Le Mariage De La Princesse
Après la célébration des fiançailles, le jeune roi se lança dans les préparatifs du mariage. Outre les festivités elles-mêmes, il élabora un plan pour se venger de la frustration dans laquelle la princesse sa fiancée lavait laissé. A chaque fois quil repensait aux fiançailles, une rage incontrôlable se mettait à bouillir au fond de lui, mêlée à une étrange excitation. Il sentait peser sur lui les regards des hommes de sa suite qui avaient été présents, à la fois moqueurs, envieux et curieux de voir son attitude lors de la prochaine rencontre.
Souvent, le soir, le roi sortait le portrait de la princesse et scrutait ce visage si régulier, qui ne laissait rien présager de lardeur qui habitait la jeune fille. Un premier mouvement de tendresse faisait place à la colère de lhumiliation, sa respiration saccélérait, il revoyait ses seins dalbâtre, son petit ventre ferme, sa taille souple, ses fesses rebondies, ses cuisses qui sécartaient, dévoilant un petit bouton de rose qui ne demandait quà être caressé, effleuré par des lèvres brûlantes
Et aussitôt, le roi se reprochait cette comparaison. Linnocence dune fleur non encore éclose navait pas de commune mesure avec lattitude de la princesse, qui, de toute évidence, avait bien plus dexpérience quil ne convenait. Il limaginait dans ses appartements, découvrant le corps dune de ses suivantes, sentant le plaisir monter dans le sien. Il imaginait des laquais se prêter à leurs jeux libertins, imaginait la princesse risquer sa virginité. Combien dhommes avaient posé les mains sur celle qui allait devenir sa femme ? La nuit, la fièvre le prenait et dans un délire il voyait le corps de la princesse étendu sur un lit, tâté par des mains, parcouru de traces humides laissées par des langues, il voyait ce corps frêle retourné, voyait une main sabattre sur la courbe de ses fesses.
Il bandait comme un cheval, et plusieurs fois, ses propres mains ne parvenant pas à le soulager, il dut faire venir des femmes de chambres quil baisait rageusement sans pouvoir chasser de son esprit les visions qui le hantaient.
Il naurait jamais pensé que mariage pût rimer avec vengeance.
Le grand jour arriva. Il organisa la réception en petit comité, comme il lavait fait pour les fiançailles. Les tables étaient installées en U, dans le salon du roi. Derrière les tables, il y avait toujours limmense lit à baldaquin, mais en face, il avait fait installer un énorme miroir.
La princesse fut amenée au palais. Conformément à la tradition du royaume, ses parents assistèrent à la bénédiction et au vin dhonneur, puis repartirent. Au moment de leur départ, la mariée était à la merci de son nouvel époux.
Le dîner se passa dans une allégresse mêlée dune agréable tension : tous se souvenaient des fiançailles. La princesse avait encore ce regard franc quelle ne baissait jamais, mais elle ne semblait pas intimidée à la perspective de sa nuit de noces. Quant à sa suivante Lisette, elle discutait avec tout le monde le plus naturellement du monde, comme si on navait jamais vu son corps nu.
Le roi se plut à ignorer sa jeune épouse ; elle portait sur lui des regards amusés, attribuant son silence à de la timidité. Cependant, au milieu du repas, il se mit à lui lancer des regards glacés. Elle commença à être déconcertée.
On arriva au dessert. Le roi se leva et prit la parole pour souhaiter la bienvenue à la princesse.
« - Il va de soi, Madame, conclut-il, que jai pensé à vous ces derniers mois. Ces pensées mont donné envie de vous offrir un cadeau. Vous aimez les diamants, je crois ?
- Comme toutes les femmes, Monsieur.
- Eh bien, que ce collier soit le symbole de léternité de mes sentiments. »
Il lui tendit un écrin, quelle ouvrit précipitamment. Son sourire sévanouit. Cétait certes un collier serti de diamants et de pierres précieuses. Mais cétait surtout un collier pour chien. Le roi le saisit et le passa autour du cou de la princesse, sous les sifflements de lassemblée.
- Ce cadeau ne vous plaît pas, Madame ? Cest peut-être parce quil y manque quelque chose.
La princesse se leva. Ses joues sétaient empourprées et son regard avait enfin glissé au sol. Elle ne regardait plus personne.
- Madame, en mépousant vous avez fait de moi votre seigneur. Vous me devez obéissance.
La voix douce du roi ne tolérait aucune réponse. Dune voix tremblante, la princesse appela Lisette. Celle-ci délaça sa robe, qui glissa à terre sous les applaudissements de la suite du roi. La princesse ne portait plus maintenant quune courte chemise blanche presque transparente.
- Lisette, tu peux te déshabiller aussi.
La suivante obéit, et, en sous-vêtements, se plaça dans un coin de la pièce.
Le roi sadressa à nouveaux à la princesse :
- Madame, je voudrais que tout le monde ici vous admire. Mettez-vous à quatre pattes.
La princesse lui jeta un regard implorant. Il ne se laissa pas fléchir.
- Maintenant.
Elle obéit. Il la mena ainsi dun bout à lautre de la table, à quatre pattes et en laisse. Les mains de ses hommes se tendirent, ils lui caressèrent le dos, la taille, les fesses. Certains, plus hardis, les lui pincèrent ou lui assénèrent de petites fessées, ce qui lui arracha des grognements. Le roi fut satisfait de ce spectacle. Il mena la princesse au centre de la pièce, face au miroir.
- Restez comme ça.
Il retourna sasseoir comme si de rien nétait. La princesse resta dans cette position, les fesses tendues vers lassemblée, le visage présenté dans le miroir. Sa chemise était très courte et découvrait sa petite chatte, que lon devinait humide malgré la situation humiliante de la jeune mariée. Lencolure de sa chemise retombait aussi et laissait entrevoir ses seins lisses, dont les tétons évoquaient des baies sauvages.
- Madame, vous mavez désobéi. Tout le monde ici en est témoin. Que lassemblée juge : doit-elle être punie ?
- OUI ! crièrent les hommes à lunanimité.
Le roi releva la chemise de la princesse sur ses reins, découvrant ses fesses douces et blanches, et y abattit violemment sa paume. La princesse gémit de douleur et de surprise.
- Regardez-vous dans le miroir, ordonna le roi.
Une deuxième fois, sa main vint cingler les fesses de la princesse. Une troisième et une quatrième fois, il claqua ce petit cul dont désormais il pouvait faire ce quil voulait. Des larmes de honte apparurent dans les yeux de la princesse, ses fesses rougirent sous les coups, mais lorsque le roi passa la main entre ses cuisses, il remarqua que la situation lexcitait. Lui aussi commençait à bander. Il se plaça devant la princesse et lui ordonna de le sucer. Les larmes aux yeux elle approcha la bouche de son sexe tendu et lavala.
- Mieux que ça !
Elle le suça plus vite, le faisait disparaître entre ses lèvres, tout en jouant de sa langue habile. Toute la rage que le roi ressentait éclata.
- Ah, oui, tu suces bien, tu as bien appris à sucer ! Puisque cest comme ça je veux en faire profiter qui veut !
Il se retira de sa bouche, et lui asséna encore quelques claques sur les fesses. Un baron de sa suite sétait levé et présenta sa grosse queue à la jeune mariée.
- Va-z-y, suce-le, et avale bien tout son jus.
Il alla attr Lisette dans le coin où elle se tenait, et la mit à genoux. Il se branla dans sa bouche en regardant sa femme sucer un autre homme. Parmi les convives, une excitation naissait, qui poussa des couples à se former. Le roi se retira de la bouche de Lisette et la renversa sur la table de banquet.
- Ne vous en faites pas, je moccuperai de vous bien assez tôt.
Il pénétra Lisette et la baisa, observant toujours la princesse.
Le baron respirait plus fort, et cracha son sperme dans la bouche de la princesse ; celle-ci avala tout, grimaçant à peine.
- Cest bien. Au suivant ! Vous en voulez dautre, nest-ce pas, Madame ?
- Oui, Monsieur, je veux dautres queues.
Un comte arriva vers la princesse. Il la mit debout et plongea la main dans son décolleté, lui pinçant les seins. La princesse ferma les yeux et gémit. Il se mit à genoux à son tour, et lécha le bouton de rose de la princesse. Elle semblait sur le point de défaillir. Il goûta à la rosée qui sécoulait delle et la força à reprendre sa position davant. Cette fois, elle némit aucune protestation. Elle ouvrit volontiers la bouche pour y accueillir le glaive quil venait de dégainer. Le roi, excité par ce spectacle, donnait toujours de grands coups de reins à Lisette, qui gémissait et soupirait de plus en plus fort. Le comte, se plaça derrière la princesse et pressa son gland mouillé de salive contre elle.
- Monsieur ! cria la princesse affolée.
- Laissez-vous faire, Madame. Mes hommes ont reçu des ordres. Ils ne prendront dassaut que ce que vous avez déjà donné. Vous resterez aussi vierge que vous lêtes jusquà ce que jen décide autrement.
Le conte poussa, donc pour entrer dans son petit trou. Des perles de sueur apparurent sur le dos de la princesse, tandis quun autre homme sapprocha delle pour être sucé. La princesse saccrocha à lui, et fit disparaître son autre main au creux de ses cuisses. Le conte passa lobstacle et senfonça en elle. Elle eût hurlé, si lautre sexe ne lavait pas bâillonné. Lisette cria à sa place, et le roi sentit son sexe mouillé se contracter sur lui. Ce contact acheva de lexciter. Il se pencha sur elle, lui mordit les seins et jouit. Puis il lui glissa à loreille :
- Tu es une petite salope, comme ta maîtresse
Il la jeta vers les autres convives, où elle ne tarda pas à tomber à genoux devant un homme du roi.
Le roi quant à lui sapprocha de sa femme. Les hommes se retirèrent delle. Le roi la souleva et lui enleva la chemise. Puis il la mena, toujours en laisse, vers le lit. Elle sy allongea, et il fixa la laisse à lun des montants. Puis il sallongea près delle. Elle le regarda droit dans les yeux et fit glisser sa main entre les jambes. Il lui saisit les poignets et les maintint au-dessus de sa tête. Puis il se pencha sur sa poitrine et lécha ses tétons. Elle écarta les cuisses et souleva son bassin. Il serra un téton avec ses dents, lui arrachant un petit cri aigu. Lui entravant toujours les poignets dune main, il fit signe à Lisette de lautre. Cette dernière sapprocha. Sa langue rejoignit celle du roi sur la poitrine de la princesse qui respirait fort, soulevant encore le bassin, et montrant à tous sa chatte luisante et ouverte comme une fleur pour accueillir le roi. Les langues du roi et de Lisette tournèrent autour des tétons de la jeune file, puis celle de Lisette descendit le long de son ventre, et recouvrit enfin sa précieuse perle, cet endroit quelle avait tant choyé, tant caressé de ses doigts en imaginant son futur époux.
Le roi léchait et mordillait lun des tétons, et tordait lautre entre ses doigts. Sa jeune épouse était au supplice, et ses cris de désir attirèrent les regards de toute lassemblée. Elle se livrait à la langue de Lisette et suppliait le roi de la prendre.
- Alors, vous aimez la luxure, Madame ?
- Oui, oui Monsieur.
- Vous voudriez sentir un homme en vous ?
- Oui, je veux vous sentir me limer, je veux que vous me remplissiez.
- Tu es une belle cochonne. On te fait mouiller là ?
- Oui.
- Quest-ce que tu aimes ?
- Jaime quon me lèche, jaime sentir des mains sur mes seins, jaime quon me morde. Je voudrais jouir sur vous.
- Tu as aimé les bites de mes hommes ? Tu aimes ça, avoue.
- Oui, Monsieur, jaime la bite, mais je ne veux appartenir quà vous !
Le roi demanda à Lisette de les laisser. Il porta la main sur lendroit mouillé de jus damour et de salive, et caressa doucement la petite pierre précieuse. Puis il glissa négligemment le long de la fente quelle désirait tant lui offrir. Elle se mordit les lèvres jusquà faire jaillir une goutte de sang. Il lembrassa, et fit glisser un doigt en elle. Le souffle lui manqua, elle sentait en elle le doigt de son époux, et contre elle son sexe dur et plein de désir pour elle. Un deuxième doigt simmisça dans sa grotte secrète, que personne, pas même elle, navait encore visitée. Elle le regarda et supplia encore :
- Sil vous plaît !
Il retira ses doigts et les lui fit lécher. Puis il vint sur elle. Elle sentit son gland, doux et lisse chercher le chemin pour entrer en elle. Il neut aucun mal à senfoncer en elle, et cette proximité leur fit pousser à tous deux un soupir en même temps. Il lâcha ses poignets, passa la main dans son dos et la serra contre son torse pendant quil la prenait, doucement et fermement à la fois. Elle mordit son cou, griffa son dos, se cambra, tant la sensation qui lenvahit était violente. Elle sentait le bas de son ventre frotter ce qui avait été jusque-là le centre de son plaisir. Un frisson sétendit sur tout son corps, et alors quil prit encore son téton entre les doigts, elle eut limpression de perdre connaissance. Elle serra les muscles de sa chatte pour mieux le sentir, et il gémit à son oreille. Il bougea en elle plus rapidement, et, dune voix rauque, lui dit :
- Petite pute, quest-ce que jai bandé en pensant à toi et à ton petit cul.
Il accéléra encore la cadence, elle se cramponna à lui. Elle le sentait tellement en elle, elle sentait tellement les regards des autres sur eux, elle se sentait tellement couler sur lui, quelle mordit son poignet, répétant quelle allait jouir sur se grosse bite. Et lui, ne pouvant plus retenir son excitation, jouit au fond delle, tandis quelle hurlait de plaisir, tout son corps secoué de spasmes voluptueux.
Après cette explosion parfaitement synchronisée, les convives fascinées ne purent sempêcher dapplaudir, et ces applaudissement se confondirent lespace dun instant avec une légère claque que la princesse administra aux fesses du roi. Ils se regardèrent en riant.
Cest ainsi que le roi trouva une femme à son image, et quils régnèrent en parfaits égaux sur le royaume, préférant lamour à la guerre et gouvernant à limage de leurs jeux : se soumettant en désirs de leur peuple, et le soumettant à leurs décisions.
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