Leslie Transexuelle Chapitre 36
CHAPITRE 36 Au travail, Claire lassistante.
Dans le cabinet darchitectes dans lequel je travaille, celui de Jacques, nous sommes cinq personne en plus de Jacques et de Chris, personne na jamais douté de ma féminité croyant que je suis la cousine de Chris, cest ce que Jacques répond à chaque fois quune question, sur ma personne, vient perturber notre tranquillité.
Claire est la collaboratrice directe de Jacques, sa confidente et son ancienne maîtresse, une belle brune, à laube de la quarantaine elle arbore un physique plein de sensualité, lesbienne affirmée que je ne laisse pas indifférente.
Plusieurs fois elle me fit des avances en minvitant à aller boire un verre ensemble, je refusais pudiquement pour ne pas mettre le cabinet et Jacques dans lembarras dune aventure inter professionnelle. Mais en cette fin d'après midi je sentais Claire tourner autour de moi, alors que jétais à mon bureau travaillant sur un dossier, elle vint sinstaller en face de moi pour feuilleter une revue, elle sassit dans le fauteuil dattente et, croisant les jambes je vis sa jupe de tailleur se relever sur ses cuisses à la limite de la fin des bas et de sa peau nue, elle en profita largement de sa position pour décroiser et recroiser ses jambes, me découvrant sans pudeur le haut de ses cuisses et sa petite culotte noire.
- Tout en feuilletant le magazine je lentendis me dire :
- Le spectacle te plait, Leslie.
- Claire, il faut dire que je profite de ce qui mest offert, je réponds.
- Alors je moffre, me dit-elle.
Elle décroise très lentement la jambe, de façon à soffrir à mon regard, puis ouvre ses cuisses dévoilant la lisière des bas sur ses cuisses et de son string masquant à peine son intimité, puis sa main se pose sur son pubis, elle soffre indécente à mes yeux.
- Tu sais, me dit elle, tu me plais et tu le sais, jai envie de toi depuis que je tai vue rentrée dans lagence et ce soir je nen peu plus dattendre un geste de toi, je te désire et je me lance, oh Leslie, laisses moi un espoir, viens prendre un verre avec moi.
Claire mavait allumée et je la sentais pleine de désire cette lesbienne, elle nallait pas être déçue et jacceptais linvitation à la grande joie de Claire, jétais justement habillée pour sortir, corsage blanc transparent sur ma poitrine nue avec un pantalon à pince et une veste de tailleur assorti.
Nous nous levons et partons aussitôt vers un pub pas loin.
Installées dans un coin discret du pub, nous dégustons notre boisson en parlant, Claire narête pas de me confier ses désirs et son attente intenable, elle est joyeuse près de moi, elle se rapproche de moi sur la banquette sa cuisse touche la mienne, mais Claire nose pas aller plus loin, elle attend que jaccepte le contact physique et que jaille plus loin dans le contact lui donnant mon accord sur la suite de cette relation naissante.
Elle est collée à moi dans lambiance feutrée de ce pub, alors je pose ma main sur son genou et lui caresse doucement la cuisse, je sens Claire qui me désire, elle se laisse aller les yeux mi-clos appréciant la caresse tant attendue, ma main remonte le long de sa cuisse, Claire soupire lorsque jatteins son pubis, je sens ses grandes lèvres au travers de la fine étoffe de sa culotte, elle se trémousse sous ma caresse, mon geste lui fait savoir que maintenant que je suis daccord pour aller plus loin dans cette relation, mais rien ne presse et elle veut profiter de tous les instants avec moi, se relevant le souffle court, elle me dit :
- Bon Leslie, maintenant si nous allions dîner.
- Daccord Claire, allons-y.
- En se levant, elle dépose un baiser sur mes lèvres et nous partons diner dans un petit restaurant pas très loin, et dans un endroit isolé nous dinons comme deux lesbiennes amoureuses. Après un diner simple, nous sortons pour échanger sur le trottoir de longs baisers profonds, sans même nous occuper des passants qui nous regardent en nous croisant. Je décide alors que ce soir je nirais pas chez Claire pour prendre un dernier verre et finir la nuit dans ses bras et faire lamour, jai simplement envie de la laisser me désirer et de la laisser pleine de désirs cette nuit.
Je la raccompagne en lui tenant la taille, comme si nous étions des amantes de longue date, arrivées au pied de chez elle je lui souhaite bonne nuit, dans un dernier soupir de déception elle me dit :
- Jai une envie folle envie de me faire baiser et même enculer, jadore çà et si tu le veux je moffre à toi.
- Non Claire pas ce soir, je lui réponds, je préfère rentrer seule.
- Bien, me dit elle, il ne me reste plus quà me donner du plaisir, seule, avec les doigts, à demain ma chérie.
Après mavoir donnée un dernier baiser, elle disparaît dans le hall de son immeuble.
Nous sommes allées, le lendemain, à un rendez vous avec Claire dans le cadre du travail, heureuses davoir décrochées un contrat nous rentrons à lagence. Je conduis la voiture et Claire est installée à mes côtés, je me dis que loccasion est trop belle pour ne pas profiter de cet instant et savoir ce que Claire est prête à accepter, suite à notre diner dhier soir.
Je pose ma main sur la cuisse de Claire et remonte la jupe de son tailleur découvrant ses bas retenus par un porte-jarretelles, elle ne dit rien et me regarde avec un sourire coquin.
Ma main caressait sa cuisse, et monte, mes doigts sont à la lisière du bas, ils frôlent sa peau nue, elle ne dit rien mais écarte légèrement ses jambes, ma main remonte vers son pubis et mes doigts caressent le string en dentelle, alors elle écarte franchement ses cuisses avec un petit gémissement.
Claire à lair dapprécier le passage de mes deux doigts sur sa fente, puis je passe les doigts sous l'élastique et trouve la peau épilée et lisse de ses lèvres intimes.
- Ohhh, Leslie, que fais-tu, me demande telle.
- Remontes ta jupe, lui dis-je, que je vois si lautre soir tu ne me mentais pas.
Claire s'exécute remonte sa jupe et avance son bassin au devant de ma main, après quelques caresses Claire retire son string et moffre sa chatte ouverte de désirs, mes doigts caressent son clitoris, et je le fais rouler sous mes doigts lui arrachant de longs soupirs.
- Je vais jouir, comme c'est bon, tu me branles bien.
Je continue à la branler et soudain, je la sens se tendre et elle laisse échapper un long feulement puis un cri, jouissant sur mes doigts.
Elle ne me donna pas la réplique car me refusant à elle dans cet instant, sous prétexte dêtre presque arrivée à lagence, de plus je voulais prolonger cet instant qui la laissais me désirer comme une femme, mais sachant bien que ce ne serait que partie remise, Claire nest pas de ces femmes à laisser tomber au premier refus.
La journée cest terminée laissant Claire sur ses désirs et jai sentie beaucoup de déception lorsque je lui ai souhaitée une bonne soirée avant de méclipsée, jallais ce soir là avec Chris au théâtre, une soirée prévue de longue date.
Le lendemain Claire narrête pas de tournée autour de moi, et à la fin de la journée elle vient vers moi et me dit :
- Viens, Leslie, maintenant que tu mas bien allumée jai trop envie de toi.
Je la suis et nous sortons de lagence, puis comme si cétait prévu elle mentraîne chez elle, frémissante, les yeux brillants de désir.
En chemin je sens que Claire est excitée, elle me serre le bras comme si elle avait peur que je la quitte, elle me fait par de ses désirs et de son attente envers moi, je la sens amoureuse et prête à se donner.
Arrivées chez elle, Claire sinstalle dans le fauteuil, elle est déchainée, elle remonte sa jupe et écarte ses cuisses pour se caresser, je la vois passer la main sur son pubis au travers de létoffe de son string, elle me regarde droit dans les yeux et me dis :
- Viens, Leslie, ne me fait plus attendre.
Je mavance vers elle et je magenouille entre ses cuisses et pose mes lèvres sur sa cuisse à la limite du bas, elle me laisse faire émettant un soupir, je continue à remonter vers son pubis et elle avance son bassin vers moi, ma bouche est sur son mont de Vénus, elle frémit, puis impudique écarte dun doigt son string pour moffris son sexe aux lèvres épilées et humides.
Je plaque ma bouche à son sexe et cherche son clitoris avec ma langue, mes lèvres le trouvent dur et excité émergeant de sa gangue, je suce son clitoris et avale sa jouissance déjà présente.
- Oui, lèches- moi Leslie, c'est bon jadore ça.
- Oui Claire je tadore aussi.
- Leslie tu me fais mouiller comme une dingue, depuis le temps, c'est divin, continues.
Elle gémit, écarte ses cuisses encore plus et encore plus écartée elle moffre sa chatte trempée de désir.
D'un coup d'il, je la vis dégrafer son chemisier et son soutien gorge, se toucher les seins d'une main, l'autre se posant sur ma tête et pressant ma tête sur son intimité.
- Waouh, Leslie, continues tu vas me faire jouir.
Tout en continuant à la sucer je lui enfonce mon majeur dans sa fente et commence à le faire coulisser, jaspire son clitoris bandé, de lautre main avec mon index je lui caresse la raie, excitant son anus frémissant, ma bouche plaquée sur sa vulve.
Soudain, je la sens se tendre, un long feulement séchappant de ses lèvres entrouvertes, Claire jouit sous ma langue et crie son plaisir, puis elle reprend doucement ses esprits après cette jouissance, je me redresse et la regarde indécente et impudiquement offerte, cuisses écartées exhibant sa vulve humide de son plaisir.
Claire se redresse et menlève mon corsage, à mon habitude je nai pas de soutien gorge et ma poitrine apparaît nue à Claire, elle me caresse les seins, puis sa main descends vers mon ventre et arrive sur mon pubis. La main sur mon sexe, Claire montre sa surprise et son étonnement.
- Tes une cachotière, Leslie, tu es une transexuelle et moi qui me demandais pourquoi tu repoussais mes avances.
- Oui, Claire, mais il te faudra garder ce secret.
- Pas de souci ma chérie, mais en attendant cela fait si longtemps que je nai vu un sexe dhomme, laisses moi faire.
Elle me fait mettre debout et dégrafe la ceinture, puis baisse la fermeture éclair de côté de mon pantalon et maide à lôter, mon sexe tendu a peine contenu par mon string à la hauteur de son visage.
- Il gros ton sexe Leslie, dit Claire.
- Il est à toi, Claire si tu le veux.
Elle le sort du string, se penche dessus et de sa langue commence à me lécher le gland, prenant bien la hampe dans sa main, pour une lesbienne elle na rien oubliée des aventures passées dans les bras de ses amants.
- Hooo, ce membre, Leslie, tu me ramènes des années en arrière, je crois que je vais devenir bisexuelle en ta compagnie, avec un membre pareil tu dois faire des heureuses.
Sur ce, elle avale mon sexe jusqu'à la gorge et commença à bien me sucer tout en me branlant avec sa main, ressortant mon sexe tout luisant de salive et lenfonçant à nouveau au fond dans sa gorge.
- Tu suces bien, Claire, pour une lesbienne tu me surprends; tu nas rien oubliée de tes relations hétérosexuelles.
Ce compliment lui fait de leffet et elle accélère sa fellation experte, je sens quà ce rythme elle va avoir raison de moi en peu de temps.
Elle se relève pour se mettre nue, puis elle se rassoie dans le fauteuil, cuisses écartées devant moi, je lui caresse les seins aux pointes dures de plaisir, elle senfonce dans le fauteuil et écarte encore plus les jambes en les posant sur les accoudoirs dans une position des plus indécente.
- Suces moi encore, me dit-elle dans un souffle.
J'ai avancé à nouveau ma tête vers son intimité ouverte et offerte, qui n'attend que ma bouche et ma langue pour s'ouvrir encore un peu plus, jinsère une nouvelle fois ma langue dans les replis de ses lèvres, et cherche son clitoris qui bande et se tend, sous la caresse de ma langue, la respiration de Claire sinterrompt pour laisser place à des soupirs de bonheur. Elle me presse alors la tête contre son pubis pour mobligée à ne pas quitté son sexe qui souvrait à mes lèvres et à ma langue, son souffle s'est fait court et son excitation est encore montée, elle mallonge alors sur le canapé et se met en 69 sur moi, puis elle a pris mon sexe dans sa bouche gourmande, j'ai poussée un léger cri de plaisir et mon sexe est venu buter au fond de sa gorge. Elle à commencer à me sucer avec douceur pendant que je lui léchais la vulve et le clitoris, nous sommes restées ainsi un long moment à nous donner un plaisir mutuel qui nous faisait gémir.
Enfin elle sest redressée et elle se positionne au dessus de mon sexe dressé, le sexe de Claire est trempé de désir, elle le prend en main et le dirige vers le sien et sempale dessus, puis ruisselante de transpiration et le souffle court, son sexe emprisonnant le mien elle à commencer à monter et descendre tout accaparée à sa propre jouissance qui lui tirait des râles du fond de sa gorge.
Puis après sêtre libérée de mon membre, elle s'est retournée et m'a tendu sa croupe, ouverte et prête à m'accueillir.
Sans me poser de question d'une main jai positionnée mon sexe à lentrée de son petit trou, à lorée de son anneau fripé et légèrement ouvert et d'une simple poussée je lui ai pénétrée lanus. Son anneau me serrait le gland au passage étroit, jai continuée ma poussée jusquà buter au fond de ses entrailles, le souffle court elle maccueille au fond de ses entrailles et me demande d'aller le plus loin possible au fond delle, je la sodomise toujours plus vite avec frénésie. Avec son dernier cri de plaisir je me suis répandue en elle, lui remplissant les entrailles de ma jouissance.
Après mavoir entrainée dans sa chambre elle à réclamée que je lui fasse une nouvelle fois lamour, puis lovée lune contre lautre nous nous sommes endormies dans son lit.
Tout le restant de la semaine nous sommes restées ensemble et nous avons passées nos nuits à faire lamour dans toutes les positions et dans tous nos trous respectifs, car Claire en lesbienne respectable avait tous les accessoires pour donner du plaisir à une autre femme, et cest avec son gode-ceinture quelle me sodomisait avec joie.
A suivre
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