Délicieuse Pause Café
Du haut de mes 22 ans, je viens juste de finir mes études et en attendant de trouver un travail, jai été obligé de revenir vivre chez mes parents. Comme mes deux parents travaillent, je reste seul une grande partie de la journée, à flâner, récupérant de la dure année qui vient de sécouler.
Malgré la fatigue, je me levais de bonne heure comme à mon habitude pour profiter au maximum de mes journée de repos. Même si je navais rien à faire de spécial, je me délectais de savoir que je naurais absolument rien à faire de ma journée.
Ce matin là, je finissait de mhabiller lorsque le bruit strident de la sonnette viens agresser mes tympans, me permettant doublier létat comateux dans lequel je baignais depuis maintenant deux longues heures. Je finissais de mhabiller avant daller ouvrir la porte. Cétait mon oncle qui avait décidé de venir rendre une petite visite. Nous commencions donc à discuter autour dun café et de quelques gâteaux.
Pour ses cinquante ans, cest encore un très bel homme. Il mesure environ 1m90, les cheveux grisonnant et de magnifiques yeux vert. Son petit embonpoint nenlève rien à son charme qui ma toujours fait succomber.
Jusquici, rien ne sest encore passé entre nous, malgré lambigüité de notre relation. Depuis deux ou trois ans déjà, lorsque nous sommes à la même table, nos jambes se frôlent systématiquement, ne rendant que lattraction que jai pour lui encore plus intense. Est ce moi qui me fait des idées, ou est ce quil en a autant envie que moi ! Malheureusement la présence de sa femme et de ses s ne nous a jamais permis daller plus loin
Alors que nous discutions autour de ce café, Georges (mon oncle) sen renversa malencontreusement sur le pantalon. Je lui proposais alors de lui prêter des vêtements de rechange. Il accepta, non sans quelques hésitations puis me suivi à ma chambre. La il commença à se déshabiller face à moi. Il enleva son jeans, laissant apparaître un boxer visiblement bien garni.
Alors que je lui donnai un nouveau jean il me demanda de lui prêter un caleçon, car le sien étai humide. Je me retournai alors pour attr un calecon dans larmoire. Lorsque je refis face à lui lengin moulé par son calecon, avait doublé de volume. Sans dire mot, je lui tendi le calecon, en esquissant un petit sourire.
Mon excitation était telle que même mon jean ne pouvait la cacher. Je mapprochai alors doucement de lui, et commencait à lui caressait ce magnifique engin
la suite à la prochaine histoire
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