Rolex Et Ta

Prélude : j
J’ai fait un rêve et au réveil, pour une fois, je me rappelai de toute l’histoire. Bizarre, car normalement une bonne partie s’estompe en quelque millisecondes. Je sais que ce texte n’est pas vraiment dans mon style, mais pourquoi donc est-il sorti de mes neurones ? Si j’en parle à mon psy il va me baiser encore plus fort que de coutume.
Je vous explique comment ce texte fonctionne, eh oui, il vous faut un petit manuel :
L’homo erectus dominatus exprime ses pensées en gras dans le texte, comme dans la vrai vie ;-) Comme je ne suis pas une grande bavarde, je lui réponds par mes pensées sous chacune des siennes.

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Ma queue se dressait tout contre l’entrée de son anus vierge. J’allais sodomiser la petite qui paniquait et disait non.
En fait je n’attendais que cela, une sodomie tant désirée. Il pensait faire de moi sa soumise, alors qu’en agissant ainsi il allait faire de moi sa dominatrice. Certes je me débattais, mais pour moi tout cela faisait partit du jeu. Je dois avouer que je l’avais poussé à bout avec mes attitudes de ta pucelle qui ne maitrisait pas encore sa séduction. Le mec était hyper chaud et j’avais déjà orgasmée tellement j’étais bouillante, mais je le lui cachais bien.

C’était la troisième fois que je voyais la petite, et c’était notre première nuit ensemble. Elle allait se rappeler de moi toute sa vie. J’aime marquer l’histoire et posséder le plus beau, surtout ce qui est exceptionnel
Je n’avais absolument pas été impressionnée par notre premier diner au Plaza Athénée, ayant été baladée depuis ma naissance de Palace en restaurants étoilés dans le monde entier. Je sais que je l’avais séduite, j’avais lu dans ses yeux ses désirs. Faut dire que j’avais héritée de la génétique de ma mère, une ex top model ukrainienne. Plus qu’une magnifique gamine vierge à déflorer, ce mec rêvait de sa taper la fille d’une grosse fortune internationale.

Sa boite gérait déjà les portefeuilles de clients du profil de mon père. L’échange au bar du Savoy de Londres avait été encore plus chaud. Je m’étais faite pour lui tentatrice absolue et j’avais vu à quel point il avait envie de moi. Il me voulait absolument à son tableau de chasse. Nous étions ce soir dans sa suite au Waldorf Astoria de New York.

Je lui avais arraché ses vêtements de Princesse. Elle était à ma merci, sous l’emprise de ma force et de ma toute puissance
Je savais qu’en cherchant un homme arrogant qui a réussi dans la vie en écrasant les autres, je finirai par tomber sur le bon profil. Il m’avait acheté ces fringues et pouvait à sa guise en faire ce qu’il voulait. Plus il les déchirait sur moi, plus je prenais mon pied tout en prétextant la surprise. J’avais envie qu’il laisse des traces sur mon corps, que je puisse ressentir dans ma chair la violence de cet instant magique, tant voulu et divinement orchestré.

Je l’avais un peu trop fait boire lors de cette merveilleuse soirée pour mieux la posséder
Il fallait que je boive, juste ce qu’il fallait pour être sous l’emprise de l’alcool et que je n’enivre de ce moment que j’attendais depuis que j’étais née, dix-huit ans plus tôt jour pour jour. Je vivais un anniversaire exceptionnel. Mes yeux ne brillaient pas d’alcool mais d’envie. Je voulais être sa proie et que lui soit un chasseur sans pitié. Il lisait toutes mes envies dans la brillance de mon regard. Ces jambes fines que je croisais et décroisait le rendait fou. Il savait que je ne portais pas de culotte. Ma nervosité sensuelle le rendait fébrile. Je lui faisais sentir que je voulais qu’il me prenne et qu’il obtienne de moi ce qu’il voulait. Il avait mon feu vert suggestif pour se servir et r de moi

Déjà j’avais pris sa gorge et lui avait défoncé la glotte. C’était visiblement une première pour elle. J’avais tout stoppé avant d’éjaculer, je devais me garder pour plus tard
Décidément j’avais gagné au loto.
Le mec était sacrément bien monté. J’avais déjà vu des films porno mais vivre ce moment pour la première fois de sa vie était tout autre chose. C’est vrai qu’une queue en bouche vous donne presque envie de vomir et que l’on a du mal à respirer. Je ne savais pas comment manger un hamburger sans couverts, j’ai une petite bouche. Je bavais de partout, bien plus que dans les films que je regardais en me caressant. Le gout de sa queue était celle de la victoire mais je lui disais que cela me répugnait et que je n’en voulais pas, qu’il ne pouvait pas me faire subir cela. Mais entre deux plaintes infondées j’empalais tout seule avec envie mes lèvres autours de sa queue. Je le regardais dans les yeux, queue entre mes lèvres chaudes, avec mon regard de petite ta provocatrice. Cela le rendait fou.

Je gardais son sexe pour la fin, prendre sa virginité absolue pour le grand final
Mes amies vivaient la perte de leur virginité comme un moment romantique ou encore comme un truc qui devait passer au plus vite. Moi je voulais que cela soit au niveau de mes ambitions, intense, fort en émotion, unique, inoubliable, avec un mec d’exception.

J’avais mis plein de gel sur ma queue car elle était gosse et dure et son petit cul comme ses autres orifices étaient vierge.
C’était des cris de peur qui semblaient sortir de moi mais en fait des cris de fortes envies intérieures chevillée au corps. Enfin j’allais être sodomisée, pouvoir me dépasser, réaliser mes rêves, mes envies, mes ambitions. J’avais en fait le pouvoir là où il croyait r de moi. Il n’était que l’arroseur arrosé. Si seulement il savait à quel point il me servait de jouet en me sodomisant….

J’entrai dans son petit cul avec une facilité déconcertante. Ma queue était raide et du coup je pu la pilonner direct
J’avais lu plein d’article sur la sodomie et m’était entrainée avec des sex toys.
Mes cris de douleur étaient en fait un mix de joie et d’extase. Maintenant que mon cul avait été pris il me tardait que mon sexe le soit.
Mon Dieu mais quel pied je prenais. J’enchainais les orgasmes cachés. Cet homme était en rut et j’avais un grand faible pour sa force et n’être qu’une poupée sous sa forte puissance.

C’est fou ce que toutes les filles disent non alors qu’elles veulent dire oui. C’est une vraie terre de contraste. Alors autant ignorer leurs soi-disant refus.
Je me débattais toujours. Cela nous excitait tous les deux. Il prenait mes non pour des oui et il avait bien raison. Plus je le suppliai d’arrêter plus il me maltraitait. C’est un mâle dominant dont j’avais envie et que j’adorait provoquer et tenter à l’extrême. Son animalité le sentait et je lui envoyais les signaux contraires aux mots de refus qui sortaient de ma bouche.

Second objectif atteint. Maintenant que j’avais défleuré sa gorge et son anus, j’allais prendre sa virginité. Je retourne sans ménagement la petite pour sa première levrette de sa vie, je devais la marquer à jamais de mon empreinte de puissant de ce monde

Je pleurais non pas de honte mais de joie. Il ignora toutes mes supplications sachant très bien que j’étais une sainte ni touche qui adorait cela. Il était rentré en moi comme dans du beurre alors je n’avais aucune raison d’avoir mal. J’étais trempée. Oui j’étais vierge et devais probablement mais bon, tel était mon objectif, perdre cette virginité ennuyeuse et enfin pouvoir démarrer une sexualité que j’attendais depuis trop longtemps. Ses fessées entre deux coups de pilon étaient à tomber et marquait bien ma peau de bonde. En bonne gourmande J’ondulais du bassin pour me faire prendre bien profond tout en lui demandant pitié et d’arrêter. Cela le rendait fou, je comprends, il y avait de quoi.

Trois fois que j’ai failli jouir ! J’ai su me contrôler et repousser mes limites au maximum. J’avais défloré sa gorge, son cul et sa chatte. J’étais un bon baiseur et fier de moi. J’étais un quetard endurant. Mais c’est sur sa gueule d’ange de fille de bonne famille bien célèbre que je voulais me regarder puissamment éjaculer.
Je voulais voir mon foutre sur sa gueule de top model. Je venais de gagner un nouveau challenge dans ma vie d’ambitieux winner.

Ce sperme qui arrivait en jet sur mon visage était ma victoire. Je ne sais pas combien d’orgasme j’ai enchainé mais c’était le clou du spectacle de ce feu d’artifice. Quelle fierté de recevoir autant de cet homme. Jamais je n’avais imaginé une aussi bonne baise pour une première. Pour ma plus grande joie Il m’avait arraché des cheveux, cela ne pouvait pas être plus parfait que cela. J’espérai garder un peu la trace des cinq doigts de la gifle qu’il me donna dans l’action torride pour maintenir mon visage face à sa queue éjaculatrice. J’adorait qu’il m’en ait mis plein de visage.

J’adorais mon pouvoir absolu sur cette petite vierge. Elle avait pris bien plus que ce à quoi elle s’attendait.
Sincèrement j’avais bien visé et choisi le mec parfait pour cette histoire. Bon j’avais probablement été trop provocatrice et tentatrice avec lui et l’avait amené au bord du précipice plusieurs fois. Mon innocence et inexpérience jouaient pour moi. Tout était consenti et préparé.

Cette petite pute m’avait vendu sa virginité à un prix fou, alors j’avais eu bien raison de me servir de tous ses trous
Cela fut plus facile que je pensais de trouver un homme qui puisse se payer une vierge pour cent mille euros. J’avais vu des hommes au casino ou au poker dépenser bien plus que cela en quelque minutes.
Les putes que Trump se faisaient gagnaient des millions pour un petit coup minable avec lui.
Il avait avalé mon histoire d’adolescente rebelle en besoin de discrétion et de moyens financiers pour aider des amis dans le besoin. Je lui avais servi la soupe d’une amie junkie, s de la haute société, en besoin urgent d’une cure de désintox sans que ses parents ne le sache. Cela ne l’avait pas surpris.
Ce n’était pas tant pour l’argent, car ma famille avait plus de moyen que lui. C’était plus pour atteindre toute seule le cap des six chiffres dès mes dix-huit ans. C’était aussi la joie de faire un doigt d’honneur à mon père toujours absent et à ma connasse de belle-mère tellement imbue de son image et de celle de notre foyer américain heureux, le bal des faux culs.
Mon avocat avait créé une petite société dans un paradis fiscal et m’avait prévenu quand les fonds étaient arrivés. Il avait pris 20% de la somme pour ses honoraires, j’étais donc sa pute à lui aussi. C’est ainsi que marche le monde, il suffit de jouer le jeu et d’aider un peu le destin en comptant les cartes. L’argent était arrivé d’un autre paradis fiscal, Monsieur avait donc lui aussi des choses à cacher.


J’avais envie d’un bon cigare et d’un cognac pour fêter cela. Quand elle s’est levée j’ai cru qu’elle partait légitimement aux toilettes se rafraichir. Moi j’avais fini la première partie de la soirée avec elle et je visais le bar. La nuit ne faisait que commencer avec cette chaudasse qui allait en redemander en disant encore non. Au cliquetis de la serrure de la porte d’entrée un frisson me parcouru. Mes sens se mirent en alerte, et j’eu instinctivement un très mauvais pressentiment. Tout se confirma dans la seconde quand elle se mit à courir à poil en criant dans le couloir de l’hôtel. Quelque chose de pas honnête venait de me tomber dessus. J’avais été briefé et savais ce que je devais faire dans ce type de situation. Inutile de m’enfuir, il y avait des caméras partout, autant appeler mon avocat. Surtout il me fallait descendre au plus vite ce Remy Martin 1982 pour maximiser mon taux d’alcool, histoire de justifier ma perte de contrôle. Il me fallait être bourré avant l’arrivée des flics. Je dois avouer que je n’avais pas vu ce coup venir. Je prenais toutes les précautions avec les bimbos à la Playboy. Mais d’un petite d’une aussi bonne famille et aussi jeune… Les traditions se perdait et la génération à venir était différente. J’aurais adoré la revoir, mais surtout pas au tribunal.

C’est nu et plein de sperme chaud sur le visage que je m’enfuie en hurlant, mon portable à la main, avec le précieux enregistrement numérique. J’aurais pu attr un peignoir avant de sortir mais cela faisait plus vrai ainsi. J’avais envie de crier de joie mais c’est la peur que je devais feindre. Et je mis le paquet, au risque de surjouer. Je sentais mes jambes trembler, toujours sur le coup des spasmes des orgasmes surpuissants que j’avais enchainée. Je me demandais ce que cela donnera sur les écrans de contrôle. Surtout ne pas sourire, paraître terrorisée. Quelques millions étaient en jeux. Ce n’était pas le moment de me louper. J’appuya sur tous les boutons de l’ascenseur comme ils le font dans les films. Les portes s’ouvrirent sur un couple de vieux et je fondis me protéger contre la femme qui me récupéra dans mon sale état feint. Dans le miroir la trace de sa gifle était encore là.

- Mon pauvre ange regardez comme il vous a giflé

L’ado qui accompagnait ses grands parents pris une vidéo de moi avec les traces de doigt de la gifle, les coulures de mes larmes, de mon maquillage et du sperme, mes cheveux défaits et ceux arrachés qui tombaient sur mes épaules. Il n’osa pas filmer la coulure de sang entre mes cuisses, dommage. J’imaginais déjà les journaux parlant de cette fille de très bonne famille, violée dans un palace le jour de ses dix-huit ans, dans la suite d’un dirigeant très puissant. J’étais prête à tout, jouer la petite innocente était ma grande force, j’avais des années d’entrainements.

Je perdis dix petits millions d’un coup. Cela m’avait énervé. Je ne mis que quelque mois à me refaire en entubant quelques vieux clients fortunés. Cette petite irait très loin dans la vie mais je serai toujours celui qui aura pris sa virginité. Sincèrement, cette petite salope avait été un très bon investissement et surtout un très bon coup. Mon avocat avait tout arrangé et négocié, rien n’était sorti dans la presse

Ma belle-mère en apprenant l’histoire devint hystérique et voulait que cette affaire soit étouffée. Cela aurait été un scandale pour la famille et fait les titres de la presse internationale. Les affaires Strauss Khan et Weinstein avaient fait le tour du monde. Pour tout calmer mon père se débrouilla pour me débloquer un million de dollars par mois du fond que je n’aurai pu commencer à toucher qu’une fois mariée. Ils me laissèrent abandonner mes études que je puisse enfin démarrer ma carrière. Ils avaient toujours refusé que je devienne top model, car je me mettais dans les pas de ma mère. Mais là ils n’avaient plus le choix. A moi l’indépendance de pouvoir profiter de la vie avant d’attendre des années. C’est jeune qu’il faut pouvoir disposer de fonds.

.Je ne pus jamais remettre les pieds au Waldorf, étant sur leur liste noire. Cela impressionnait mes clients, nous étions moins de cinquante dans le monde. Quand je lâchais le nom de la fille à qui j’avais pris la virginité, les mecs étaient impressionnés. Ils connaissaient tous cette top model bandante au possible. Ils rigolaient en apprenant que la petite m’avait confiée une partie de la gestion de sa fortune et qu’elle m’appelait quand elle avait envie de se faire défoncer.

C’est sans rancune que l’on continua de se croiser dans des palaces. On sait que les femmes abusées sont fragiles et retombent souvent dans les griffes de leurs agresseurs. J’adorais qu’il passe en fond sonore l’enregistrement numérique de notre première rencontre tandis qu’il me prenait sauvagement. Il m’offrit une œuvre qu’il avait commandé à Bansky inspirée de la vidéo prise par l’ado dans l’ascenseur. En plus ce mec était un grand professionnel. Il me fit investir très tôt dans des petites startups : Instagram, Zoom et Whatsapp. Un peu plus tard ces sociétés furent achetées par des géants du numérique. L’argent appelle l’argent.

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