Suissesse

Adèle est une genevoise. Agée de seulement 20 ans, elle est bien faite et elle attire les regards des hommes comme des femmes. Il émane d'elle une aura de sensualité extraordinaire. Elle le sait depuis longtemps et n'en profite pas: éducation protestante stricte certainement. Mais le printemps arrivant elle sent bouillonner en elle des envies nouvelles. Sa meilleure amie lui a confié sous le sceau du secrèt qu'elle avait un amant depuis quelque jours. Depuis sa vie en avait été toute chamboulée par le plaisir que lui apportait cet homme. Depuis longtemps Adèle sait ce qu'est le plaisir: ellle se masturbe toujous en cachette et a eu des orgasmes.
Troublée par l'aveu de son ami elle se demande ce qu'un homme changerait dans sa vie. Elle n'ose pas demander d'autres détails. Mais l'idée de faire l'amour la taraude depuis. Elle pose des questions indiscrètes à une autre amie qui franchement lui dit que si elle veut réellement faire l'amour, elle peut lui apprendre.
Pourquoi pas se dit Adèle qui ne se doute pas que son amie a des moeurs spéciales. Elle préfère les filles aux hommes. Sans savoir ce qui va se passer, Adèle rejoint Elise chez elle. Pour la mettre à l'aise Elise la reçoit simplement et lui dit que l'amour s'apprend d'abord entre femmes. Etonnée Adèle veux bien la croire et dès que Elise l'embrasse elle répond sans crainte.. Elise lentement désabille son amie et la caresse et une fois nue, Adèle se trouve un peu génée. Pourtant Elise elle aussi se désabille. Les deux filles semblent sorties d'un tableau licencieux du XVIII° siècle. Elise se place derrière Adèle pour mieux lui caresser les seins. Elle réussit à merveille à faire gonfler les seins et les tètons sont l'objet d'un traitement particulièrement sensuel. Adèle sent dans son bas ventre un creux et le dit à Elise qui lui dit que c'est normal, c'est simplement le désir de jouir qui la prend. Elle enchaine en mettant une main sur le sexe d'Adèle. Puis elle part à la découverte du clitoris.

Elle le trouve très facilement et sans appuyer, elle le caresse après l'avoir sorti de sa gaine.Adèle ressent un immense plaisir à se faire branler pas son amie. Elle va jouir mais Elise lui dit de patienter un instant: il vaut mieux qu'elles soient couchées pour continuer. En réalité Elise veux surtout la sucer: elle adore le gout d'un sexe féminin et ne veut pas se priver de ce plaisir. Elle continue ses caresses mais les centrent maintenant sur les cuisses d'Adèle qui lui demande de continuer à la masturber. La main descend jusqu'au mollet et remonte lentement entre les jambes pour aboutir au sexe humide. Adèle écarte les jambes: Elise met sa rête entre les cuisses ouverte et sa langue s'insinue dans les lèvres du sexe. Adèle est de plus en plus excitée et quand la bouche prend possession du clitoris, Adèle gémit. Elise qui sait très bien sucer les filles s'en donne à coeur joie. Elle fait jouir plusieurs fois consécutives Adèle qui ne pensait pas pouvoir avoir tant d'orgasmes. Maintenant Elise débauchée la suce encore et lui met des doigts dans le cul. Adèle se crispe un peu mais accepte finalement la caresse. A rtel point qu'elle a un autre orgasme.
Maintenant Elise veux qu'Adèle lui rende la pareille. Elle veut bien le faire en guise de remerciement. Et en tatonnant, elle arrive à faire jouir sa compagne qui l'encourage à continuer. Elles baisent ainsi plusieurs heures.
Adèle pense savoir faire l'amour. Mais en en parlant à sa prmiètre amie, celle ci lui explique que ce qu'elle a fait n'est pas l'acte d'amour véritable. Il lui faut un homme pour qu'elle connaisse le véritable plaisir. Elle lui présente un ami commun qui lui a une réputation de baiseur.
Sachant ce qu'Adèle a fait il est aussitôt d'accord pour baiser avec elle dès qu'elle le voudra. Ils prennent rendez vous le soir même sur les bords du Léman et l'entraine vers un petit hotel de passe très propre.
Dans la chambre il l'embrasse et elle répond. Il la désabille elle se laisse faire. Une fois nue, lui se déshabille: Adèle voit pour sa première fois un homme nu et surtout un sexe en érection. Elle en a peur. Mais le garçon lui dit qu'il est très doux avec les filles. En effet il fait preuve d'un art des caresses meilleur que celui d'Elise. Adèle sent son sexe tout mouillé et pense qu'elle va vivre un instant merveilleux. Après un cunnilingus aussi bon sinon meilleur qu'avec une fille, Adèle s'ouvre entièrement.
Elle écarfte les jambes dès que ce garçon se met sur elle. Le poid la surprend un peu, mais elle sent que la bite du garçon vient se mettre à l'entrée de son con. Il la pénètre, et au moment de la déniaiser, il s'enfonce à fond dans le sexe. Adèle pousse un cri: elle voudrait qu'il sorte de son con. Mais avec des mouvement très lents et doux, il parvient à la calmer et ensuite à la faire jouir.
A partir de ce ,jour elle se promet de recommencer à baiser mais de ne le faire qu'avec des garçons.
Pourra-t-elle résister à un autre tentation lesbienne ?