Le Pere De Fadila
Je vis avec une Africaine.
Sa famille habite en France depuis plus de trente ans. Fadila (c'est son nom), travaille dans une usine de conditionnement et moi
dans un magasin de lunettes. Un jour où je rendis visite à ses parents, la mère me dit qu'elle avait un problème avec son mari.
Il était dans la chambre. Elle me prit par la main et me conduisit jusqu'à lui.
La pièce était sombre mais je pouvais le voir, nu, au pied du lit.
- Il veut que je le suce...dit-elle, les yeux baignés de larmes.
Elle m'avait pris par les épaules et m'avait poussé vers lui.
- Je suis fatiguée, je n'en peux plus...Larmoya-t-elle, en pesant doucement sur mes épaules.
Une fois à genoux, un sinistre "Merci" me fit ouvrir la bouche. Le père, empoignant sa grosse bite noire, la glissa entre mes lèvres.
La mère s'agenouilla derrière moi et ses doigts dégrafèrent la ceinture de mon pantalon. Elle le baissa, et fit de même avec mon
slip. Puis, soulevant mes genoux, un par un, elle me débarrassa de ces vêtements. La bite noire sortit de ma bouche et la mère,
saisissant mes épaules, me fit faire un demi-tour. Appuyant de nouveau sur mes épaules, elle me fit mettre à quatre pattes. Le
père s'agenouilla derrière moi et posa une main chaude sur mon cul et me caressa longuement, s'insinuant entre mes cuisses,
soupesant mes couilles et prenant ma bite à pleine main. Il promena un doigt, puis sa bite le long de ma raie, poussant un peu
pour que le gland s'introduise entre les fesses.
Avec deux doigts, il les écarta et posa le gland sur mon trou. Il me demanda de cracher dans sa main et me badigeonna l'anus
avec ma salive. Il poussa très doucement sa bite dans mon cul, millimètre par millimètre. Je la sentais qui entrait inexorablement
et il me semblait qu'elle était longue, longue...
Exaspéré par la lenteur de la sodomie, d'un violent coup de reins vers l'arrière, je m'empalais sur le gros membre du père de
Fadila
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