Cédric

C'est un très beau hammam homo. Il y a une grande salle ronde à la chaleur tiède, très agréable. Sur son pourtour s'ouvrent plusieurs larges portes qui donnent sur des petites salles avec dans chacune trois ou quatre douches.

Je suis dans une de ces salles, et je prends une longue douche en matant un jeune type qui prend sa douche en face de moi. Il doit avoir 20-23 ans, il a l'air tout timide, tout coincé. Très brun, la peau très blanche, il a encore un peu d'acné sur le visage.

Il me tourne le dos. Son air juvénile m'excite beaucoup, et je me mets à bander. Un 3e type entre dans la salle et voyant mon érection s'approche de moi. Il pose sa main sur mon épaule et me dit à l'oreille :

– Il te plait, hein ?

Je le regarde : un quadra, grand, un peu dégarni, ni beau ni laid, le torse mollement ondulé et vaguement poilu, mais une bite franchement impressionnante ! Elle est au repos, mais même comme ça, elle est déjà très grande. Il me dit à haute voix :

– T'as raison de le trouver bandant. Il s'appelle Cédric : je viens de le baiser, il y a dix minutes. On l'a baisé à deux, avec le type qui est là bas.

Il me montre un bonhomme à gros bide couché sur la table de marbre chaud dans la grande salle. Le jeune Cédric, qui entend tout ce qu'il me dit, ne semble pas affecté et continue de se savonner tranquillement sous la douche.

– Il a l'air timide, comme ça, mais je peux te dire que devant une bonne bite, il est tout fou ! Il se tortille comme un gardon, et tu sens qu'il aimerait bien avoir dix trous pour être pénétré de partout !

Avec le quadra, on est là tous les deux à mater le jeune Cédric. Le quadra a passé son bras autour de mon épaule et il se caresse la poitrine en même temps qu'il me raconte tout ça. Ses propos me font bander à craquer. Lui par contre ne bande toujours pas : il a dû tellement baiser Cédric qu'il est calmé pour un bout de temps.

Il me dit d'une voix chaude :

– Vas-y : va le sauter. J'adore le voir se faire enculer. Il aime tellement ça, je te jure : il arrête pas de retirer la bite de son cul pour l'avaler aussi profond qu'il peut, et la remettre aussitôt dans son cul ! Comme si elle lui manquait toujours dans un de ses deux trous ! On se demande comment il fait quand il se fait pas prendre : il doit toujours se sentir tout vide !

Cédric s'est retourné et il me jette des regards discrets pendant que le quadra me parle. Des fois il baisse aussi les yeux sur nos bites, et on lit alors une sorte de désir enivrant dans son regard. En tout cas, il ne part pas, ce qui semble clairement signifier qu'il accepte la proposition du quadra.

Je continue de me doucher tranquillement pendant quelques minutes pour profiter de ce moment de désir lourd et partagé : on est tous les trois très excités par ce qui va se passer, et on n'entend plus que le bruit des douches. Puis, je me dégage du bras du quadra et m'approche de Cédric par derrière. Je lui pose une main sur l'épaules, et de l'autre, je commence à lui caresser le flanc, le dos, le cul.

Le quadra a pris ma place sous ma douche et nous regarde. Je m'approche encore de Cédric : je colle mon torse à son dos, et lui caresse les pectoraux, le ventre, les cuisses, le visage… Il a ouvert la bouche, pousse des « hhh… hhhh… » très chauds et commence effectivement à onduler du bassin pour se frotter contre mon ventre et ma queue toute dure.

Ma bite n'est pas petite, mais voyant celle du quadra, je me dis qu'elle devrait rentrer facilement dans le cul de Cédric. D'ailleurs, curieux, je commence à explorer de mes doigts son orifice. Comme me l'avait annoncé le quadra, Cédric commence alors aussitôt à se tortiller et à se cambrer, comme sous l'effet d'une volupté tyrannique. Il frotte son dos contre mon torse, ses cuisses contre les miennes, et il tord son cou au maximum pour tourner sa tête vers moi et de sa langue cherche ma bouche.
Je colle mes lèvres sur les siennes et lui roule une longue pelle, ce qui a pour effet d' ses gémissement.

Comme je m'y attendais, mes doigts pénètrent tout facilement dans son cul. Ça glisse tout seul, à cause de tout le gel que le quadra avait dû mettre pour y introduire son énorme braquemart. C'est si naturel que je mets rapidement une capote et commence à le baiser. Cédric se déhanche, se frotte à moi, se tortille comme un ver : je n'ai qu'à me coller à lui, les mains sur sa poitrine, il me branle avec son cul !

Plusieurs mecs, attirés par le spectacle, sont venus dans la salle de douche et nous matent en se pelotant les uns les autres. Le quadra n'a pas bougé, attentif sous la douche, se caressant les seins. Il ne bande toujours pas, malgré les coups de langue amoureux qu'un type à genoux est en train passer sur son magnifique pénis.

Plusieurs fois, comme obéissant à une pression insoutenable de son désir, Cédric retire son cul de ma bite et tombe à genoux pour m'avaler goulûment, ainsi que le quadra me l'avait prédit. Il introduit tout de suite ma queue jusqu'au fond de sa gorge, fait quelques mouvements où je sens presque sa glotte sur mon gland, et se relève fébrilement pour se la réintroduire dans le cul. Une ou deux fois, je l'en empêche, en retenant son bassin plaqué contre moi, et en poussant ma queue tout au fond de son cul, histoire de faire monter encore son excitation. Je le retiens, il se tortille encore plus, cherche ma bouche… Je lui roule une pelle et je finis par le lâcher. Il se dégage aussitôt, se retourne, se baisse et avale ma bite jusqu'à la garde. Pendant qu'il pompe, il ne peut s'empêcher de se mettre deux doigts dans le cul, comme s'il ne supportait pas de le laisser béant.

À la 4e ou 5e fois qu'il me fait ça, je suis moi-même tellement chauffé à blanc qu'au moment même où je re-pénètre son cul, je ne peux me retenir et je me répands en un long écoulement de sperme, presque sans saccades, presque continu.
Cédric a bien senti que c'était le moment : cette fois-ci, il ne bouge plus, et se laisse envahir tout entier par mon orgasme, comme si il en ressentait la chaleur étourdissante en même temps que moi. Il reste immobile et attentif, comme chez les animaux, la femelle qui laisse impassiblement le mâle répandre sa semence pour que la nature accomplisse son œuvre de reproduction.

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