L'Éducation 1Ère Partie
L'éducation dune salope.
Chapitre 1
Je mappelle Victoria, et voici mon histoire.
Jétais une jeune fille un peu naïve qui ne connaissait pas grand-chose sur les affaires du sexe. Javais eu quelques flirts et même un amant qui avait perdu son pucelage en même temps que moi. Nous ne sommes pas restés très longtemps ensemble et je nai pas gardé un souvenir impérissable de cette première expérience sexuelle.
Puis jai quitté ma province pour la capitale afin dy poursuivre mes études supérieures. Comme mes parents nétaient pas très aisés, je devais absolument trouver un job qui me permette des payer mes études et mon logement. Je ne suis inscrite dans une association qui «plaçait» les étudiants. Jai atterrie dans une famille qui contre quelques heures de ménage laissait à ma disposition une chambre, plutôt agréable, par ailleurs avec une salle de bain particulière. Il sagissait de la chambre de leur fils qui faisait ses études à létranger. Ce studio était au rez-de-chaussée de la villa et avait une entrée individuelle. Une porte de communication permettait laccès dans leur appartement (sur deux niveaux)
Ce couple était un peu plus jeune que mes parents. Lui était avocat et elle juge dinstruction et comme je faisais des études de droit, «ça tombait bien», mavaient-ils dit.
Mon travail nétait pas trop pénible. Sophie et Bertrand nétaient pas souvent chez eux, car en dehors de leur étude, ils donnaient aussi des cours à la fac. La seule vraie contrainte était le repas mensuel au cours duquel ils recevaient leurs relations. Ce jour là, ils tenaient à ce que je serve à table et ma tenue devait être parfaite. Sophie mavait acheté une jupe noire très stricte, un chemisier blanc, un petit tablier en dentelle blanche et une paire descarpins noir aussi. Moi qui ne portais que des jeans, javais limpression dêtre déguiser. Mais Sophie et Bertrand étaient intransigeants sur ce point. Ils étaient issue tous les deux dune famille de la grande bourgeoisie et ce genre de détail avait pour eux une grande importance.
Cela faisait maintenant deux mois que jétais chez eux et je my sentais bien. Bien quun peu réservée au début, leur gentillesse avait eu raison de ma timidité. Je nirai pas jusquà dire que je me sentais chez moi, mais jétais bien. Leur villa se situait au milieu dun grand parc dans le fond duquel ils avaient fait construire une piscine couverte, un sauna et une chambre de repos. Comme ils partaient quasiment toujours en week-end dans leur maison de campagne, Sophie et Bertrand mavaient autorisé à lutiliser durant leur absence. Ils rentraient en général vers 19 heures et soccupaient eux même du repas du soir, la cuisinière nétant à la maison quen semaine.
Je passais donc tous mes week-ends dans la dépendante au fond du parc. Javais limpression dêtre aussi un peu en vacances. Souvent après le sauna, jallais me baigner nue dans la piscine. Jaimais le contact de leau sur ma peau, et comme à cette époque je navais pas de petit copain, je me donnais du plaisir toute seule sur un transat au bord de la piscine.
Ce jour là cétait mon anniversaire. Le matin javais été chez le traiteur où mes «patrons» se servaient pour macheter un demi-homard mayonnaise, un soufflet au foie gras et une bouteille de champagne. Puis chez le pâtissier, je métais offert un gâteau au chocolat. Vers midi, mes parents mavaient appelé pour me souhaiter un bon anniversaire. Après avoir parlé un moment avec eux, je me suis préparée un plateau avec mon repas fin et je me suis installée au bord de la piscine. Jai dégusté mon homard, mon foie gras et enfin mon gâteau au chocolat, le tout bien arrosé de champagne.
- A toi, Victoria, à tes 21 ans.
Dans laprès midi, après une petite sieste, je me suis réveillée avec le cafard. La journée était pourtant belle, il faisait encore beau pour la fin du mois doctobre, et même presque chaud.
- Humm, cest bon. Tu sais que tu es une petite cochonne ? Tu aimes ça te masturber hein ? Bien sur tu préfèrerais un homme mais faute de mieux
! Allez ma fille fais toi du bien
hummm
Cest alors que je sentis une bouche semparait de mon sein pendant quune main prenait possession de lautre. Jouvris grand les yeux et je vis penchée sur moi, Sophie qui ne titillait la poitrine
Je navais entendu personne rentré. Jallais hurler, quand une troisième main se plaqua sur ma bouche et jentendis la voix de Bertrand :
- Ne crie pas ! de toute façon, personne ne peut tentendre. Tu voulais un homme et bien tu vas être exaucée et en prime tu auras aussi une femme. Tu as déjà fait lamour avec une femme ? Peut-être que tu ne las pas fait non plus avec un homme ! Mais vu la manière dont tu te tripotes, je sens que tu vas aimer ça ! pas vrai chérie ?
- En effet, cette jeune Victoria ma lair dune sacrée salope, dit Sophie en lâchant mon sein un instant.
- Comme tu y vas
elle me semble un peu cochonne, mais salope, là tu ne peux vraiment pas dire ça.
- Je te dis quelle à un potentiel de salope et crois moi, je my connais, tu devrais me faire confiance. Rappelle-toi Katy, il y a deux ans, quand elle est arrivée ici et Claudie, Fiona et Lila avant elle Au début elles jouaient les saintes nitouches et après trois ou quatre séances, elles se sont révélées être de vraies chiennes. Dailleurs nos amis en ont été très contents et pourtant ils sont exigeants sur la qualité de la marchandise.
Bertrand avait toujours sa main sur ma bouche et de lautre il me maintenait fermement aidé en cela par Sophie qui avait abandonné ses caresses pour parler «marchandise» avec son mari. Jessayais de me débattre, mais à deux contre une, javais perdu davance, dautant que les caresses de Sophie venant juste après les miennes mavait enlevé de ma vigueur, elle reprit :
- Bien sûr, il va falloir léduquer un peu, on ne va pas pouvoir la lâcher toute neuve dans un de nos diner mensuel. Mais il faudra être rapide car nos amis commencent à simpatienter. Cela fait deux mois que nous ne leur avons rien mis sous la dent. Bien sûr durant nos vacances dans le Sud, ils ont pu profiter de Katy, qui a bien voulu rester avec nous malgré lobtention de ses diplômes. Elle avait pris goût à nos petites perversions et puis, grâce aux relations quelle sest faite chez nous en deux ans, elle a pu ouvrir son étude de notaire à Aix en Provence. Elle est la quatrième fille à qui on a mis le pied à létrier. Elles ont toutes étaient parfaites à tous points de vue, autant durant leur séjour chez nous quune fois quelles ont été installées dans la vie.
- Cest vrai on a eu de la chance, Maitre de Chazot me le disait encore hier :
- «Vos soubrettes sont impeccables, toujours disponibles, prêtes à satisfaire le moindre de nos désirs. Quel est votre secret ?
- Nous savons les choisir, enfin surtout Sophie. Elle les repère du premier coup dil.
- Voilà un sacré cochon ce de Chazot. Fiona avait un faible pour lui. Faut dire quil a une bite remarquable, quel engin ! Quand tu te prends ça entre les cuisses, tu passes un sacrément bon moment.
- Toi aussi tu laimes bien la queue de Maitre de Chazot ! Je lai bien vu la dernière fois chez lui. Il est venu tenculer pendant que tu suçais sa femme, tu avais lair dapprécier.
Je nen croyais pas mes oreilles. Jétais choquée dentendre ce que jentendais et en même temps une chaleur envahissait tout mon corps. Jétais tellement abasourdie que mon corps sétait décontracté et que je ne songeais même plus à me débattre ni même à crier. Dailleurs comme lavait si bien dit Gilles personne ne maurait entendu. Sophie a du le sentir, car elle a relâché son étreinte et à commencer à me fouiller lentre jambe.
- Quest-ce que je tavais dit ! nos histoires ont émoustillaient cette petite pute, elle mouille comme une chienne en chaleur. Touche !
- Tu as raison ! Alors sale petite vicieuse ! ça texcite les histoires de cul ! tu as envie de gouter à ma bite ou tu préfères le con de Madame la Juge ?
- Présente-lui plutôt ton gourdin, moi je vais moccuper de son délicieux minou. Elle est déjà partiellement épilée, je vais pouvoir la sucer à mon gré. Puis sadressant à moi : demain je prendrai rendez-vous pour toi avec lesthéticienne pour une épilation intégrale, elle sait ce quon aime, elle fera ça parfaitement. Allez, petite Victoria, maintenant tu vas être sage et tu vas bien sucer la queue du plus grand avocat du barreau, cest drôle ça, le barreau ! tu vas voir le sien va te remplir la bouche.
Comme je nouvrais pas la bouche :
- Allons, ne fait pas ta mijaurée, tu réclamais un homme tout à lheure, et bien maintenant tu las. Ouvre la bouche et suce avant que je ne me mette en colère.
- Ne la brusque pas, elle va y venir. En général les femmes aiment bien ma bite, il ny a pas de raison que celle-ci soit différente des autres. Mais peut-être quelle ne la jamais fait ! Tu as déjà sucé un homme ?
- Non !
- Tu vois Sophie, cest une vraie novice ! On va pouvoir l'éduquer correctement. Elle est pure !
- Tu ne vas pas nous faire croire que tu es vierge ?
- Non, jai déjà eu un copain il y a un an et demi, mais nous navons jamais fait ça.
- Montre lui comment on doit sy prendre.
Sophie ne mit à genoux devant son mari et après quelle lui ait enlevé son pantalon et son caleçon, elle commença par lui léchait la hampe comme pour un bâton de glace. Quand la queue de Gilles fut bien raide, Sophie se lenfourna dans la bouche et fit des mouvements davant en arrière, simulant la pénétration.
-A toi maintenant. Jallais me mettre à genoux à mon tour. Non, reste allongée Gilles se débrouillera pour te fourrer son «barreau» dans ta bouche de petite garce. Pour moi se sera plus facile de te sucer si tu restes sur le transat.
En moins de temps quil ne faut pour le dire, je me retrouvais avec la bite de mon patron dans la bouche pendant que ma patronne ne titillait le bouton, fourrait sa langue dans ma caverne. Je navais jamais rien ressenti de pareil. Jétais partagée entre la honte et le plaisir. Jétais sur le point de jouir, mais la honte retenait mon orgasme.
- Laisse-toi aller, Vicky. Ne pense plus à rien. On ne veut que ton bien et le notre.
Elle me parlait comme une mère parle à son , pour laider à franchir une étape difficile. Puis sadressant à Gilles :
- Tu viendras que je te finisse, tu ne vas pas jouir dans sa bouche la première fois. Il faut lui laisser le temps. Aujourdhui elle doit accepter de jouir devant des quasis inconnus. Ça nest pas évident. Allez ne te retiens pas, il ny a pas de mal à se faire du bien
Jouir ? quy a-t-il de plus beau dans la vie ?... Allez, viens
Entre chaque phrase dencouragement elle reprenait sa succion. Bientôt elle ne sarrêta plus et cest Gilles qui continua à me parler pour me détendre.
- Tu es une bonne fille, tu suces déjà pas mal pour une débutante. Je tapprendrai, je texpliquerai ce quun homme attend de la fellation. Pour aujourdhui, contente-toi de te laisser aller à la jouissance que te donne Madame la Juge. Elle est parfaite, toutes nos amies le disent. Elle suce divinement bien.
Tous ces encouragements eurent raison de ma honte et je me laissais aller à une jouissance comme je nen avais jamais connue jusque là. Il faut dire que ma vie sexuelle ressemblait plutôt à un désert.
- Ouiii ! cest bon, encore Sophie, sucez-moi encore, hummmm ! je perds la tête
Ahhh ! ahh !
- Vas-y ma salope, crie, hurle ton plaisir, libère toi. Tu aimes ce que te fais Madame la Juge ? Alors dit-le ! dit que tu es une sale petite pute qui aime se faire sucer !
Gilles mencourageait et Sophie ne lâchait pas mon entrecuisse.
- Alors dit-le ! Répète après moi : «Je suis une petite pute et jaime ne faire sucer par Madame la Juge»
- Je suis une petite pute
Ahhhh ! et jaime que Madame la Juge me suce. Ahhh !
Ma tête était en train dexploser quand Sophie vint me rouler un patin où se mêlait le goût de sa bouche et celui de mon nectar. Jétais vidée, je ne savais plus où jétais ni qui jétais. Mon esprit mavait quitté. Ma personne se résumait à ce clitoris qui venait de jouir comme un malade, à peine si jai entendu les râles de Gilles que Sophie finissait dastiquer avant quil ne la prenne là devant moi et quelle jouisse à son tour.
Puis doucement, ils maidèrent à me relever et chacun à leur tour ils membrassèrent tendrement sur la bouche. Ensuite sans prendre le peine de nous rhabiller, nous avons traversé le parc dans la fraîcheur de cette fin de journée automnale, nus comme au jour de notre naissance, dans les bras lun de lautre, Sophie et Gilles mentourant de leurs bras oserai-je dire protecteur.
Mon éducation de salope commença dès le lendemain.
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