La Soeur De Ma Femme
Ma femme Julie, mon petit garçon et moi sommes allés passer un long week-end chez la sur de ma femme, Laure. Elle aussi est mariée et a également un petit garçon. Laure et Julie ont 3 ans de différence. Laure est la plus jeune, je mentends bien avec elle, elle adore plaisanter.
Le premier soir, les s couchés, ainsi que le mari de Laure qui, travaillant à lextérieur toute la journée, le soir seffondre comme un bébé, Julie, fatiguée par le voyage, nous laisse, Laure et moi, ranger la cuisine et faire la vaisselle.
Ses plaisanteries, sa voix, sa petite queue de cheval qui remue alors quelle saffaire, me troublent, je sens des petits picotements qui me courent le long de la colonne vertébrale. La cuisine rangée, je traîne un peu sur le canapé, Laure va se changer. Du canapé, on voit le couloir au bout duquel se trouve la salle de bain. Laure laisse la porte entrebâillée et je vois dans le reflet du miroir une sympathique poitrine avec des tétons tout roses. Une fois changée, Laure revient me souhaiter bonne nuit. Je lui fais remarquer dun air espiègle quune porte ça se ferme. Alors, sans que je my attende, elle pose sa main sur mon sexe, qui est dur depuis un moment, et me répond que je nai pas à faire de remarque puisque ce que jai vu ma plu, puis elle tourne les talons et part se coucher. Je rejoignis alors Julie, qui dormait comme un bébé. Je repensai à la scène qui venait de se passer et fantasmai sur Laure.
Après une mauvaise nuit et une bonne journée, la soirée sannonce comme la précédente. Laure et moi nous nous retrouvions seuls dans la cuisine, les autres étant partis dormir. Un peu fébrile, excité et indécis, je ne fais aucune allusion à hier. Puis comme la veille, Laure me prévient quelle part se changer. Ce coup-ci la porte de la salle de bain reste grande ouverte, je vois ses vêtements voler, puis sa silhouette furtive file sous la douche. Jentends leau couler, mais comme je ne vois plus rien de ma place, je me lève et mapproche.
Laure revient, vêtue dune chemise de nuit ultra-courte, me souhaite une bonne nuit avec deux bisous et part se coucher. Je regarde ses longues jambes qui ont lair si douces et la chemise de nuit se balancer en me laissant deviner le galbe de ses fesses. Je me résouds à aller me coucher à mon tour, mais impossible de fermer lil.
Au bout dune demi-heure, je décide de me relever, et daller boire un verre de scotch pour faire venir le sommeil. Sans faire de bruit je retourne au salon, et je cherche alors dans le bar une boisson qui pourrait massommer.
Soudain jentends la voix de Laure, juste derrière moi. « ah, cest toi, jai eu peur que ça soit un cambrioleur ! » Je me retourne et à la voir si près de moi dans sa chemisette ultra-courte et à moitié transparente, je ne peux contenir une érection violente.
Laure ne semble pas sémouvoir et me demande ce que je fabrique à une heure pareille. Pendant quelle me parle, une bretelle glisse sur son épaule, sans toutefois dévoiler son sein. Elle sapproche de moi et me demande « es-tu sûr que cest un scotch que tu désires ? »
Elle sagenouille pour fouiller sur létagère basse du bar, puis tourne sa tête vers moi. Son visage est à 20 cm de la bosse de mon pantalon. Elle att ma bosse, je ne dis rien, alors elle me regarde avec un grand sourire, puis dégage mon sexe de mon pantalon et entame une pipe infernale. Sa queue de cheval dansant en cadence, cétait divin, jai caressé sa tête. Puis elle sest relevée et ma entraîné sur le canapé. Je me suis allongé sur le dos, elle sest mise en 69, et a englouti ma bite en feu. Ses fesses, cachées par un minuscule slip, dodelinaient devant moi. Dune main, je fis glisser lélastique, découvrant son sexe et ses fesses. Je commençai alors à sucer ses lèvres.
Laure était satisfaite, elle attrapa des mouchoirs en papier, sessuya et me nettoya. Elle me fit un bisou sur la bouche et me souhaita une bonne nuit. Je me retrouvai seul, et la culpabilité commença à venir. Comment ai-je pu tromper Julie ?
Après une mauvaise nuit, jétais mal à laise au réveil. Dès que jeus loccasion de me retrouver seul avec Laure, je lui exprimai mes regrets. Elle me reprocha alors de ne pas savoir ce que je voulais, alors quelle, elle savait ce quelle désirait. Toute la journée, à la moindre occasion, elle effleura mon sexe discrètement, comme par maladresse, et elle frotta sa poitrine contre mon corps. Quelle cruel dilemme. Comment résister à une allumeuse pareille ?
La journée est passée et nous voilà seuls dans la cuisine comme les autres soirs. Je ne dis rien, mais je trouve quelle expédie le rangement. Je nose pas remettre sur le tapis la culpabilité qui me perturbe. Tout est enfin rangé. Laure se retourne vers moi et directement me lance : - "Jai bien aimé comment tu tes occupé de mon cul hier, il faut que je texprime ma reconnaissance
"
Elle glisse ma jambe droite entre les siennes, sa jupe se retrousse.
Dun geste brusque, elle défait mon pantalon, puis elle commence une fellation. Sa bouche est si douce. Sa langue fait de rapides rotations et joue avec lextrémité de mon gland. Sans lâcher sa prise, elle minvite à mallonger sur le banc de la cuisine, et elle menlève pantalon et slip. Les jambes écartées je savoure ses qualité de pompeuse. Ses doigts caressent mes testicules, cela augmente mon plaisir. Dune main elle att mes bourses, elle les emprisonne, jai un peu peur davoir mal, mais elle fait attention, elle observe mes réactions. Sa main libre décrit des petits cercles sous mes bourses, jadore ce quelle fait, elle le voit. Les petits cercles sallongent, ses doigts se dirigent vers mon cul. Mais cest bon ... je me laisse faire. Ses doigts courent de mes bourses à mon trou, je soulève un peu mes jambes pour lui faciliter ses gestes. Ses doigts jouent avec mon trou et jadore cela, cest la première fois quon me fait cela. Sans interrompre la fellation, elle prend une bouteille de bière vide, quelle avait soigneusement lavée préalablement et posée sur la table. Elle remplace ses doigts par la bouteille. Le contact froid du verre me surprend. Le goulot glisse sur ma peau et sencastre dans mon orifice. Je relève mes jambes, la bouteille me pénètre, je réalise que Laure est en train de menculer et jexplose dans sa bouche. Laure mavale consciencieusement jusquà la dernière goutte. Après un rapide bisou sur la bouche, elle me lance « toi aussi tu aimes bien être enculé » et mabandonne. Je me retrouve seul et perplexe.
Le lendemain nous sommes rentrés chez nous. Jai quand même embarqué la bouteille de bière, pour jouer tout seul avec, ou bien avec lintention de lessayer sur Julie. Je ne sais pas encore.
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