Anthony, Christophe & Moi

Lors de mes activités professionnelles j'ai souvent l'occasion de voir de jeunes et beaux garçons tout juste sortis de l'adolescence.
Un jour arrive Anthony. Il a 20 ans, mesure 177 cm pour 68 kg. Ses cheveux sont bruns et il a les yeux bleu clairs. Son nez fin et légèrement retroussé ressort de son visage anguleux. Tout de suite j'en pince pour ce bel éphèbe au corps fin et élancé.
Tous les matins, lorsqu'il vient se faire examiner, j'essaye d'être à côté quand il enlève son pantalon. Il se déshabille lentement dégrafant son vêtement de façon minutieuse, avant de le laisser glisser le long de ses jambes aux nombreux poils bruns. Il garde son tee-shirt et son caleçon qui cache son sexe, mais ses fesses presque plates et allongées se plaquent sur le tissu.
Puis il se couche sur la table d'examen. A travers l'ouverture du sous-vêtement j'arrive parfois à distinguer ses testicules de bonnes dimensions à la peau foncée et garnis de longs poils noirs.
Je cherche à repérer son sexe, au moins l'extrémité du gland ou la chair du prépuce, sans résultat. Et lorsque je lui parle je ne pense qu'à ce que j'ai vu entre ses cuisses, et ce qu'elles peuvent encore contenir.
Un soir il arrive juste après la fermeture. Je suis seul, et il me demande d'examiner sa hanche douloureuse. Je lui fais enlever ses habits, lui demande de s'allonger et je me mets à sa gauche. Une fois couché il me montre là où il a mal, avec une caresse le long de sa cuisse.
Cette fois il porte un slip tanga qui fait ressortir les formes généreuses de son anatomie intime, et qui dévoile l'intérieur de ses cuisses ainsi que ses hanches.
Je pose ma main à côté de la sienne et ensemble nous parcourons sa cuisse, du genou jusqu'au bassin. Puis il se laisse aller à mon effleurement qui part de l'extérieur pour aller vers l'intérieur de sa jambe qu'il ouvre lentement.
Mes doigts se placent peu à peu près de son pubis, et mon pouce frôle l'excroissance tumescente, difficilement contenue par le tissu tendu.

L'érection penche vers moi, sur la gauche de son pubis et soulève l'étoffe, laissant entrevoir sa fraise décalottée.
Anthony ferme les yeux et succombe lorsqu'il sent mon doigt s'insinuer sous l'élastique pour effleurer son bout de chair sensible. Peu à peu ma main épouse la forme entre ses cuisses, et presse le tendre paquet presque gélatineux encore emprisonnée.
Dans un petit gémissement, il me demande de continuer et plaque sa main sur mes fesses. La pointe phallique commence à s'échapper, et le gland nu m'apparaît, comme un cadeau. J'insère ma main dans son slip pour le baisser sur le périnée, délivrant peu à peu la verge tendue en la prenant délicatement entre mes doigts.
Puis je me penche vers lui pour aller l'embrasser. Il me tend ses lèvres et nos bouches se collent, nos langues pénètrent nos cavités tournant l'une autour de l'autre. Ma main ne quitte pas sa trique que je masturbe langoureusement. Nos lèvres se quittent, se cherchent, se retrouvent, se mordillent. Il bouge sa tête dans tous les sens pour recevoir tous les baisers et les coups de langue dont je le couvre. Il pose sa main sur mon cou pour le caresser en le dirigeant vers son buste.
Je soulève son tee-shirt au-dessus de ses seins pour aller les chatouiller de ma langue avant de les prendre avec douceur entre mes dents.

Mes doigts ne quittent pas son entrecuisse, passent sous l'élastique pour finir de l'enlever. Mes lèvres et ma langue glissent sur son ventre, atteignent la toison pubienne et vont se perdre entre ses cuisses que je taquine longuement.
Offert à mes jeux de langue et mes caresses, il ouvre plus l'angle de ses jambes pour mieux les recevoir. Puis ma bouche passe sur ses testicules, les gobe, fouille toutes les parties cachées de l'anatomie virile et chaude d'Anthony. Remontant le long du cylindre charnu mes lèvres vont enserrer le gland turgescent que je commence à pomper avidement, non sans aller lécher de temps à autre la longueur du bâton raide.
Ma langue va tournoyer sur la moindre partie de son bassin, du pubis jusqu'à la naissance de ses fesses déjà humides d'excitation.
J'aide Anthony à dégager mon tee-shirt du pantalon. Il commence à caresser mon torse et mes tétons qu'il fait rouler entre ses doigts.
Mon visage continue de tourner autour du membre, dont je vais sucer les environs, enfouissant mon nez entre ses cuisses moites de désir. Ma langue va titiller dans des mouvements circulaires ses testicules que j'enfourne dans ma bouche.
Nous enlevons nos tee-shirts, la main de l'adolescent dégrafe mon pantalon, baisse mon slip sous mes fesses et prend mon vit droit d'excitation.
Il soupèse mes bourses avant d'entamer de lents massages le long du membre. Ma bouche s'active autour de son sexe que j'avale profondément.
Mon pantalon glisse le long de mes jambes. Il attire mon bassin à hauteur de son visage, porte la pointe de mon gland à ses lèvres et entame un pompier que j'agrémente de va et vient.
Ma main restée autour de sa queue continue de branler et de malaxer la base et ses couilles. Ses doigts courent le long de mon manche, tandis que je couvre son sexe d'une capote.
Je me débarrasse de mon slip et je viens m'agenouiller au-dessus de lui. J'écarte mes fesses avec mes doigts, il pointe son gland turgescent à l'entrée de ma grotte, et lentement je descends vers son pubis. Son gland force mon anneau qui cède peu à peu.
Avec un gémissement de plaisir je continue à progresser jusqu'à sentir l'extrémité entièrement en moi. Puis je remonte un peu pour mieux élargir le passage et je continue d'un mouvement continu mais lent à m'empaler le long de son sexe chaud et dur. Une fois sa fusée de chair a moitié introduite dans ma caverne, je lâche mes fesses et pose mes mains sur ses cuisses pour rester droit au-dessus de lui afin qu'il me pénètre mieux.
Ses mains viennent caresser et pétrir mes hémisphères écartés, il passe un doigt à l'intérieur de la faille qui les sépare avant de venir agacer mes hanches, mon ventre et mes seins qu'il pince délicatement. Son sexe m'emplit de plus en plus, au fur et à mesure de mes va et vient.
Nos halètements et nos gémissements en disent long sur notre plaisir. Mon cul se colle à ses cuisses lorsque je suis au plus bas et j'ondule de la croupe pour mieux le sentir. Mon sexe et mes boules frottent alors son ventre que ma main cajole. Une de ses mains branle ma trique, tandis que je me baisse pour aller joindre nos lèvres.
Après un long baiser, et de caresses tendres, il se redresse pour nous faire pivoter. On fait en sorte de laisser nos pubis collés pour que sa queue reste plantée en moi. Il me met sur le dos, je lève mes jambes à angle droit tandis qu'il entame de langoureux mouvement de bassin entre mes cuisses ouvertes.
Mes mains peuvent maintenant pétrir à volonté sa croupe fendue, aller choyer sa pastille anale dont l'anneau cède peu à peu sous la pression de mes doigts qui s'y engagent.

A genou au-dessus de moi, il me besogne avec de plus en plus d'ardeur. Je le sens me prendre plus profondément, tant et si bien que ses couilles viennent buter mon entrefesse lorsqu'il est enfoncé en moi son pubis collé au mien écrasant mon pénis. Nos poils crissent sous la friction.
Nos odeurs de sueur se mêlent au parfum musqué de nos sexes. Mon ventre s'humecte du liquide qui s'échappe de mon gland.
Puis il s'assied sur ses pieds, arquant le bassin. Il me fait relever la croupe pour rester en moi. Mes cuisses passent au-dessus des siennes, et mes pieds derrière lui. J'ondule du bassin pour le sentir aller et venir au fond de moi. L'excitation augmente, et je commence à me branler de plus en plus fort.
Soudain le téléphone sonne. C'est Christophe, le beau garçon aux cheveux "jaunes" qui me dit avoir une petit envie. Je lui explique que je suis déjà occupé avec Anthony, mais que s'il veut se joindre à nous ça ne pose aucun problème.
Lorsqu'il entre Anthony est toujours fiché en moi et s'active de plus en plus vite dans mon fourreau anal.
Sans plus attendre Christophe se déshabille et se met à côté de nous debout. Je commence à lui caresser les fesses tandis qu'il échange un baiser profond avec Anthony qui lui att une cuisse pour lui ouvrir les fesses. Je bouge davantage mon cul pour sentir la queue me pénétrer plus loin.
Anthony me fait mettre à quatre pattes sur la table. Christophe s'allonge perpendiculairement sous moi pour venir me sucer. Mon bienfaiteur replonge dans mes entrailles se laissant malaxer le paquet par notre compagnon qui réclame aussi le dard endurant d'Anthony. Je reste allongé tandis qu'ils se mettent debout. Christophe pose une jambe sur la table pour mieux ouvrir sa vallée intime.

Anthony, derrière lui commence à s'enfoncer dans l'intestin, millimètre par millimètre. Puis il entame de vigoureux va et vient qui pourfendent le trou de Christophe qui reprend mon sexe en bouche. Les reins puissants d'Anthony secouent Christophe qui halète de plaisir. J'ouvre les cuisses pour accueillir le vibro que l'adonis blond introduit dans ma rosette béante.
Tous au comble de l'excitation, nous remuons nos bassins, nos queues sont branlées entre nos doigts, nos fesses ou dans une bouche.
C'est dans un halètement uni que nous jouissons. Mon sperme se déverse dans la bouche de Christophe qui éjacule sur ma toison pubienne et mon sexe tandis qu'Anthony expulse son abondante liqueur sur les fesses et les reins de notre acolyte.
Exténués mais comblés nous nous enlaçons tous les trois en nous embrassant et caressant nos parties engluées de nos crèmes de vie afin d'y goûter chacun à notre tour.