Leslie Transexuelle Chapitre 43

CHAPITRE 43 – Léa, je te retrouve, mon amour.

Je te retrouve.
Plusieurs semaines ont passées……
Vendredi soir, je suis dans le train qui m’emmène vers Paris, le souvenir des instants passés ensemble et les promesses de nous revoir me conduisent à Paris où je vais retrouver Léa pour la fin de semaine.
Je rejoins Léa qui me manque, Léa que j’aime et qui m’aime, même si nous nous le sommes jamais avouées, notre relation n’est pas que sexuelle, un courant passe, en pensant à elle mon cœur se serre et mon ventre réclame.
Bercée par le bruit je ma laisse aller et à rêver de mon petit cœur d’amour, à sa taille fine qui fait magnifiquement ressortir sa petite poitrine et son joli postérieur, son visage de candide avec ses grands yeux, et ses gémissements lorsqu’elle jouit dans mes bras, j’ai hâte de la serrer nue dans mes bras et sentir son parfum, et entendre sa jouissance.

Sitôt arrivée a la gare de Lyon, je suis allée chercher la voiture de location que j’ai réservée, Léa habite à Versailles et une petite heure plus tard je me gare en bas de chez elle, le temps de monter et nous somme face à face, nous sommes heureuses de nous retrouver, et dans les bras l’une de l’autre nous échangeons un baiser passionné sur le pas de sa porte. Puis elle me fait entrer dans son petit nid, je la prends par la taille, l'embrasse encore, le désir est présent en cet instant de retrouvaille, je pose ma main sur ses fesses, et l’attire contre moi, nos corps se pressent l’un contre l’autre, Léa pose sa main sur mon sexe déjà bandé par le désir qui m’étreint, puis elle glisse sa main sous ma jupe et passe sa main sous mon string, empoigne mon sexe dans sa petite main et me branle doucement.
En un rien de temps, tout en nous embrassant à pleine bouche et nous caressant intimement, nous nous retrouvons nues dans l’entrée de son appartement.

Elle se penche et embrasse mon membre raide avec une infinie douceur.

Ma main trouve son sexe, elle gémit, sentant mon doigt s'enfoncer dans son intimité déjà humide.
- C'est bon, me dit-elle.
- Léa, que tu es jolie, j'ai envie de toi.
- Moi aussi, Leslie j’ai envie de toi.
Toujours de bout dans l’entrée nos corps se mêlent, mon index s'enfonce un peu plus en elle et elle gémit, je l'embrasse pendant que mon doigt continue de la pénétrer.
Haletante, elle me branle avec une infinie douceur,
- Allons dans ta chambre, lui dis-je.
- Viens, me réponds t’elle.
Elle m’entraine dans sa chambre, s’allonge sur le lit les jambes écartées, son sexe épilé offert sans pudeur, je me penche vers son pubis et dépose un baiser sur son sexe, elle écarte ses cuisses pour mieux s'offrir, ma langue entre en elle, ma bouche la fouille, je sens son plaisir monter dans son ventre, ma langue s’attarde sur son clitoris, Léa est au comble de l'excitation, elle se caresse les seins et presse mon visage contre son pubis, écarte davantage encore les cuisses pour que je la ouille encore plus loin de ma langue. Léa sent l'orgasme monter et son râle de plaisir devient presque un cri :
- Ahhh, Ouiiii, Oh, c’est bon mon amour.
Je continue doucement, encore un moment et elle se trémousse de bonheur, je descend ma langue jusqu'à son petit œillet et lui darde du bout, elle tressaille de plaisir.
Prends-moi, s'il te plaît, mon amour, me dit-elle entre deux gémissements.

Alors je me relève pour la prendre, elle s'accroche à moi, écarte les cuisses pour m’offrir son intimité, je place mon sexe à l’entrée de son vagin et la pénètre avec fermeté bien à fond, et elle me reçoit avec un gémissement de bonheur. Elle me sent enfin en elle, je lui remplis la chatte et elle en suffoque de plaisir.
Je vais et vient sans brusquerie et son ventre se contracte, elle halète comme une folle, elle a envie de sentir sa semence gicler au fond d'elle, mais je me retire au grand désappointement de Léa.
- Ohhh, c'est trop bon, je mouille, oh comme je mouille.
Je la reprends et elle sent mon membre raide dans son ventre, après quelques nouveaux va et vient, elle se met à jouir.
- Tu as aimé, je lui demande toujours fichée en elle.
- Oh, oui, tu es merveilleuse, quel orgasme, je suis toute mouillée.
Je la possède encore et elle s'offre à moi, son pubis allant à ma rencontre et à la recherche d’un nouvel orgasme, ses mains m’attirant vers elle, comme pour s’enfoncer mon sexe encore plus en elle. Je rentre en elle bien à fond, entièrement et elle gémit de plaisir à chaque nouvelle poussée, elle contracte les muscles de son vagin pour m’accueillir et me serrer le sexe.

Mes allers et retours en elle sont réguliers, ressortant presque de son antre à chaque retrait, pour m’enfoncer encore plus loin en elle à chaque nouvelle pénétration, plus loin, plus fort. Léa réclame et attends mes pénétrations poussant vers moi son pubis imberbe, ses seins sont durs avec les bouts dressés, elle est prise de spasmes et jouis dans un mélange de râles rauques et de cris de plaisir.
Un nouvel orgasme la terrasse, au bord de la perte de connaissance et là, heureuse de l’avoir faite jouir, sans avoir jouis en elle, je reste au fond de ses entrailles, attendant qu’elle reprenne ses esprits.
Quelques instants plus tard, calme, elle repose, alors je me retire d’elle la laissant ainsi offerte impudiquement les cuisses ouvertes.

Je profite de cet instant de répit pour prendre une douche et lorsque je reviens, Léa repose sur le ventre, nue, les jambes écartées offrant ses fesses à mon regard, je m’assieds sur le lit auprès d’elle, je pose ma main sur ses fesses et caresse son petit cul, elle frémit et se cambre légèrement, je caresse sa raie et aventure un doigt sur son anus, surprise elle se cambre encore plus et s’offre davantage, mon doigt lui pénètre l’anus la faisant gémir.
Mon doigt rentre dans son fondement et ses soupirs reprennent, elle s’offre impudique à mon intromission.
- Leslie, me dit-elle d’une petite voix, si tu le désires n’hésites pas.
Je me place sur elle et la chevauche pour la sodomiser, je place mon sexe à l’entrée de son anus, et commence à pousser, mon gland force le passage de son anneau et Léa m’accueille dans son anus avec un long gémissement, je la laisse s’habi à mon membre en elle, puis m’enfonce tout au fond d’elle tandis qu’un long râle sort de sa gorge, je la possède ainsi un long moment ressortant entièrement pour mieux lui rentrer mon sexe dans son anus frémissant, jusqu’au moment ou la jouissance me terrasse, je jouis au fond de son boyau lui remplissant le cul, avant de m’écrouler ivre de plaisir.
Nous nous sommes endormies dans les bras l’une de l’autre, heureuses.

Un nouveau jour.
Dans le petit matin naissant, nos bouches se retrouvent et nos baisers reprennent, les caresses sur nos corps nus font renaître nos désirs, je bande rapidement et elle mouille très rapidement.
Léa, se met à genoux sur le lit et att mon sexe, pendant un instant elle me suce avidement puis elle m’enjambe pour se mettre au dessus de moi.
Léa est maintenant installée au-dessus de moi, en 69, cuisses écartées son pubis offert à ma bouche, elle me suce tout en offrant son intimité à ma bouche, Léa adore être sucée, son clitoris sensible réagit sous ma langue, je sens le désir de Léa grandir, elle se dégage de notre étreinte et se positionne à quatre pattes, parce qu'elle aime être prise en levrette.
- Prends-moi chérie, me dit-elle.
Je la possède aussitôt dans cette position et elle gémit de bonheur.
Prise ainsi en levrette elle jouit sans retenue, sous mes pénétration elle halète et gémit, elle se cambre au maximum pour me permettre d’aller plus profondément en elle.
Plusieurs fois dans la matinée nous ferons l’amour, variant les positions.
Après ce réveil érotique, nous prenons notre petit déjeuner, nues, prêtes à continuer nos ébats sexuels.

Après ce petit-déjeuner, nous nous sommes préparées pour sortir décidées de profiter de chaque instant, nous somme samedi et le temps passe si vite, nous avons été visitées le château de Versailles et avons profitées de cet fin d’après-midi pour aller nous promener comme deux amoureuses en foret, en voiture, nous rentrons à la maison, sous son chemisier, les seins en liberté de Léa pointent audacieusement attirant mon regard et faisant naitre le désir en moi, je pose ma main sur la cuisse de Léa, et remonte lentement jusqu’à son sexe, Léa est sortie sans de culotte, et mes doigts sont à l’entrée de son intimité et je sens qu’elle mouille, elle se laisse caresser tandis que sa main me branle doucement à travers le tissu de ma robe.
La caresse de Léa me fait bander, elle me sent excitée de désir, alors elle retrousse ma robe et sort mon sexe du tanga, puis Léa se penche vers moi et prends mon sexe entre ses lèvres. Sa bouche est chaude et enserre mon membre, Léa s’applique dans sa fellation et je ne sais pas si je vais tenir longtemps, Léa le sens et s’arrête, puis se redresse le sourire aux lèvres.
- Tu aimes, me demande Léa.
- Oh oui, et toi ?
- C'est bon de te sentir dans ma bouche, j'adore, me dit-elle, mais je veux te sentir vibrer de moi et te faire l’amour comme un homme.
- Mais tu es une femme Léa.
- Rentrons, j’ai une surprise pour toi.

La surprise de Léa.
A peine rentrées, Léa est partie dans la salle de bains prétextant vouloir prendre une douche et se refaire une beauté, pendant ce temps je me suis dévêtue et c’est entièrement nue que j’attends Léa.
La porte de la salle de bains s'ouvre et Léa apparait, elle est là, nue dans l’encadrement de la porte, je la regarde, elle est belle, mais elle s’est harnachée d’un gode-ceinture, elle est arrogante ainsi harnachée et je remarque ses yeux brillants de lubricité, elle s’avance vers moi et me prenant par la main elle m’entraine dans la chambre.
- Tu as un petit cul comme je les aime, m'a-t-elle dit, mets toi sur le lit en levrette.
- Tu veux m’enculer, lui demandais-je.
- Oui, ma Leslie, je te veux toute à moi, cambres-toi, oui, comme ça c'est bien.
Elle a copieusement graissé son gode-ceinture et mon anus avec de la vaseline, Léa à pointé le gros gland sur mon anus, puis elle m'a lentement attirée vers elle en me saisissant aux hanches.
Lubrifiée à souhait, Léa m’a enfoncée le gode aux fond de moi.
- Ohhh.
Je n’ai rien dis d’autre, le souffle coupé, Léa m’empalant de la longueur de son sexe factice, elle le fait coulisser plusieurs fois en moi, lentement, puis l’enfonce profondément, jusqu'à écraser son pubis contre mes fesses, je me sens distendue sous l’intromission.
- Ohhh, Leslie, je suis ton homme pour l’instant, sent comme je t'encule avec amour, cela fait si longtemps que j’en ai envie.
- Comme tu me remplis bien, ma Léa, lui dis-je.
- On dirait que ça commence à te plaire.
La dessus Léa me prend avec force, je suis surprise, terrifiée par la violence des coups de Léa en moi qui est dans un état de surexcitation proche de la démence.
Tandis qu’elle abusait de mon anus, je me suis masturbée comme une folle, pour jouir d’elle, elle ma enculée sans cesser d’aller et venir jusqu’au moment ou elle m’a sentit jouir en longues saccades sur le lit.

Le soir, dans le lit avec Léa, je repense à cette journée et je ne peux m'endormir, cette journée mémorable marquait mon esprit au fer rouge, et plus encore mon anus endolori car Léa m'a prise une deuxième fois, toujours par derrière, son gode en moi, elle m’a caressée les seins, le ventre, et sa main descendait à masturber mon membre durci jusqu’à me faire jouir de sa main.

Déjà Dimanche, immobile dans le lit je repose auprès de Léa.
Léa commence à me caresser, au début sa main posée sur mes fesses, puis va directement à mon sexe, elle le prend et le caresse doucement pour le faire devenir dur, puis se baisse et embrasse mon gland, puis enfonce mon sexe entre ses lèvres, je me laisse faire, Léa continue en l'enfonçant le plus loin au fond de sa gorge, je ne peux me retenir et je jouis dans sa bouche, elle avale ma semence avec une bonheur.

- A moi de la faire jouir à présent, et je commence par embrasser son pubis, tandis que mes mains parcourent son corps, elle écarte les jambes, puis ma langue s’attaque à sa vulve, j’écarte les lèvres de son sexe et aspire son clitoris, elle sursaute et contracte un instant en poussant un soupir de plaisir.
- Oh ma chérie, je vais jouir, me dit-elle.
Son ventre se contracte et elle m'inonde la bouche, pendant qu'elle crie sa jouissance.
Puis elle se met à quatre pattes cambré au maximum, elle écarte les jambes en me disant :
- Prends-moi maintenant.
Je me relève et présente mon sexe à l’entrée de sa vulve, je m’enfonce un peu, puis ressort, j’enfonce mon sexe dans son intimité, en restant juste à l’orée de sa vulve, Léa ferme les yeux profitant de la douceur de ma pénétration, puis sans prévenir je m'enfonce d'un coup en elle, surprise Léa pousse un petit cri de plaisir, je commence alors à aller et venir dans son sexe.
- Vas-y Leslie, enfonces-toi bien au fond, me dit-elle.
Je la prends par les hanches de mes deux mains et lui imprime la cadence, lente au début, puis de plus en plus rapide.
- Oh oui, prends-moi fort, t'arrêtes pas ma chérie, me dit-elle dans ses râles de plaisir.
Je continue ainsi à lui faire l’amour, allant de plus en plus loin en elle, Léa gémit de plus en plus fort, la bouche grande ouverte par un plaisir de plus en plus intense, elle se met alors à jouir et son sexe se resserre sur le mien, elle est prise de spasmes, puis elle pousse un cri en s'effondrant sur l'oreiller.
Léa n’est pas rassasiée, elle sait que je n’ai pas jouis en elle, alors elle me renverse sur le dos et monte sur moi, puis elle m'embrasse tendrement, sa langue fouillant ma bouche, elle se relève et prend mon sexe dans sa main, le place à l’orée de son intimité et pousse un soupir et s’empale dessus.
Elle me regarde et sourit, heureuse de me faire l’amour, elle pose ses mains sur l'oreiller autour de ma tête et m'embrasse à pleine bouche tandis que son bassin monte et descend sur ma verge, elle accélère la cadence, puis ralentit et recommence encore, le plaisir commence à m'envahir et je jouis en Léa.
Plus tard, c’est avec beaucoup de tristesse que nous nous sommes séparées, obligée de laisser Léa, mon amour.

A suivre……