Leslie Transexuelle Chapitre 38

CHAPITRE 38 – Au travail, Magalie une petite stagiaire.

A l’agence, Magalie vient d’arriver, c’est une petite stagiaire venue passer quelques jours à l’agence dans le cadre de ses études et de l’insertion en entreprise, elle a dix-huit ans, elle brune, petite et fine, malgré ses longs cheveux jusqu’à la taille, son apparence est frêle et fragile, l’absence de poitrine lui donne l’apparence juvénile, un petit côté androgyne.
Nous avons sympathisées et, malgré son jeune âge, elle me drague ouvertement et m’allume sans vergogne à chaque occasion, il faut dire que cela n’est pas pour me déplaire et mignonne comme elle est, je dois avouer que je veux bien qu’elle me conduise dans son lit et ses petits yeux verts, pleins de malice, laissent entrevoir qu’elle ne doit pas être contre, compte tenue de son attitude charmeuse envers moi.

Magalie au cours de nos rencontre devient de plus en plus pressante, et ce n’est que tout naturellement qu’un soir après le boulot nous nous retrouvons à boire un verre à la terrasse d’un café. Les yeux de Magalie brillent de malice, à un moment elle me plante ses yeux droits dans les miens et me dit :
- Tu sais, Leslie, t’es pas une fille ordinaire, et dès le premier jour, je ne sais pas pourquoi, tu m’as plut, il y a en toi un petit quelque chose d’indéfinissable qui fait que tu me plais.
- Ah oui, lui dis-je d’un air vague, mais bien à l’écoute de ses propos.
- Oui, me dit-elle encore, tu es vraiment très belle, mais ce n’est pas comme si j’étais attirée par une fille, je m’avance peut-être mais j’ai comme l’impression que tu cache quelque chose, je ressent une véritable attirance sans définir pourquoi, bien sur je suis bisexuelle et j’ai eue des aventures avec des filles et des garçons, mais avec toi tout est tellement différent.
- C’est peut-être mon côté garçonne qui t’attire, Magalie.
- Non ce n’est pas que cela, c’est comme si tu étais un garçon, mais habillée en fille, comment ditons déjà.

- Tu veux dire que je suis peut-être une transexuelle/
- Oui c’est ça, mais comment le savoir, me demande t’elle/
- Emmènes moi chez toi et vérifies par toi-même.
- Super, mes parents sont en déplacements, viens je veux voir et savoir…..
Là-dessus, Magalie m’entraine chez elle et ses parents, elle est toute tremblante et pleine de désirs sur le chemin de sa maison.
Arrivées chez elle, Magalie me conduit directement dans sa chambre, m’installe sur son lit et met une musique douce, puis sans attendre se déshabille entièrement. Son corps est frêle et juste de petites auréoles aux bouts bruns dressés lui servent de poitrine, nue elle a encore l’air plus juvénile, ses petites fesses sont étroites et son pubis est soigneusement taillé, laissant apparaître juste un trait de poils courts au dessus de sa vulve.
Elle s’approche du lit et s’assoie en me disant :
- A toi, Leslie, mets toi nue et laisses moi te découvrir et admirer ton corps ensuite.
Je me lève et entame mon effeuillage, allant le plus lentement possible afin de lui laisser le temps de me découvrir et d’agacer son impatience.
J’ouvre lentement mon corsage, laissant apparaitre ma poitrine, puis le laisse tomber à mes pieds tandis que Magalie soupire en disant :
- Super ta poitrine, ni trop grosse, ni trop petite, comme j’aimerais en avoir une comme la tienne.
Magalie s’enfonce doucement dans les oreillers sans me quitter des yeux, elle écarte ses cuisses et commence à se caresser la vulve, en émettant un petit soupir d’aise.
Je passe mes mains dans le dos, pour faire descendre la fermeture éclair de ma jupe, puis la descend doucement le long de mes jambes, j’arrête le mouvement à la hauteur de mon pubis, laissant juste deviner mon sous-vêtement.
Magalie se caresse de plus en plus, et elle s’est introduit un doigt dans sa petite vulve glabre, elle gémit de plus belle en me disant :
- Ne me laisses pas languir ainsi Leslie.
Je me retourne lui présentant mon dos, alors que ma jupe ton à mes pieds, Magalie découvre ainsi mon string-boxer, qui moule me fesses, les gémissements dans mon dos se font plus sourds, et alors lentement, tournant toujours le dos, je fais descendre le dernier rempart couvrant ma nudité, entre deux halètements, Magalie dit :
- Retournes toi, maintenant chérie.
Je suis en érection et je vais me retourner pour offrir ma nudité aux yeux de Magalie impatiente,, je me retourne provoquant la réaction de Magalie :
- Hooo, superbe, Leslie, étrangement superbe, quel beau membre, viens vite dans mes bras, j’ai envie de sentir ton corps androgyne contre le mien.

Alors lentement, répondant à ses désirs, je m’avance vers elle, le membre fièrement dressé de désir, elle tend la main et se saisit de mon sexe, elle le palpe et le caresse puis elle avance la bouche, et écarte ses lèvres et s’enfourne mon gland entre ses lèvres, sa manière de me prendre en bouche dénote une belle habitude pour son jeune âge, Magalie est une vraie petite vicieuse qui doit adorer le sexe.
Sa bouche m'engloutit entièrement. Les préliminaires passés Magalie se positionne à genoux, et me présente sa rosette plissée, un long feulement jaillit des lèvres de la Magalie quand mon membre se pose sur son anus.
Je presse, forçant le gland à s'écraser contre le minuscule orifice et contraignant la rosette plissée de Magalie à s'ouvrir, je lui force le passage introduisant mon membre au plus profond de ses entrailles et je commence un long va-et-vient, lui arrachant des cris de plaisirs.
Mon sexe coulisse maintenant sans difficulté dans le fondement dilaté de Magalie.
Elle pousse un "Ohhh !" à chaque buttée de mes couilles contre sa vulve.
Puis se raidit dans un orgasme fulgurant au moment où je jouis dans son anus.

Magalie est splendide après l’amour, nues sur le lit, nous reposons avec Magalie, elle tient mon membre dans sa main et me branle doucement, dans un soupir Magalie me dit :
- Je vais te présenter une copine de fac, tu vas voir elle est super sympa et bisexuelle, j’ai parlée de toi et elle désire te rencontrer, de plus son petit ami du moment, est beau mec et cela fait longtemps qu’il désire rencontrer une transexuelle, alors l’occasion est trop belle, nous pourrions nous aimer tous les quatre.
Magalie après avoir téléphonée à Sylvie m’explique que celle-ci va venir, avec Julien son ami, et donc nous avons le temps de nous remettre de nos ébats et boire un verre et grignoter ensemble, Magalie et moi sommes nues et profitons de ces instants de répits.
Deux heures plus tard, Sylvie et Julien se présentent a l’entrée de la maison de Magalie, le temps de faire les présentations et de trinquer ensemble et nous voilà.
Sitôt arrivés, nos deux complices sans pudeur se mettent nus, Sylvie est une jeune fille qui a un corps magnifique, assez grande, blonde aux longs cheveux, elle est mince comme Magalie, mais avec deux petits seins mignons, une taille fine et un pubis complètement glabre.
Julien, lui est vraiment beau gosse, certainement plus âgé que les deux copines de fac, il possède un engin redoutable, un membre gigantesque qui présente déjà une belle érection.
Magalie à l’adresse de son amie dit :
- Tu ne m’as jamais dit que ton copain est si bien membré.
- Tu ne m’aurais pas crue, réponds Sylvie.
Entretemps Magalie s'est déjà agenouillée devant Julien, dont le sexe présente une formidable érection à quelques centimètres de la bouche de celle-ci, après avoir admirée ahurie le phallus de Julien, avec les veines bien dessinées et un gland imposant, elle entrouvre les lèvres et engloutit la queue de Julien, ses lèvres se referment sur l'épaisse colonne remplissant totalement la bouche déformée de Magalie, après quelques instants le membre de julien est raide et dur, près à l’action.
Magalie s’allonge les cuisses grandes ouvertes et dit :
- Baises moi maintenant.
Julien s’installe entre les cuisses de Magalie et la pénètre d'un coup de reins écartant inexorablement les lèvres intimes, Magalie écarte d'avantage les jambes, s'offrant sans pudeur à son amant qui se met à la pilonner, chaque coup arrachant à Magalie un gémissement.
Puis Magalie sous les assauts incessants se mit à hurler et à geindre encore et encore.
Pendant ce temps Sylvie s’est approchée de moi et m’administre une fellation digne d’une savante connaisseuse en la matière, je sens le plaisir m’investir le ventre, Sylvie tout en me suçant le membre en profite pour m’investir l’anus d’un doigt, ce qui ne manque pas de me faire réagir et soupirer, Julien nous regarde et je sens qu’il à envie de mon cul et me le fait savoir par un clin d’œil, mais je reste un peu bloquée.
- Viens me dit-il j’ai envie autant que toi.
- Non Julien tu es trop gros, je ne pourrais jamais te supporter en moi, lui dis-je.
- Oh, tu sais, me répond t’il, elles ont toutes dit cela la première fois, mais en ont redemandées après,
- Allez, me dit Sylvie en enfonçant un peu plus son doigt en moi, laisses toi faire, tu vas voir comme c’est bon.
Puis Julien sort du ventre de Magalie et s'allonge sur le sol, Sylvie m’aide à l'enjamber, je lui tourne le dos et présente mon petit trou à son gland, il saisit son sexe et le promène sur mon anus, appuyant le gland contre ma rondelle comme pour me préparer à la pénétration et pour me lubrifier, je sens déjà la grosseur de son membre, j’ai quelques craintes mais le désir me gagne, Julien s’arrête et positionne son gland juste à l’entrée de mon cul.
- Vas-y empales toi, me dit-il.
Lentement je descends sur le pieu dressé, je sens mes chairs s’ouvrir sous mon poids, mais mon anneau résiste refusant d’être violée par cette introduction hors norme, je souffre le martyr et m’échappe un instant. Mais c’est sans compter du désir de mon sodomiseur, il me prend les hanche à deux mains et m’oblige à descendre sur son membre, il force ma rondelle et m’enfonce le gland dedans, j’ai le souffle coupé et gueule de douleur, j’ai le sentiment d’être déchirée par l’introduction du puissant membre, je reste ainsi un moment puis entreprends de descendre lentement, sentant chaque centimètre du membre s’enfoncée en moi, la sueur recouvre maintenant tout mon corps, mais le désir de ma faire possédée est trop fort et dans un ultime effort je m’empale entièrement.
- J’ai le cul complètement ouvert, mes chairs épousent la queue de Julien que je ressens en moi dans les moindres détails.
- Je suis étranglé par la queue, dit Julien, comme tu es étroite Leslie.
- Je suis remplie, au bord de l’évanouissement, et Julien entame de longs va et vient dans mon fondement offert.
Les deus copines nous regardent me faire sodomiser en se caressant mutuellement.
- Ohhh, Julien, dis-je entre deux soupirs.
- T’aime.
- Oui, j’aime.

- A ton tour Magalie, dit Sylvie, moi je connais.
Magalie se met en levrette et Julien après s’être placé entre les jambes de Magalie lui enfonce son mandrin dans le cul, Julien pénètre le cul de Magalie sans problème comme si celle-ci en avait déjà prit d’autres dans le cul, la voie est déjà tracée et Julien commence à coulisser dans le cul de Magalie, il possède la minuscule rosette de Magalie dissimulée entre ses fesses, lui arrachant des soupirs de plaisir, chaque poussée la fait frémir et crier. Magalie enculée par Julien émet des rugissements de plaisir en disant :
- Ohhh, salaud, comme tu m'encules bien, j’adore.
Sylvie de son côté me présente ses fesses et sans me poser de question, j’investis son anus d'un coup, elle crie quand le gland pénètre son anus et se met à haleter sous mes pénétrations.
Mais Sylvie en veux plus et demande à Julien de me remplacer. Maintenant Julien enfonce la totalité de son membre en Sylvie à chaque coup de reins.
- Julien, dit Sylvie, jouis en moi.
- Ohhh ! Quel délice d’être sodomisée par mon homme, gémit Sylvie.
Elle ouvrit la bouche pour gémir, mais aucun son ne sort, elle est terrassée par la terrible pénétration du membre de Julien dans son cul, alors que Magalie à quatre pattes à côté de Sylvie regarde pendant que la sodomise.
- Je vais jouir dans le cul de ton amie, dit Julien à Magalie.
Et quelques secondes après, Julien se vide au fond du cul de Sylvie, puis Julien lentement sort lentement du cul de Sylvie, laissant le cul de celle-ci dégoulinant de sperme qui s’écoule de l'anus dilaté de Sylvie, peu de temps après je me répands dans le cul de Magalie qui n’attend que cela pour jouir.

A suivre……