Je Cède Au Patron De Ma Femme (4)
Après cette nuit d'amour à l'auberge, Francois me ramène chez lui pour un cadeau d'adieu.
J'ouvre le paquet et découvre une courte jupe noire fluide à volant un chemisier de satin rouge transparent, une guépière noire bas resilles ht talons et une jolie perruque brune mi longue.
- Jackie met cela pour rentrer chez toi, je t'attends en bas.
- Merci Francois c'est trés beau.
Je me prépare me maquille légèrement . Le miroir me renvoie une image qui me trouble. Ondulante sur les talons je le rejoint dans le parc prés de sa voiture.
- Humm amoure tu es superbe, tellement désirable.
Sa main caresse ma joue, nos lèvres se frolent et s'épousent. Sa langue flatte la mienne dans un baise sensuel.
Contre ma cuisse gainée je sents son sexe se drésser de désir. Mon bassin se déplace et se love au sien pour sentir ce sexe qui devient dur à souhait.
- Ho Jackie, sent comme tu me rends fou. Nos bassin ondulent vers cette quette du désir. Je recule doucement, m'appuie contre le capot de la voiture. Francois passe ses mains sous ma courte jupe, touve la fente de la fine culotte. Un doigt se pose devant mon oeuillet frémissant.
- Humm coquine mais il est tout humide.
- Oui Francois, j'avais envie de te donner du plaisir avant de te quitter.
Je m'allonge sur le capot, ouvre son pantalon faisant jaillir son sexe tendu.
Mes cuisses gainées entourent ses reins le guidant vers mon entre en feu.
Son sexe force l'anneau puis doucement glisse tout en moi. Francois caresse mes seins, nos bouches se dévorent. Son bassin va et vient en moi, je m'accroche à son cou sentant son plaisir accourir. Il pousse un long rale en plongeant tout en moi. Mon sexe de femme se gave de cette sève brulante.
Cette étreinte rapide à été trés forte pour moi, j'ai du mal à reprendre mes esprits.
Nous remontons faire un brin de toilette et Francois me racompagne. Il entre dans la cour, stope sa voiture près de la fenètre du balcon.
- Bon il faut se dire au revoir et aussi peut- être donner le change.
- que veux tu dire ?
Ses lèvres effleurent mon oreille...
- Jackie , je crois que Sylvie nous observe alors elle doit croire que je te force.
- Francois tu crois quelle...
- oui il m'a semblé appercevoir son ombre.
Francois pose doucement se main sur ma nuque. D'une légère pression il guide mon visage vers son bassin.Il ouvre la fermeture et laisse apparaitre son sexe encore mou.
- Suce moi une dernière fois comme tu le fais si bien.
Ma bouche effleure le gland, mes doigts entourent cette tige qui durcie trés vite.
Mon visage monte et descend sur son sexe frémissant.
- Humm oui amoure comme tes lèvres sont douces. Ho oui...continue.
j'aime entendre ces mots, son bassin ondule sous mes caresses. Il se tend et de violent jets inondent ma bouche. Je bois sa liqueur avec délectation, ne laisse aucune trace de son nectar.
- Humm Jackie comme tu apprends vite, c'est à chaque fois plus délicieux.
- Merci Francois, j'ai beaucoup aimée ta patience, ta tendresse avec moi. Avec toi j'ai découvert qu'il était possible d'aimer autrement . j'aimerais que l'on se revoit de temps en temps.
- Moi aussi, mon coeur, il va falloir que j'envoie Sylvie en stage de temps en temps.
Je quitte la voiture, le regarde partir puis rentre à la maison.
Sylvie vetue d'une fine nuisette se précipite vers moi et m'enlace.
- Ho mon amour enfin... Je n'ose imaginer ce qu'il t'a fait subir ...
- Oui le début a été un peu difficile .
Sylvie me guide vers le salon ou elle a préparé un petit coin douillet.
-Laisse moi d'abord te regarder, je dois avouer que pour les habits il a bon gout.
- oui en effet , malgré ce chantage, Francois est quelqu'un de délicat.
- Tu l'appel Francois maintenant?
- je...je viens de vivre 2 jours ave lui, cela crée quelques liens
Sylvie s'allonge dans les profonds coussins et me tire contre elle.
- Jackie si tu veux.. parler je suis prète à t'entendre.
- Je vais essayer...
Je lui raconte le début, la douleur de la pénétration atténuée par sa délicatesse.
- Et tu as toujours eu mal.
- Sylvie j'ai honte de te l'avouer, mais les fois d'après je.. j'y prenais du plais...plaisir.
- Vraiment ?
- Oui, il ne me forcait plus, j'étais consentante comme troublée par sa douceur.
- comme une femme amoureuse quoi...
- Ou...oui
- Comme tout à l'heure dans la voiture ?
- Tu nous as vues.
- Oui , tu...tu as aimée...
- Oui
- Et lui..
- Francois m'a félicité pour mes caresses...
- Mon amour je vais avoir du travail pour te ramaner dans mon lit.
Elle se love contre moi et ensemble nous partons vers des caresses envoutantes.
Elle retrouve son poste chez francois. Le premier jour il la recoit
- Bonjours sylvie, je suis ravi de vous compter à nouveau parmi nous.
- Merci francois, mais à quel prix...
- Sylvie votre mari est adorable, j'ai beaucoup apprécié ce WE ensemble... et je crois que lui aussi.
- Oui en effet vous me lavez pas mal changé...
- Humm en effet, sa nouvelle personnalité est tout à fait surprenante comment pourrait-on dire....
- Troublante, envoutante..
- Oui ce sont les mots justes, mais c'est vous qui m'interressez.
- Moi?
Avec un sourir coquin - oui pour ce poste de responsable du nouveau service. Vous serez installée dans le bureau à coté, de temps en temps nous pourrons echanger sur une personne... commune.
Sylvie rosie puis rejoint son nouveau poste.
Au fil des jours je la voit changer. Elle a raccourcie ses cheveux, porte des tenues moins féminines ( pantalon fluide chemise ample ) Elle a décidée de faire subir à Francois les mêmes choses qu'il m'a faites.
Un soir Francois lui demande de rester pour un dossier, pour elle c'est le signal.
Elle apporte dans son bureau le petit god à ceinture et la crème.
Francois entre dans le bureau, Sylvie troublée finit un dossier. Il la félicite sur son travail . Doucement il pose sa main sur sa joue puis glisse sur son cou.
- Sylvie depuis qq temps vous ètes de plus en plus ravissante, ce nouveau travail vous convient à merveille.
- Merci Francois
- Mais il faut savoir parfois prendre du bon temps...
Lentement il ouvre le bouton du haut du chemisier, puis un second.
Tu te lève devant lui- Non Francois il faut parfois laisser les femmes décider...
Et là c'est toi qui ouvre sa chemise.
Il est surpris mais se laisse faire. Tu le dénude, ta bouche frole la sienne et l'oblige à se coucher sur ton bureau. Tes lèvres effleurent son torse, tes mains lui ote le pantalon. Tu es surprise de découvrir qu'il porte une fine culotte de soie noire fendue.
tes doigts ecartent la soie faisant sortir son sexe à demi dréssé. Une main caresse son buste l'autre exite son sexe bien dur maintenant.
Francois plonge son regard dans ton chemisier ouvert découvrant tes seins dréssés par les balconnets.
Doucement tu ouvre ton tiroir prend le god que tu fixe aux lanières enserrant ta taille.
Tes doigts enrobent son sexe dur à craquer.
- Sylvie embrasser moi, c'est trop bon.
Tu te penche sur lui et lui murmure à l'oreille...
- Pour cela il parrait que jackie fait cela mieu qu'une femme... Ce soir appellez moi Sylvain.
- Sylvain ?
Ta main caresse le sexe de plus en plus vite, l'autre pose une doigt de crème devant son petit trou sérré. Tu force et le doigt huillé entre.
- Ho Syvi...Sylvain humm embrasse moi...
- Un moment Francois, pas encore.
Tu ote ton doigt, pose le god devant l'anneau ouvert et lentement glisse tout au fond de lui.
Francois pousse un petit cri de surprise, puis....
- Ho Sylvain donne moi ta bouche.
L'exitation monte en toi mais tu as décidée de ne pas céder.
- Sylvain je t'en prie donne ta bouche.... Ha...
Tu plonge le god tout au fond de lui, ta main serre le sexe qui livre sa liqueur par de longs jets qui s'étalent sur son buste.
Il a du mal a retrouver son souffle. Tu te retire de lui et décide de partir avant que cela aille plus loin. Tu as peur de ne pas résister au désir qui monte en toi.
Tu te remets en tenue décente, pose tes levres sur les siennes.
- Francois, je voulais te prendre ce que tu as pris à jackie.
- Sylvain mais toi tu ne vas pas...
- Si je vais offrir à ma compagne le désir qui monte en moi...
Tu quitte le bureau ravie de toi.
Quand tu rentre chez nous je suis en court peignoir de satin rose. je suis ravie quand ta bouche se gave de mon sexe. Sans savoir qu'il y a peu tu as faillie faire la même chose sur Francois tellement tu en avais envie.
Dans la nuit, me sentant endormie prés de toi tu repense à ces ainstants au bureau. Tu te demande si Francois avait insisté un peu plus, ce n'est pas son sexe que tu aurais succée. Tu te surprend à comprendre comment j'ai pu aimée être avec lui....
A suivre
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