La Gourgandine ( 1)
La gourgandine (1 )
1---Je vais avoir bientôt 20 ans mesure 1m 63 et pèse 45 kg. Un ami, chef dentreprise marié, après quon se soit fait surprendre à baiser dans son bureau pendant lheure du midi, ma délaissé pendant près de 4 mois. Alors quil a une affaire à traiter à Marseille, il me téléphone et minvite à ly rejoindre. Je suis en fin de 3 ème année de Fac, je dois sécher les cours, mais comme je suis en manque et quil baise comme un dieu, je nhésite pas. Jai une excellente copine de Fac, et, pour ne pas faire le voyage seule, je lui demande de maccompagner. Lorsquà la descente du train je lui présente Carole, ma copine, laccueil est plutôt froid. Devant elle il manifeste son mécontentement. Il me dit quil avait terriblement envie de moi, quil comptait memmener directement à lhôtel et me baiser, mais sa présence contrarie ses projets. Il a loué une voiture, passe par lhôtel pour déposer les bagages, prend une chambre pour ma copine communiquant avec la nôtre. Ensuite il nous fait faire un tour en ville, nous mène au resto. Jai beau me frotter contre lui, lui dire que jai envie quil me prenne tout de suite, rien y fait, il me repousse sèchement. Au retour, il commence par soccuper de ses affaires, mignore. Lorsquil a terminé, il se lève. Je maccroche à lui, sorts sa queue, il bande. Il me repousse et sans un mot, passe par la porte de communication et va rejoindre ma copine la bite à la main. Je le suis, il me repousse, jinsiste, entre avec lui. Elle est adossée sur le lit en string et sous-tif, regarde la télé. En le voyant arriver, elle a tout de suite compris quelle va y avoir droit. Malgré ma présence, il la tire par les pieds, lallonge, lui écarte les cuisses et la baise devant moi. Il me fait languir, la fait jouir, sort delle, recommence à la pénétrer. Le gland vient juste dentrer en elle, je lui att la queue avant quelle ne senfonce en entier, tire, la ressort, le fait descendre du lit et sans lâcher sa bite le ramène dans notre chambre.
- OK, je tappelle dès que possible.
- Nattends pas 6 mois, jai encore envie que tu me baises.
- Ce nest pas facile, jai beaucoup de boulot.
- Tu peux bien trouver une heure dans la journée !
Il est trop tôt pour rentrer, aussi on visite la ville, mangeons au resto. On reprend le train en début daprès midi. Ca fait bien une heure que nous avons quitté Marseille. Je suis fatiguée, jai trop baisé, je somnole. Au bout dun moment je confie mon sac à Carole et me rends aux toilettes.
Jouvre la porte, entre tranquillement, me retourne pour la refermer. À ce moment un mec jeune, grand, costaud, type méditerranéen, crâne à zéro, me pousse en arrière brutalement. Je perds léquilibre, me retrouve assise sur les toilettes. Il referme la porte au verrou, ouvre sa braguette, sort sa queue, il bande dur. Il fouille dans sa poche, sort une capote, déchire létui avec ses dents, la déroule sur sa bite. Il a un engin de taille moyenne, petit gland pointu, une bite tout ce quil y a de plus ordinaire. Avant que je réagisse, il me tire par les cheveux, me remet debout, jète létui dans la cuvette, sattaque à ma ceinture, fait sauter le bouton.
- Aïeyaaïeeeeeee non pas ça !
Il ma pénétré à sec par derrière, ma fait très mal. Il me tient par les hanches, me file des grands coups de queue sauvages. Il sacharne dans mon vagin pendant au moins 5 mn, je subis, pleure, crie, plus je remue pour me dégager, plus il sacharne et senfonce brutalement dans mon sexe. Il me lime de plus en plus dur et vite, me redresse, me soulève à bras le corps, me bloque sur lui, je pédale dans le vide, je suis plantée sur sa bite quil continue à activer de plus en plus durement en moi.
- Ten fais une tête, quest cquy tarrive ?
Je lui raconte comment je me suis fait violer dans les toilettes. Jai pleuré, ça se voit, pris 2 gifles magistrales, jen ai les joues toutes rouges. Je me la suis fait encastrer brutal, jai subit ses assauts, il ma baisé à sec, ma fait mal. Je me suis défendue, mais jy ai eu droit. Je demande à Carole :
- Quaurais-tu fais à ma place ?
- Je sais pas ! Pas mieux que toi je crois.
Jai quitté ma place durant environ ¼ dh, une éternité quand on se fait violer ! Avant et pendant que jétais aux toilettes, elle na vu personne ni sortir ni entrer dans le compartiment, ce mec devait être à laffût dans lautre wagon et attendre sa proie. Elle me propose de parcourir le train pour essayer de le retrouver. Je suis traumatisée, jai mal au sexe, ça me brûle, je nen ai pas le courage dautant plus que ce mec, son forfait accompli, peut descendre à Avignon. Arrivée en Gare de Lyon, je me rends au poste de police pour porter plainte. On me conseille de me faire examiner par un médecin, de demander un certificat médical. Mais comme le mec a mis une capote, il y a peu de chances pour quon le retrouve. À moins quil se fasse pincer en sen faisant une autre dans les mêmes conditions !
Trois semaines passent, Marc me rappelle :
- Tu mas proposé de te rencontrer chez ta copine !
- Excuse-moi, je peux pas !
- Tas plus envie de moi ? .
Au téléphone je lui raconte lagression dont jai été victime dans le train en revenant de Marseille, mon traumatisme, la plainte déposée. Je lui dis
- Tu comprends, en ce moment je ne tolère pas quun mec me touche !
- Si tu veux, je te rappelle de temps en temps pour savoir si tu vas mieux.
- Oui, jte dirais !
Plus dun an passe, je me remets doucement de lagression dans le train, depuis tout ce temps je ne tolère pas quun mec me frôle ou me touche. Pour le moment je nai toujours pas envie de sexe, ne me masturbe pas, nutilise même pas mon gode depuis cette date exécrable. Marc me téléphone environ une fois par mois, puis de plus en plus souvent jusquà en arriver ces derniers temps à une fois par semaine. À chaque fois je lui dis que je ne suis pas prête. Pourtant je sens que par moment jai envie de lui, quand je pense à lui ça me fait tout drôle dans le bas ventre, mais nose pas le lui dire.
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