaient les plus tristes, surtout de quitter les copains et les camarades de classe ! notre fille ainée avait 16 ans quand nous sommes partis de Aix ; par courrier ou telephone elle a toujours maintenu le contact avec Carole une de ses amies Aixoise; mais sans jamais sans se revoir, malgré le temps qui s'ecoule elles se sont donnée des nouvelles regulierement... il y a peu, Carole fut invitée quelques jours chez nous; la jeune correspondante avait maintenant 18 ans; encore plus jolie qu'en photo : assez grande, mince, un charmant visage, les cheveux longs chatains-clairs, une epoustouflante paire de lolos ! a la maison Carole se revela d'une compagnie fort agreable, seviable et discrete la jeune-fille plaisait a tous... un apres-midi ensoleillé on partit faire du bateau, ma fille se mit seins nus pour bronzer, Carole l'imita; quelle beautée, la perfection incarnée, des nibards de reve, lourds et fermes mais pas trop gros, sans doute la + belle paire de " roberts " que j'ai vu dans ma vie ! je la devora du regard tout au long de la ballade. je la regarda nager, une vraie ondine; sur terre pour le plaisir de la chair, taillée pour la baise. si j'avais été seul sur le bateau je me serai branlé en l'admirant !
Le soir, lors du repas familial, j'avais Carole face a moi, bien que vetue d'un jean's et d'un T.shirt je la revoyai nue; quelle sublime vision.
Le surlendemain alors que ma fille etait avec son amoureux et ma femme partie avec les autres s pour la journée, je me retrouva seul avec la ravissante Carole; dans le jardin elle ecrivait une carte a ses parents ( touchant ). elle etait etendue sur le ventre en maillot de bain; quand j'avança vers elle j'avais pile son beau petit cul dans ma ligne de mire; je lui mena un panaché, Carole me remercia de son tres beau sourire.

je m'installa tres pres d'elle et entama la conversation avec un air naturel alors que j'avais a coté une splendide nana de 18 balais a moitié nue... Carole termina de rediger sa lettre puis but une gorgée de sa bouteille, pour cela elle se plaça assise en tailleur; simplement ,sans aucun calcul de ma part je posa ma main sur l'epaule douce de la jeune-femme, on s'embrassa; j'avais un de ces gourdins ! j'y palpa les nichons tout en lui caressant la chatte; Carole en tenue d'Eve sortit mon gros chibre et le branla... des que je fus nu a mon tour la minette se mit a me sucer le dard. salope ! elle pompait bien... je la poussa afin de l'allonger sur le dos, la contempla en train de se caresser le mont de venus, puis n'en pouvant plus je la penetra. cette cochonne avait mis ses pieds sur mes epaules et je la fourrai fond. Carole se tortillait sous moi en ronronnant de satisfaction pendant que je ne me lassai pas d'y devorer les mamelles. je prenai un super panard. j'aimai regarder le visage de Carole emplie de plaisir. j'arreta de limer pour la faire mettre a 4 pattes, elle profita pour reboire une gorgée de panaché; obeissante Carole se plaça dans la posture exigée; je regarda avec ravissement le magnifique cul que j'allai defoncer. j'encula la belle salope comme un veritable taureau, les hurlements de la mome n'y firent rien, au contraire... j'adorai ça ! je la sodomisa juqu'a ce que je sois pret a jouir. en ralant de plaisir, j'ejacula genereusement sur les beaux gros seins de cette salope de Carole ! A suivre...